background preloader

Insiders ?

Facebook Twitter

Joris-Karl Huysmans. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Huysmans. Joris-Karl Huysmans J. -K Huysmans (Cliché Taponier, 1904). Œuvres principales Joris-Karl Huysmans [ɥismɑ̃ːs][1], de son vrai nom Charles Marie Georges Huysmans, est un écrivain et critique d'art français, né le 5 février 1848 à Paris et décédé le 12 mai 1907 à Paris en son domicile du 31 rue Saint-Placide. Biographie[modifier | modifier le code] Plaque commémorative de Joris-Karl Huysmans entre le 8 et le 9 rue Cambacérès à Paris (8e) En tant que romancier et critique d’art, il prit une part active à la vie littéraire et artistique française dans le dernier quart du XIXe siècle et jusqu’à sa mort, en 1907. Atteint d’un cancer de la mâchoire, J. La Société J. Le romancier naturaliste[modifier | modifier le code] En 1874, Huysmans fait paraître à compte d'auteur un premier recueil de poèmes en prose intitulé Le Drageoir aux épices.

Huysmans par Coll-Toc (Les Hommes d’aujourd’hui, 1885) J. Joseph-Antoine Boullan. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Joseph-Antoine Boullan, généralement connu comme l'Abbé Boullan, est un prêtre français du XIXe siècle condamné pour satanisme, né à Saint-Porquier (Tarn-et-Garonne) le 18 février 1824 et mort à Lyon le 4 janvier 1893. Biographie[modifier | modifier le code] Joseph-Antoine Boullan fit des études brillantes au séminaire de Montauban, et fut ordonné prêtre le 23 septembre 1848 et nommé vicaire de la paroisse Saint-Jean à Montauban pendant deux ans. Il se rendit ensuite à Rome où il obtint son doctorat en théologie. En Italie, il fit partie des missionnaires du Précieux Sang et prêcha plusieurs missions avant de revenir en France où il fut nommé supérieur de la maison que la congrégation possédait aux Trois-Épis, près de Turckheim, en Alsace.

En 1854, il quitta cette position et vint à Paris comme prêtre. Il appela l'attention de l'Archevêché par les vues hérétiques qu'il développait dans sa revue. Progressivement, Boullan relâcha sa prudence. Berthe de Courrière. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Berthe. Caroline Louise Victoire Courrière, dite Berthe de Courrière, est une demi-mondaine née à Lille en juin 1852 et morte à Paris le 14 juin 1916. Partie à vingt ans à la conquête de Paris, elle devient la maîtresse du général Georges Boulanger et de plusieurs ministres. À sa mort, en 1883, Berthe, instituée sa légataire universelle, se retrouve pourvue d'une belle fortune.

En 1886, elle rencontre Remy de Gourmont, qui fait ses débuts en littérature et lui commande une étude sur Clésinger. Elle devient sa maîtresse et son égérie, et Gourmont habitera chez elle, d'abord rue de Varenne, puis no 71 rue des Saints-Pères, jusqu'à sa mort en 1915. Elle mourra quelques mois après lui et repose à ses côtés dans le caveau de Clésinger au cimetière du Père-Lachaise. Berthe était, semble-t-il, passablement déséquilibrée. Portail de la sculpture. François Angelier, conférence sur Là-bas de Huysmans (P. Thiellement) Gilles de Rais. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Rais. Gilles de Montmorency-Laval, plus connu sous le nom de Gilles de Rais, né au château de Champtocé-sur-Loire[1],[2] à une date inconnue, peut-être vers la fin de l'année 1404[3],[4] ou plus vraisemblablement vers le [5], mort le à Nantes, est un seigneur de Bretagne, d'Anjou et du Poitou[6], connu pour avoir été maréchal de France et compagnon d'armes de Jeanne d'Arc.

Gilles de Rais est une figure de la guerre de Cent Ans, lors de laquelle il combat aux côtés de Jeanne d'Arc et est promu maréchal de France. Rentré sur ses terres après la mort de la Pucelle d'Orléans, il dépense sans compter sa fortune et, endetté, s'essaye à l'alchimie et à l'invocation de démons pour renflouer ses caisses. En 1440, Gilles de Rais est condamné par un tribunal ecclésiastique pour hérésie, sodomie et meurtres de « cent quarante enfants, ou plus »[11].

Biographie[modifier | modifier le code] William Morgan (anti-maçon) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. William Morgan Il quitta sa loge maçonnique après avoir été rejeté d'un chapitre des hauts grades maçonniques[1]. Par la suite, il publia une divulgation exposant les secrets de la franc-maçonnerie. Peu après, le 11 septembre 1826, il disparut sans laisser de traces. Trois maçons, Loton Lawon, Nicholas Chesebro et Edward Sawyer, furent accusés et condamnés pour l'assasinat de Morgan[3].

En juin 1881 à Pembroke, New York, une tombe fut découverte contenant une boîte de métal avec un papier où l'on pouvait déchiffrer un message supposant que c'était le corps comme celui de William Morgan[4]. Suite à l'affaire Morgan et à la vague d'antimaçonnisme qui s'ensuivit, entre 1826 et 1846 la Grande Loge de New York passe de 500 à 65 loges[5], de nombreux francs-maçons démissionnant. Monument à William Morgan. William Morgan (anti-Mason) William Schnoebelen. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. William (Bill) Schnoebelen né en 1949 est un écrivain évangéliste chrétien. Il est connu pour ses opinions anti-satanistes, anti-mormons, anti-wiccans et antimaçonniques, ayant lui-même, selon ses dires, fait partie de tous ces mouvements durant une partie de sa vie.

Biographie[modifier | modifier le code] Il aurait ainsi collectionné les grades initiatiques et les titres maçonniques[2] : 32e degré du Rite écossais ancien et accepté, 90e degré du rite de Memphis-Misraïm, 10e degré du rite d'York, 2e degré de l'Église de Satan (Ordre du Trapèze), Shriner, Sorcier Wiccan et membre des Illuminati (1er degré). Grades dont il montre les certificats ouvertement lors de ses conférences. Il dénonce principalement dans la haute maçonnerie illuministe (très mal connue des basses loges rationalistes), un culte du phallus luciférien farouchement opposé aux valeurs du christianisme ainsi qu'une résurgence des cultes à mystères de l'Antiquité.