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Premier concile de Nicée

L'empereur Constantin, entouré des évêques conciliaires présente le texte du symbole de Nicée, adopté lors du premier concile œcuménique Le premier concile de Nicée (en latin : Concilium Nicaenum Primum) est le nom donné à un concile général des évêques de l'Empire romain qui se tint à Nicée (aujourd'hui, İznik, en Turquie) en Bythinie, sur convocation de Constantin Ier, du au , sous les épiscopats de Sylvestre de Rome, d'Alexandre d'Alexandrie, d'Eustathe d'Antioche, d'Alexandre de Constantinople et de Macaire de Jérusalem.

Il est considéré comme le premier concile œcuménique par les Églises chrétiennes. Il forme, avec le premier concile de Constantinople de 381, les deux seuls conciles considérés comme œcuméniques par l'ensemble des Églises chrétiennes[2]. Circonstances[modifier | modifier le code] Constantin Ier (empereur romain) Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Constantin Ier (empereur romain)

Ses noms de référence sont Imperator Caesar Flauius Valerius Aurelius Constantinus Pius Felix Inuictus Augustus, Germanicus Maximus, Sarmaticus Maximus, Gothicus Maximus, Medicus Maximus, Britannicus Maximus, Arabicus Maximus, Adiabenicus Maximus, Persicus Maximus, Armeniacus Maximus, Carpicus Maximus. Dioclétien refuse de revenir au pouvoir, force Maximien à abdiquer de nouveau et reforme la tétrarchie avec en Orient Galère secondé par Maximin Daïa et en Occident Constantin et un nouveau venu, Licinius, officier illyrien sorti du rang choisi par GalèreMaximien et Maxence, déclarés usurpateurs, maintiennent leurs prétentions et, en Afrique, Domitius Alexander proclame les siennes. On a alors sept empereurs, une heptarchie, qui ressemble davantage à l'anarchie militaire du IIIe siècle. Les relations entre les vainqueurs ne tardent pas à se dégrader, tous deux faisant montre d'une énorme ambition. Arianisme. La géopolitique du Coran, ferment d'un arianisme conquérant.

La géopolitique du Coran, ferment d'un arianisme conquérant Niant la double nature du Christ, dont elle ne reconnaissait que sa seule humanité, l'hérésie d'Arius sera condamnée au Concile de Nicée (325).

La géopolitique du Coran, ferment d'un arianisme conquérant

Il n'empêche. Cette hérésie fera largement école au cours des premiers siècles de l'Église. Il faudra le baptême de Clovis et la victoire de la France naissante à Tolbiac sur les Alamans (496), à Vouillé sur les Wisigoths (507) et à Autun sur les Burgondes (532), pour que s'éloigne la menace d'une Europe entièrement dominée à ses débuts par l'arianisme. Al Andalous - L'Espagne et le temps des califes Documentaire Complet. Ibn Arabî. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Ibn Arabî

Pour les articles homonymes, voir Arabi. Ibn Arabî Moheïddine Ibn ’Arabî (محي الدين بن عربي), ou Mohyiddîn Abu Bakr Mohammad Ibn Alî Ibn ’Arabî al-Hâtimî, Musulman,d'origine arabe plus connu sous son seul nom de Ibn ’Arabî (né le 28 juillet 1165, à Murcie, en al-Andalûs (actuelle Espagne), et mort le 16 novembre 1240[1], à Damas en Syrie). Également appelé « ach-Cheikh al-Akbar » (« le plus grand maître », en arabe), ou encore « Ibn Aflatûn » (le fils de Platon), il est un théologien, juriste, poète, métaphysicien et maître arabe-andalous du taçawuff islamique, auteur de 846 ouvrages. Certains considèrent que son œuvre aurait influencé Dante[2]. Sa vie[modifier | modifier le code] Né à Murcie[4], il habite à Séville dès l'âge de 8 ans. En 1179, son père organise une rencontre entre Ibn 'Arabî alors âgé de 14 ans et le philosophe aristotélicien Averroès (Ibn Roshd) à Cordoue.

Histoire des Juifs en Espagne. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Histoire des Juifs en Espagne

Les Juifs d'Espagne ont constitué l'une des plus importantes et des plus prospères communautés juives de la Diaspora, sous la domination successive de royaumes musulmans et chrétiens. Depuis leur conversion forcée à la suite du décret de l'Alhambra, en 1492, une partie des Espagnols et des Portugais d'ascendance juive ont néanmoins continué à pratiquer clandestinement le judaïsme dans la péninsule ibérique.

Ils étaient qualifiés de "Marranes" (porcs) par ceux qui ne croyaient pas à la sincérité de leur conversion. Moïse Maïmonide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Moïse Maïmonide

Moïse Maïmonide Philosophie cordouan Philosophie médiévale Moïse Maïmonide (selon une représentation artistique fréquente) Signature de Maïmonide. Conquête musulmane de la péninsule Ibérique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Conquête musulmane de la péninsule Ibérique

La conquête musulmane de la péninsule Ibérique se déroule dans les années 711-732 après celle du Maghreb. Avant leur arrivée, la péninsule Ibérique est dominée par les Wisigoths. Elle donne naissance à l'espace appelé Al-Andalus. Averroès. AverroèsIbn Rochd ابن رشد La Mezquita de Cordoue (salle des colonnes), où Averroès a effectué plusieurs passages, pour se recueillir ou converser avec ses amis ou ses élèves.

Averroès

Ibn Rochd de Cordoue (en arabe : ابن رشد, Ibn Rushd?) [a], plus connu en Occident sous son nom latinisé d'Averroès[b], est un philosophe, théologien, juriste et médecin musulman andalou de langue arabe du XIIe siècle, né le 14 avril 1126 à Cordoue en Andalousie et mort le 10 décembre 1198 à Marrakech au Maroc. Alphonse X de Castille. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Alphonse X de Castille

Pour les articles homonymes, voir Le Sage. Alphonse X le Sage ou le Savant (en espagnol, Alfonso X el Sabio) (Tolède, 1221 — Séville, 1284), roi de Castille et León (1252-1284) et roi des Romains (1257-1273). Biographie[modifier | modifier le code] Né le , à Tolède dans le palais de Galiana, il est le fils de Ferdinand III (1199-1252), roi de Castille (1217-1252) et de León (1230-1252) et d'Élisabeth de Souabe (1205-1235), fille de Philippe de Souabe, roi des Romains (1198-1208). Élevé dans le nord de la province de Burgos, il garda toujours une grande affection pour la vieille capitale wisigothique. À seize ans, il est aux côtés de son père dans la conquête de l'Andalousie.

Concordisme et Islam. Les théories de Harun Yahya et de Maurice Bucaille sur les vérités scientifiques du Coran. Depuis deux ou trois siècles, les progrès de la science ont porté de rudes coups aux religions, en montrant leurs contradictions, leurs incohérences ou en expliquant par des phénomènes naturels ce qui était autrefois attribué à une manifestation divine ou surnaturelle. Pour ne pas perdre la face ni leurs fidèles, les religions ont adopté plusieurs attitudes : Encadrer étroitement les esprits scientifiques pour qu'ils restent théologiquement corrects, éventuellement par la manière forte. Cette attitude fréquente au Moyen Age et qui a trouvé son point d’orgue pendant l’Inquisition avec le procès Galilée, a heureusement disparu.Refuser d'admettre les théories largement admises par la communauté scientifique en adoptant une lecture littérale des écritures.

Cette façon de pensée existe encore aujourd'hui, la plus connue étant celle des créationnistes pour qui le monde a été créé par Dieu en six jours. (*) BooKenSTOCK.com, Traduction de Mouhammad Hamidullah (**) Ed. Islam et science moderne : les questions qui fâchent. Astrophysicien de notoriété internationale, Nidhal Guessoum a travaillé durant plusieurs années à la NASA, il est actuellement professeur à l’université américaine de Sharjah (Emirats Arabes Unis). Régulièrement invité dans les colloques internationaux aussi bien dans le monde musulman que non-musulman, Nidhal Guessoum s’emploie à concilier la tradition musulmane avec la rigueur méthodologique de la science moderne, sans pour autant céder au matérialisme « moderniste ».

Bibliothèque d'Alexandrie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La bibliothèque d'Alexandrie, fondée à Alexandrie, en Égypte, en 288 avant notre ère et définitivement détruite au plus tard entre -48 et 642, était la plus célèbre bibliothèque de l'Antiquité et réunissait les ouvrages les plus importants de l'époque. §Histoire[modifier | modifier le code] Évocation de la bibliothèque d'Alexandrie. Ayant reçu l'Égypte en partage à la mort d'Alexandre, Ptolémée, un de ses généraux, devenu roi sous le nom de Ptolémée Ier Sôter, s'attacha à faire d'Alexandrie la capitale culturelle du monde hellénistique, à même de supplanter Athènes. La bibliothèque ne commença à fonctionner que sous Ptolémée II Philadelphe[7] qui, selon Épiphane, aurait demandé « aux rois et aux grands de ce monde » qu'ils envoient les œuvres de toutes les catégories d'auteurs[5] et aurait fixé un objectif de 500 000 volumes[8].

Vers -145, Ptolémée VIII Évergète II expulsa les savants (« philologues ») d'Alexandrie[18]. Wisigoths. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Alors qu'ils occupaient l'ancienne province romaine de Dacie depuis la fin du IIIe siècle, les Wisigoths ont adopté peu à peu l'arianisme, à partir de l'année 341, c'est-à-dire une forme du christianisme qui affirme que Jésus-Christ n'est pas Dieu, mais un être distinct créé directement par ce dernier. Cette croyance est en opposition avec l'orthodoxie chrétienne, majoritaire dans l'empire romain quand les Wisigoths s'y installèrent. Fichier:Visigothic Kingdom.png. Religion. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Une religion se conçoit le plus souvent comme un système de pratiques et de croyances pour un groupe ou une communauté, mais il n'y a pas de définition qui soit reconnue comme valable pour tout ce que l'usage permet aujourd'hui d'appeler religion[1].

Le terme latin religio a été défini pour la première fois par Cicéron comme « le fait de s'occuper d'une nature supérieure que l'on appelle divine et de lui rendre un culte »[2]. Dans les langues où le terme est issu du latin, la religion est souvent envisagée comme ce qui concerne la relation entre l'humanité et Dieu. Dans le Coran, le terme dîn, qui peut être considéré comme équivalent de celui de religion, désigne avant tout les prescriptions de Dieu pour une communauté[3].