L'école à l'ancienne (A LIRE) L'école de nos jours. L'école en 1914. Le Certificat d’Études – Familles de Quintenas. Il était une fois : l’école en 1914. Pierre Perrin était instituteur à Craponne.
Grâce à sa monographie, présentée à l’exposition universelle de Lyon en mai 1914, de nombreux détails sur la vie scolaire de l’époque ont pu être retrouvés. « Tout d’abord, il est très rare de posséder une photo de l’intérieur d’une école à cette époque-là » fait remarquer Henri Robert, président du Groupe de recherche et d’étude de l’histoire (Grehc).
Ce qui était primordial, c’était la grande discipline et le respect de l’autorité. La blouse, grise ou noire, était obligatoire pour les écoliers. Les petits bureaux de bois avaient leur encrier intégré. Il y avait deux classes bien distinctes : les grands jusqu’au CM2 et les petits, à partir du CP. Pour aider la vie scolaire, il existait un “Denier des écoles”, qui équivaut à notre actuel Sou des écoles, associé au Patronage laïque. Source : Grehc. La scolarité des enfants avant la guerre. La scolarité des enfants d’aujourd’hui est bien différente de celle d’avant guerre.
Souvent, la fin de la scolarité et donc la vie active interviennent à 13 ans. La poursuite des études était plus limitée qu’ aujourd’hui… Au début du docgame « Classe 1914 », nous rencontrons les personnages à l’aube de passer leur certificat d’études primaires. Intéressons-nous un peu à la scolarité de ces enfants du siècle dernier. Le certificat d’études primaires (C.E.P.) La scolarité était alors définie en “ordres”: le primaire, le secondaire voire le technique. Les Petites Mains, histoire de mode enfantine: Il y a cent ans, la rentrée scolaire 1914. ▲La rentrée scolaire en 1914▼ Voir le court extrait vidéo [0mn30] du film Apocalypse, sur le site de FranceTV ▲à g. : Albert Sarraut, Circulaire ministérielle du 30 septembre 1914 Bulletin de l'Instruction Primaire de Seine-et-Oise, Partie officielle, « Classe de rentrée », p.98 Musée de l'Éducation du Val d'Oise sur le site Mission Centenaire 14-18 à dr. : Illustration pour « 2 août 1914 », Jacques Onfray de Bréville dit Job BnF, Paris, sur Agence photographique de la RMN Le 30 septembre 1914, à la veille de la rentrée scolaire, le ministre de l'Instruction publique et des Beaux-Arts, Albert Sarraut, écrit aux recteurs d'académie : « Je désire que le jour de la rentrée, dans chaque classe, la première parole du maître aux élèves hausse le cœur vers la patrie, et que sa première leçon honore la lutte sacrée où nos armées sont engagées ». ▲« Allons, Enfants de la Patrie... » sur le forum CPArama de cartes postales anciennes de France « En Alsace.
▲à g. :« 1914. ▲« Jusqu'au bout. L'école avant guerre 1914 1918. 1914-2014 "Mémoire de l'école et devoir de mémoire" L'école avant et pendant la guerre.
Ecriture La plume permet de dessiner les pleins et les déliés que l'écolier apprenait à exécuter sans appuyer, après avoir tracé la lettre au crayon. Écoutez :La plupart d'entre nous n'auraient même pas le Certificat d'études. C’est l’heure de notre rendez-vous avec l’histoire.
La France il y a 100 ans, avec l’historien Antoine Prost. Aujourd’hui, l’école et le certificat d’études… La plupart d’entre nous n’auraient même pas le certificat d’études. Il faudrait en finir avec le mythe d’une école où régnait l’ordre et le silence, où les élèves apprenaient tous à lire à écrire et à compter et où il connaissaient les grandes dates de l’histoire de France, les départements avec leurs préfectures, les sous-préfectures, les fleuves et leurs affluents.
Les classes étaient très lourdes : plus de 30 élèves, parfois même plus de 50... En 1913, moins de 15% des conscrits ne savaient ni lire ni écrire. Le maître quant à lui ne présentait pas tous ses élèves au Certificat d'études, il n'y emmenait que les plus forts, en moyenne 1/3 de la classe. Les enfants avant 1914 – Courage, petit Jacques ! fais ton devoir ! Elèves regroupés autour du maître d’école à Saint-Germain ou Ansigny, garçons de la classe 1912-1913 et groupe de filles disposé devant la fruitière à La Biolle par le photographe L.
Grimal, nous ne manquons pas d’image du très nombreux peuple des enfants. Dans le monde d’avant 1914, l’enfant unique n’est pas l’idéal familial qu’il deviendra par la suite. Qu’il naisse dans une famille de cultivateur si nombreuse dans le canton ou chez divers artisans et commerçants du bourg d’Albens, l’enfant semble alors le « bienvenu ». CartePostaleLaBiolle. A l epoque blouse obligatoire et encrier sur les bureaux de bois photo d archives grehc 1532550207.