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Féminisme

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When Women Wanted Sex Much More Than Men. In the 1600s, a man named James Mattock was expelled from the First Church of Boston. His crime? It wasn’t using lewd language or smiling on the sabbath or anything else that we might think the Puritans had disapproved of. Rather, James Mattock had refused to have sex with his wife for two years. Though Mattock’s community clearly saw his self-deprivation as improper, it is quite possible that they had his wife’s suffering in mind when they decided to shun him. The Puritans believed that sexual desire was a normal and natural part of human life for both men and women (as long as it was heterosexual and confined to marriage), but that women wanted and needed sex more than men. A man could choose to give up sex with relatively little trouble, but for a woman to be so deprived would be much more difficult for her.

Yet today, the idea that men are more interested in sex than women is so pervasive that it seems almost unremarkable. Yet the times were clearly changing. So what happened? Sexualität: Uns fehlt die Sprache, ehrlich zu sagen, was wir im Bett wollen. Sexualität: Die Angst, Nein zu sagen Seite 2/4: In Statistiken tauchen diese Grauzonen-Erlebnisse nicht auf, weil sie nicht klar zu definieren sind. Man weiß nur, dass etwa 13 Prozent der Frauen in Deutschland zumindest ein Mal sexuelle Gewalt im strafrechtlich relevanten Sinn erlebt haben. Die Grenze zwischen dem einen und dem andern ist fließend, es gibt Frauen, die sich missbraucht fühlen, auch wenn keine Vergewaltigung stattgefunden hat.

Juristisch ist der Tatbestand jedoch eindeutig: Eine Vergewaltigung oder sexuelle Nötigung liegt nur dann vor, wenn die Frau Nein gesagt hat oder ihren Widerwillen sonst irgendwie zum Ausdruck gebracht hat. Warum aber haben so viele Frauen Grauzonen-Erfahrungen gemacht, in denen sie sich ohne äußeren Zwang auf Sex mit einem Mann einließen, den sie nicht wollten? Anfang der neunziger Jahre machten amerikanische Feministinnen dafür vor allem noch die Männer verantwortlich. Le nombrilisme des hommes face au féminisme. Si vous suivez régulièrement ce blog vous avez peut-être remarqué chaque polémique que provoque nos articles féministes.

C’est un p’tit bonheur pour nous parce que c’est un peu l’objectif. Tout ce qui est iconoclaste bouscule et il y a forcément des réactions (plus ou moins intelligentes). Ces réactions sont si systématiques et parfois si violentes qu’on croirait à une réaction du système patriarcal défendant ses intérêts. Je dis ça… Bien sur, le grand classique, celui que TOUTES les féministes ont eu le VERITABLE bonheur de croiser, c’est le mec (oui c’est toujours un mec) qui est obligé de tout rapporter aux hommes. . « Ouais tu sais y a plein de mecs violés aussi ! C‘est agaçant, forcément. L’empathie masculine Je crois que la chose que je trouve la plus extraordinaire (ou je peux dire pathétique pour ceux qui ont du mal avec le second degré) c’est la capacité des hommes à être empathiques… avec eux-mêmes. Les violences sexistes Pour autant, ne nions pas l’évidence. Hommes. Romain JAMMES. Home Page. Qu’est ce qu’elle faisait dehors à cette heure-là ? Lorsqu'une femme est agressée, force est de constater que les réactions sont toujours du même type : elle l'a cherché.

Il est particulièrement stupéfiant de lire les réactions à l'agression d'une femme pour constater que nous ne sommes jamais à notre placez, toujours dans l'erreur, dans le mensonge ou dans l'exagération. « il y a très, très longtemps, les femmes dirigeaient le royaume. Les hommes commencèrent à trouver que ce n’était pas une bonne chose, et appelèrent à une réunion pour discuter de ce qu’il y avait lieu de faire. Ils décidèrent de réunir les femmes et de les faire danser nues devant eux.

Quand les femmes arrivèrent et que les hommes leur dirent ce qu’elles devaient faire, elles refusèrent car, dirent-elles, elles avaient honte de faire une telle chose. Les hommes répliquèrent que quand on dirige un royaume, on ne doit pas connaître une chose comme la honte. Il fut décidé d’avoir une autre réunion des hommes et des femmes ensemble afin de résoudre la question. Douglas Hofstadter - Person Paper on Purity in Language. William Satire (alias Douglas R. Hofstadter) From Metamagical Themas: Questing for the Essence of Mind and Pattern by Douglas R. Hofstadter, Basic Books, 1985. (Original web version: It's high time someone blew the whistle on all the silly prattle about revamping our language to suit the purposes of certain political fanatics.

Most of the clamor, as you certainly know by now, revolves around the age-old usage of the noun "white" and words built from it, such as chairwhite, mailwhite, repairwhite, clergywhite, middlewhite, Frenchwhite, forewhite, whitepower, whiteslaughter, oneupuwhiteship, straw white, whitehandle, and so on. There is nothing denigrating to black people in being subsumed under the rubric "white"-no more than under the rubric "person.

" But Niss Moses would have you sit up and start hollering "Racism! " Another suggestion is that the plural pronoun "they" be used in place of the inclusive "whe. " But Nrs. As for Nrs. Nrs. « 70 conseils pour trouver l’homme de notre vie… » : connasses vénales et crétins priapiques, le monde selon le magazine « Sensuelle » Pour le gros dossier de son 31ème numéro, « Sensuelle » a apparemment réglé la DeLorean sur une lointaine époque, que nous pourrions situer (à la louche) entre la préhistoire et le XIXème siècle. En effet, dans l’article intitulé « 70 conseils pour trouver l’homme de notre vie », la rédactrice en chef elle-même se colle à la lourde tâche de nous remettre dans le droit chemin, nous autres créatures dégénérées, qui avons renié l’ordre Naturel des choses. Qu’est-ce que l’ordre naturel des choses, se demanderont les plus perverties d’entre nous ?

C’est simple, L’ONDC peut se résumer à cette limpide affirmation : Tu es une femme, tu as donc besoin d’être protégée et dominée. Alors arrête de penser qu’hommes et femmes sont égaux. L’homme n’est pas ton égal, non non non. Pour trouver l’homme de votre vie, ce qui devrait bien sûr être votre priorité, il y a donc quelque règles à respecter, sous peine de voir votre vagin maudit pour les siècles des siècles.

A lire aussi : Isabelle Chazot, ex-rédac' chef de 20 ans : « c'est comme si la presse féminine avait voulu accompagner le made in china » Fuck Yeah La Presse Féminine. L’influence des femmes sur le Net ou l’art de l’auto-sabotage. Si vous êtes un(e) habitué(e) de Twitter, vous avez sans doute entendu parler de Klout qui a fait grand bruit récemment sur le site de microblogging. Pour les non-initiés, il s’agit d’un outil de mesure de l’influence sur la toile qui attribue aux utilisateurs un score entre zéro et 100. Capture d'écran du site Klout.com Cette note est calculée à partir de 35 variables (nombre de followers et d’amis, écho donné à vos publications, taille de l’audience engagée…).

Afin de créer l’événement autour de cet outil et générer du trafic, le site Minutebuzz a établi à partir de ces scores un "Top 100 des personnalités les plus influentes en France". Un classement Klout très testosteroné ! Partagée entre circonspection et curiosité, je suis allée jeter un coup d’œil sur ce classement. Pour l’aficionada de Twitter que je suis, pas de grande surprise : on y retrouve les têtes connues, ceux qui font le buzz et qui sont régulièrement cités dans la presse. 539 bios Twitter comme sujet d’enquête Zhao ! Girly is the new débile. Je suis tombée sur cet article via Raminagrobis. Je reste toujours assez stupéfaite de l'immense capacité des femmes à s'auto-dénigrer.

Le foot est effectivement davantage suivi par les hommes et il était plutôt pertinent de créer un site destiné aux femmes afin de leur enseigner quelques termes footballistiques. Il était même opportun, soyons fou, de genrer le mesage en prenant un ton "entre filles". Passons sur le non féminisme des créatrices , je renonce provisoirement à comprendre comment on peut ne pas être féministe. Pourtant ce qui m'a le plus gênée dans l'article est cette phrase "Le tout est volontairement raconté sur un ton léger, très girly. ". Sophie Gourion avait très bien expliqué la capacité des femmes à s'autodénigrer. Beaucoup de femmes ont énormément de mal à sortir des stéréotypes de genre et, au fond, s'y complaisent totalement tant on leur a appris qu'être prise pour une jolie idiote est flatteur.

Le girly et le marché. , et plus précisément de la façon dont il contribue à l'auto-dénigrement des femmes. Reste à savoir ce qui fait la popularité de ce terme. C'est là que j'interviens, avec mon habituelle obsession pour les mécanismes de marché. ValérieCG part de cet article de Rue89 à propos d'un site subtilement intitulé FootPouf : un site qui, comme son nom le laisse deviner dans un soupir de désespoir, se propose d'expliquer le foot aux femmes.

Le tout est rose et explique que, bien évidemment, les mecs pensent leur temps avachis devant la télé à boire de la bière en matant des poilus qui courent après une balle. Je prends toujours ce genre de chose pour une insulte personnelle, mais passons. La plupart des articles sont écrits sous forme de listes, figure stylistique dominante des magazines genrés - féminins ou masculins - parce qu'elle permet de caractériser et renforcer les dits genres.

Bref, que du bon. Des questions légitimes, mais pourquoi parler de « poufs » ? Les attributs du pouvoir et leur confiscation aux femmes. Le genre et la parole. Partie 1 : l’occupation de l’espacePartie 2 : le temps de parole et le choix des sujets de conversation Partie 3 : l’expression de la colère Nous avons vu que les hommes – ou du moins les personnes masculines – occupaient plus d’espace que les personnes féminines. Nous allons voir maintenant comment se répartit le temps de parole entre les genres. Je vous renvoie d’emblée à cet article très intéressant « La répartition des tâches entre les femmes et les hommes dans le travail de la conversation » de Corinne Monnet. Cependant, la plupart des références de l’article sont un peu anciennes (années 1970 et 1980) ; je vais donc tenter de les réactualiser dans cet article, et d’apporter des informations complémentaires.

Avant de continuer plus loin, je voudrais expliquer les « règles du jeu » de la conversation, comme les ont définies Sacks H., Schegloff E. et Jefferson G. Selon un mythe bien ancré, les femmes parleraient plus que les hommes. Cette socialisation commence avec les parents. 1. 2. Olympe et le plafond de verre. Ranked: Disney Princesses From Least To Most Feminist. It's hard to be liberated in a clamshell bikini. by Sonia Saraiya I just saw Brave, and it got me thinking about the grand tradition of Disney princesses. Brave is a Pixar movie, and its heroine, Merida, is a fairy-tale feminist. Disney princesses for the most part, are not. Most need to be rescued by their male love interests; almost all the Disney Princess movies end in marriage or engagement.

But that doesn't mean they're all equally regressive. There's actually a wide range, from appalling to not half bad. Now, I know ranking anything by perceived feminism is problematic, as your professor might put it, but go with me for the sake of discussion. 10. The early Disney films were all strange fables with beautiful scenery and women who made no choices for themselves; Sleeping Beauty is the apex of these. 9. Yeah, about all that sleeping... well, Snow White also conveniently falls asleep for much of this film, and waits to be rescued by a Charming (but otherwise featureless) prince. 8. 7. Une super héroïne sans plastique de rêve ni lingerie affriolante. Catherine Abigail Daniels, ou Cat, de son petit nom, est une doctorante dont le papa est policier. Et comme toutes les héroïnes, elle dispose d'un super pouvoir : une exceptionnelle intelligence. Elle est surtout issue de l'imaginaire d'un universitaire, Will Brooker, qui est si consterné par la manière dont les femmes sont présentées dans les comics, qu'il a décidé de livrer au monde un contrepoint total.

Et pour le coup... Cat est une super héroïne, comme cela peut se faire, avec identité secrète, influence sur le monde, et ainsi de suite. Mais son créateur n'était pas animé de la volonté de faire manger des épinards à ses contemporains : en entrant dans le magasin local qui vend des comics, il est ressorti avec la nausée. « Tous les comics sur les étagères présentaient des femmes comme des pin-ups. Un point pour notre ami universitaire.

C'est au détour d'une séance de cours que l'idée de Cat a cheminé : en observant ses étudiantes. Pour approfondir. Feminist Disney. Hmmm this is an interesting continuation of the “how to let kids be kids” argument from yesterday. I get what you’re saying but I also think there is a LOT going on in that moment, and once again, the solution of “just act like you can’t see your kids and let them do whatever they want” is sort of ignoring the overarching social context that kids are never removed from, even if we think they should be. I haven’t seen the special and the referencing is likely too vague for me to find it among a hundred clips of her, so I will infer that Wanda, as a black child, is acting as most children do, misbehaving or making funny faces, whatever Mother sees child doing this, does not want child to reinforce a certain idea of “what black people are like” to white people watching the child.

I will assume her mother is also black, since I couldn’t find much info about Wanda’s family online. A new Stanford University study predicts that the black student will be punished more harshly. Why? Les femmes, ces hystériques - Reika's place. Vendredi 21 septembre 2012 5 21 /09 /Sep /2012 09:15 Il y a un truc qui m'exaspère un peu chez certains hommes : cette propension à balayer d'un revers de la main les colères et protestations des femmes avec cette justification merveilleuse que serait cette prétendue hystérie inhérente à la nature féminine.

Ainsi, ils ne diront pas d'une femme qu'elle se fâche, ou qu'elle se met en colère. Non, ils préféreront employer des expressions très neutres comme "monter sur ses grands chevaux", "s'énerver pour un rien", "péter un câble", ou encore le très subtil "casser les couilles". C'est bien connu, nous les femmes, des fois, on s'ennuie, alors on se dit que pour s'occuper, ça pourrait être marrant de faire chier un homme. C'est très pratique parce que ça leur permet de nier complètement qu'il puisse y avoir le moindre soupçon de bien fondé dans n'importe laquelle des colères qu'une femme pourrait éprouver. C'est une façon assez efficace de réduire au silence. Faut-il brûler les féministes d'aujourd'hui ? 16 heures. Réunion du mouvement féministe pour des femmes sans problèmes. - Bonjour à toutes. Comme chaque année, nous allons revoir notre planning sur nos grands sujets féministes pour lesquels nous combattons.

C'est pas bien compliqué, on va reprendre comme d'habitude nos thèmes de prédilection donc on va faire une grosse session sur la violence conjugale pendant le mois de janvier, en février on parlera évidemment du combat décisif sur l'égalité des salaires hommes-femmes puis au mois de mars, on fera notre livre blanc sur la protection de la femme au travail. Les empêcher de penser Cette scène fictive représente à mon sens l'utopie publique sur le féminisme d'aujourd'hui.

Parce que les féministes posent comme problème global la place de la femme dans la société en se basant sur des courants féministes, un histoire féministe, des concepts et des sciences. Les anciennes vs les nouvelles J'ai également lu que les féministes d'aujourd'hui ne valent pas celles d'hier. Et les hommes ? Beauté fatale.