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Clisthene 2. Les 4 piliers de l'apprentissage d'après les neurosciences. D’après Stanislas Dehaene, psychologue cognitif, neuroscientifique et professeur au Collège de France, les neurosciences cognitives ont identifié au moins quatre facteurs qui déterminent la vitesse et la facilité d’apprentissage. 1. L’attention L’attention est la capacité que nous avons à nous ouvrir à la réalité : l’attention ouvre notre esprit. Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, auteurs de La pédagogie positive, la définissent comme Le mouvement cérébral qui va nous permettre d’orienter notre action en fonction d’un objectif, d’un centre d’intérêt… Grâce à elle, nous captons, par nos cinq sens, les différentes informations en provenance soit de notre environnement, soit de notre ressenti émotionnel ou psychologique.

Stanislas Dehaene ajoute que l’attention sert à sélectionner les informations, module massivement l’activité cérébrale et facilite l’apprentissage. Mais l’attention peut être sélective. Quelles conséquences pour l’enseignement ? 2. Stanislas Dehaene écrit : 3. 4. Articles de l'auteur. | Le blog de Silvae, bibliothécaire engagé pour le développement des médiations numériques et des biens communs de la connaissance. :: S.I.Lex :: | Au croisement du droit et des sciences de l'information.

L'odyssée d'Ln : je tisse m@ toile - Le blog d'une prof doc qui a envie de partager ses découvertes, ses doutes et ses espoirs (en particulier dans les biens communs) Les Trois Couronnes - Didactique de l'Information Documentation - Pascal Duplessis. La République Des Livres par Pierre Assouline |La République Des Livres par Pierre Assouline. Bertrand Calenge : carnet de notes | promenades dans les bibliothèques au XXIe siècle. - Le blog de Silvae, bibliothécaire engagé pour le développement des médiations numériques et des biens communs de la connaissance.

Olivier Le Deuff: Quelques députés plutôt sympathiques mènent une campagne en faveur du vote à 16 ans. On y retrouve notamment Paula Forteza dont j’apprécie le travail et qui présente clairement des atouts appréciables et une réflexion qui mériteraient de la voir mener une équipe ministérielle voire un gouvernement (on a le droit de rêver !). Plusieurs aspects me gênent dans cette initiative car j’y vois plusieurs erreurs à la fois en matière de connaissance du terrain (notamment des jeunes générations), mais également en ce qui concerne les conséquences directes et indirectes qui sont des revers de la médaille de la proposition.Je ne comprends toujours par comment les politiques ne saisissent pas ou font semblant de ne pas saisir qu’une décision n’est jamais isolée et qu’elle produit des effets systémiques dont on perd souvent le contrôle.

Il est vrai que la politique est surtout devenu un art de la rustine, art itératif et communicationnel qui peine à se projeter sereinement. Première remarque. L'Atelier des icônes | Le carnet de recherche d'André Gunthert. Les usages ordinaires des images L’histoire de l’art comme les visual studies privilégient une approche autonomiste des images, bien loin de leurs usages réels. Utilisées comme supports de récit ou espaces de projection, les images interviennent dans la culture ordinaire de façon décorative ou utilitaire, à des fins principalement référentielles, comme des outils de transaction ou de naturalisation des formes culturelles.

Seule la prise en compte de la globalité des dispositifs, des circulations intermédiales et de l’interaction avec la réception permet de comprendre les particularités et les forces des ressources visuelles. A travers une série d’études de cas, le séminaire se donne pour objectif de dégager les conditions théoriques d’une analyse du rôle du visuel dans la culture. Blog: Initiation à l’étude de la culture visuelle.