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Certes, tendre à la réalisation « n’est pas réaliser, et la distinction est nette entre l’homme des convictions et l’homme de l’utopie » (Chantal Delsol, op.cit.). Toutefois, c’est bien l’objectif qui guide les méta-humains. Par conséquent, on peut discerner en les observant de près cette frontière douloureuse et difficile entre conservatisme et progressisme. L’avenir de l’intelligence artificielle est-il… inévitable ? (2/2) : du réductionnisme à l’éthique de l’intelligence. L’Intelligence artificielle était également le sujet de la conférence de Laurent Alexandre à USI (Wikipédia, @dr_l_alexandre), que je n’avais jamais eu l’occasion d’écouter jusqu’alors.

L’avenir de l’intelligence artificielle est-il… inévitable ? (2/2) : du réductionnisme à l’éthique de l’intelligence

Connu pour être volontiers provocateur, voire péremptoire (la vidéo de son audition au Sénat en janvier lors d’une journée d’information sur l’IA en est un bon exemple), Laurent Alexandre demeure ambivalent, à la fois zélote et cassandre, alignant les enchaînements argumentatifs sans toujours grands liens les uns avec les autres, réduisant l’intelligence à quelque chose que l’on pourrait mesurer, évaluer et optimiser, et surtout ce faisant, plaçant celle des machines en concurrence directe avec nos propres formes d’intelligence.

Le réductionnisme de l’intelligence L’ex-chirurgien et investisseur, attaque fort. « L’intelligence est un tabou ! », assène-t-il, car les « élites intellectuelles souhaitent en conserver le monopole », alors qu’« elle est l’enjeu majeur du 21e siècle » . « Parlons politique !