background preloader

Cheveux et coiffe

Facebook Twitter

Histoire du costume, costumes anciens : coiffure à la Titus. Eloge chevelure par coiffeur en 1810. Histoire, magazine et patrimoine. Pour offrir dignement au monde entier l’éloge de la plus jolie, de la plus agréable, de la plus galante de toutes les coiffures qui aient paru depuis que le monde existe, il serait bon d’abord de faire une invocation ; mais à qui l’adresserai-je, écrit le coiffeur J.

Histoire du costume, costumes anciens : coiffure à la Titus. Eloge chevelure par coiffeur en 1810. Histoire, magazine et patrimoine

-N. Palette ?... Sera-ce à Apollon ? Il ne s’est jamais occupé de la coiffure des Déesses. Dois-je l’adresser aux Muses ? J’adresse donc ma prière à Momus : O toi, Momus ! Coiffure Legendaire: the story of Titus haircut, the 1st short hairstyle. Boilly_fouler. Du néoclassicisme à l’éclectisme, des prémices du romantisme à celles de l’impressionnisme, l’art des périodes napoléoniennes est multiple et continue de fasciner chercheurs, collectionneurs et simples amateurs.

boilly_fouler

Amoureux des beaux-arts ou fin connaisseur des arts décoratifs, venez ici partager votre passion. Enrichissements récents Objet du mois : Bijou de chevalier de l'ordre de l'Éléphant de Napoléon Ier Agenda : Théâtres romantiques à Paris Musées Chateaux et demeures : Le musée des Lettres et Manuscrits (Bruxelles) Commentaires Célèbre pour ses compositions mettant en scène les moeurs de son époque, Louis-Léopold Boilly le fut aussi pour son talent de portraitiste. C'est ici une jeune femme à la mode que peint Boilly. Histoire des cheveux courts. Photographie : Gravure d'époque 1802, représentant le comédien Talma dans Cinna, pièce de Pierre Corneille (ici marquée de Racine).

Histoire des cheveux courts

J'ai à plusieurs reprises dans ce blog fait des allusions aux cheveux courts de la fin du XVIIIe siècle et du début du XIXe, qui marquent une rupture abrupte avec la coutume précédente des perruques, cheveux longs et hautes compositions formant de véritables monuments au-dessus des têtes féminines. 'Chevelures en porc-épic', 'coiffures à la victime', 'coiffures à la Titus' … sont alors adoptées par la jeunesse des deux sexes. C'est, paraît-il, l’acteur François-Joseph Talma (1763 - 1826) qui met à la mode cette coupe pour les hommes ; dans un élan qui demeure jusqu'à aujourd'hui, avec des exceptions aux époques romantique, hippie et par la suite. Les femmes l'adoptent aussi, mais seulement pour quelques années ; avec des retours dans les années folles et ensuite.

Les coiffures à la mode. Les accessoires de la coiffure à travers le monde et l'histoire. Coiffures du XVIIIeme. Chère Fleurdelys, Oui, les femmes du XVIIIe portent rarement des perruques à proprement parler, mais plutôt des postiches.

Coiffures du XVIIIeme

Dès l'époque de Louis XV, avec à la vogue du "tapé" si joliment décrite, le "tapé" proprement dit, c'est à dire la cascade de "marteaux" (boucle) est postiches : les rouleaux parfaits de cheveux postiches étant montés sur fils de fer sont ajoutés chaque matin à un chignon simple. Ils sont même, plus souvent, déjà tous réunis entre eux en une double cascade de rouleaux préfabriqués, montée sur soie, et nouée derrière la tête par un ruban. Le montage est habilement dissimulé par les coiffeurs, l'ensemble étant abondamment poudré. C'est assez difficile à expliquer en quelques mots mais j'ai des rouleaux prémontés dans mes collections, je tacherai d'en photographier.

Le Cheveu dans l'Antiqueté (2eme. Partie) Ginger, le corps momifié le plus anciennement connu jusqu'à aujourd'hui en Égypte, était blond, les cheveux ondulés, et la peau blanche jaunâtre.

Le Cheveu dans l'Antiqueté (2eme. Partie)

Il a été trouvé dans le cimetière de Gebelein, au sud de Thèbes, en 1900 et on a pu déterminer son âge : près de 3.500 ans avant l'Ère Chrétienne c'est-à-dire une momie de 5.500 ans, de l'époque de la Période Prédynastique. Son nom (qui signifie "gingembre") découle de la couleur et des boucles de ses cheveux, qui sont en partie conservés. Coiffes. Pourquoi montrer des coiffes paysannes aujourd'hui et tresser autour d'elles une parole qui permette de les approcher ?

Coiffes

Que gagne-t-on, qui plus est, à les rendre proches du patrimoine roman, ou de l'architecture arménienne ? Dans tout ce que les générations se transmettent, tout ne fait pas patrimoine. Celui-ci se construit dans la durée, dans cette distance que le regard porte sur les choses, il faut qu'on ait choisi, choisi de garder d'abord, puis qu'il y ait eu un travail de mémoire, un dialogue entre l'autrefois et l'aujourd'hui.

Le patrimoine n'a de sens que comme passerelle entre une culture qui témoigne encore et une autre à inventer jour après jour, entre nous. Ces coiffes que les femmes de Saintonge et du Poitou ont créées et portées, au temps de l'apogée de la civilisation rurale, sont encore proches de nous, mais leurs formes, leurs dentelles, leurs usages... atteignent désormais une permanence qui nous permet de les interroger, de les parcourir comme en un voyage. Lire la vie.