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Le pétrole au coeur des relations internationales - Le pétrole : un enjeu international. Le pétrole depuis la Seconde Guerre mondiale Internationalisation et affrontements : 1945-1970 Dialogue sur l'énergie entre le secrétaire général de l'OPEP, Abdalla Salem El-Badri (à g.) et Günther Oettinger, de la CE, juin 2010. Agrandir l'image « La décolonisation et la question du développement mettent le pétrole au cœur des relations internationales », rappelle Hervé l’Huillier dans son article "Pétrole et relations internationales depuis 1945" publié dans le n° 2 [épuisé] de Questions internationales (La Documentation française, juillet-août 2003). « Plusieurs pays, intégrés jusque là dans des systèmes coloniaux, se révèlent potentiellement riches en ressources pétrolières : Algérie, Gabon, Nigeria, Indonésie... [...] Les actifs des compagnies internationales sont partiellement nationalisés, [...] les relations avec les anciennes puissances coloniales se tendent.

Double choc pétrolier, émergence du marché : 1970-1980 La plateforme pétrolière Sleipner, au large de la Norvège. Pourquoi il vaut mieux être seule que mal accompagnée ? Par peur de la solitude, nous sommes nombreuses à nous rassurer grâce à des relations amoureuses quelque peu bancales, qui ne nous conviennent pas vraiment. Pourtant, mieux vaudrait être seule que mal accompagnée… On peut être célibataire et heureux L’argent ne fait pas le bonheur. Les relations amoureuses non plus. La clé d’une vie épanouie : être en phase avec ses envies, ses besoins, ses attentes. Être seule est l’occasion de savoir ce que l'on veut vraiment Être en couple avec quelqu’un qui ne nous convient pas nous évite bien souvent de nous poser trop de questions. On diminue nos chances de trouver le bon Une relation qui ne nous convient pas reste malgré tout une relation. C’est horriblement déprimant Il n’y a rien de plus déprimant que de se sentir seule tout en étant pourtant avec quelqu’un.

C’est injuste pour l’autre personne Une relation se construit à deux. On risque de finir par détester notre +1 Votre cher et tendre actuel trompe parfaitement bien votre solitude. LES RELATIONS TOXIQUES. Par Diane Gagnon le 5 janvier 2015 En ce début de nouvelle année, la plupart d’entre nous avons probablement pris comme résolution de décider d’être heureux cette année et de faire ce qu’il fallait pour y arriver. Dans notre quête du bonheur, nous cherchons à nous réaliser. On lit tous les jours des recettes pour être heureux : se dépasser, pardonner, avoir de la compassion, prendre soin de soi, prendre soin des autres, s’aimer, surtout. Mais il y a un élément qu’on oublie souvent : c’est impossible d’être heureux si on garde des relations toxiques dans notre vie. Évidemment, ce ne sont pas toutes les personnes qui demandent de l’aide qui sont toxiques, ni celles qui ont parfois besoin d’exprimer leurs frustrations pour être entendues ou qui cherchent sincèrement à se sortir de leur position inconfortable de victime.

Aimons-nous assez pour ne plus accepter le poison des relations toxiques dans notre vie. 201701251207 1. 201701251207. Je fuis les relations toxiques. Si certaines personnes participent activement à notre bien-être, d’autres, au contraire, semblent s’ingénier à lui nuire. Comment se débarrasser de ces relations toxiques ? Les conseils de Luce Janin Devillars. A découvrir Luce Janin Devillars, notre expert "Soi" Janin Devillars est à la fois psychologue clinicienne, psychanalyste.

Elle est également coach en entreprise. A lire : - Changer sa vie, Pocket, 2003- Ces morts qui vivent en nous, Fayard, 2005 Lire aussi sur Psychologies.com : - Ne vous laissez plus manipuler ! - Amitié : oser rompre A lire : - Comment avoir de bonnes relations avec les autres, Christian Zaczyk- Bien avec soi-même, bien avec les autres, Béatrice Millêtre Dès que l’on ressent un malaise intérieur face à une personne, que l’on se sent empoisonné par elle, ou gêné par ce qui nous semble un double discours, de faux compliments ou une fausse gentillesse -dissimulant de façon détournée des pics négatifs-, il faut y couper court, et parvenir à mettre de la distance.

Comment se débarrasser d'une personne toxique. Les bienfaits des relations semblent être un axiome indétrônable. Avoir des relations semble permettre d’avoir une meilleure santé, un meilleur emploi, une vie plus accomplie, une plus grande créativité, de meilleures opportunités d’affaires, un meilleur équilibre psychique et j’en passe. Bref, nous pouvons aisément dire que la réussite d’une personne se mesure par le nombre et la qualité de ses relations.

Dans cet article je vais tenter d’aborder le sujet vers un autre angle, plus critique, et voir si une relation est forcément bénéfique et surtout de vous transmettre des outils pour éliminer celles qui sont néfastes. Bref, je vais traiter de certaines techniques nous permettant de se débarrasser d’une personne toxique. L’évidence des mauvaises relations Le but de cet article n’est pas de vous dire qu’il est possible d’avoir des relations qui auront un impact négatif sur votre vie. Une relation peut tout autant propulser une personne vers le plus haut sommet que la détruire complètement. L'argent fait vraiment le bonheur : 6 leçons à retenir d'une nouvelle étude sur le sujet. Le magazine américain Forbes vient de publier son classement annuel des milliardaires pour l'année 2013. Mais ces sommes astronomes sont-elles utiles au bien-être ?

L'argent et le bonheur ont toujours eu une relation intrigante pour les penseurs. Globalement, les experts sont arrivés à la conclusion que l'argent a un effet sur le bonheur, jusqu'à un certain point. En l'occurrence, une fois que tous les besoins de bases sont pris en compte, gagner plus d'argent aurait moins (voir pas du tout) d'impact sur votre bien-être. Seuls les gens les plus fortunés continueraient à améliorer leur "taux de bonheur" en améliorant leurs revenus, et ce tant que leur richesse "grandit davantage" relativement à celle de leurs amis ou des autres concitoyens.

C'est ce que les économistes appelaient le paradoxe d'Easterlin, devrait-on plutôt écrire. 1- Plus les pays sont riches, plus ils sont heureux 2- Mais la progression du bonheur n'est pas parallèle à l'argent gagné 4- Il n'y a pas de "plateau du bonheur" C'est prouvé, être heureux au travail améliore la productivité. VIE DE BUREAU - Plus un employé est heureux, plus il est efficace dans son travail. Ce n'est pas une surprise, mais c'est ce que démontre une nouvelle étude menée par le département d’économie de l'Université de Warwick, au Royaume-Uni. En réalisant un certain nombre d'expériences, dont les résultats vont être publiés dans le Journal of Labor Economics, l'équipe de chercheur a déterminé que le fait d'être heureux augmentait la productivité de près de 12%. En tout, ce sont 700 participants, divisés en plusieurs groupes, qui se sont prêtés au jeu de différentes expériences.

Alors que l'un des groupes s'est vu offrir du chocolat et des fruits, un autre a pu regarder un clip comique. D'autres participants ont été amenés à se confier sur les événements tragiques qui les avaient récemment affectés (disputes familiales, deuil...), et de déterminer si cela avait eu un impact sur leurs niveaux de productivité au travail. Lire aussi : Les 10 chiffres qui confirment que les cadres vont mal. 201612141355. 201612011426. La conception du bonheur dans les cultures d'ailleurs. Le bonheur, dans la pensée occidentale, est l’aboutissement d’une démarche et d’une construction aboutissant à un état durable de plénitude et de satisfaction ou encore, une jouissance d’une situation.

Il est à la confluence de plusieurs registres, le sensible, le social, les affects. Pour l’Occident, les représentations socialement et historiquement construites du bonheur s’articulent à l’individualisme : il est un état émotionnel momentané ou durable de l’individu et moins du collectif ; c’est une notion subjective et en même temps normative. Qu’il se situe dans une aspiration individuelle ou collective, qu’il soit au bout d’une quête pour un avenir matériellement meilleur – une promesse pour demain – ou dans le mythe d’un âge d’or appartenant à un passé lointain – un temps révolu et perdu à jamais –, le bonheur est à la fois nostalgie et promesse. Il est associé au temps. Le bonheur est-il un concept universel, partagé entre les humains ? LE BONHEUR CEST LES AUTRES. L’assouplissement budgétaire prôné par Bruxelles ne fait pas le bonheur de tous.

En renonçant à punir l’Italie, l’Espagne et le Portugal qui n’ont pas pu réduire leurs dépenses, Bruxelles a fait tomber le dogme de la rigueur au sein de la zone euro. Pierre Moscovici, le commissaire aux Affaires économiques, a plaidé mi-novembre pour une politique économique plus souple afin de soutenir l’activité et la reprise dans les 19 pays de la zone euro. Le commissaire a même chiffré le niveau de dépense que ces pays devraient engager collectivement : l’équivalent de 0,5% de leur PIB. Il importe de retrouver une marge de manœuvre budgétaire, selon la Commission, afin que ces pays investissent « plus pour eux-mêmes et pour les autres ».

Ce lundi 5 décembre, les ministres des Finances de la zone euro se réuniront justement pour évoquer ce sujet. Comment le sport agit sur notre bien-être. Récemment, le tennisman Novak Djokovic a indiqué qu’il ne « ressentait plus cette joie intérieure de jouer ». L’occasion de se pencher sur la question : quels sont les effets réels du sport sur notre cerveau ?

Du simple bien-être aux vertus antidépressives, Florence Servan-Schreiber, professeure de bonheur et auteure du livre 3 kifs par jour, nous éclaire sur le sujet. Pour comprendre le lien entre le sport et le bonheur, il est avant tout essentiel de cerner la relation entre le cerveau et le corps humain. « Le cerveau est un morceau d’un ensemble que représente le corps humain. Ce dernier a besoin que le cerveau soit en bon état de fonctionnement et inversement, indique Florence Servan-Schreiber. En pratiquant un exercice physique, les capacités mentales se retrouvent boostées. « Il existe trois... >>> Lire la suite.