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Pyrénées. N’Py prend de l’altitude avec sa nouvelle filiale. L’opération est en cours et devrait se terminer d’ici deux mois. Après avoir levé 200.000 euros en 2014 auprès de la Caisse des dépôts et consignation, la Sem N’Py qui regroupe huit stations des Pyrénées est sur le point de finaliser la capitalisation de sa nouvelle filiale, créée en août dernier. Valorisée à 3 millions d’euros par la Sem qui détient toujours 76% de son capital, la SAS N’Py Resa dédiée à la commercialisation des forfaits et autres prestations de ces domaines skiables, aura permis de récolter 1 million d’euros au total auprès de la Caisse des dépôts, du Crédit agricole, de la Caisse d’épargne Midi-Pyrénées et d’EDF.

L’arrivée de ces nouveaux actionnaires et les fonds qui les accompagnent vont permettre à la marque pyrénéenne de financer son développement sans augmenter les contributions des collectivités qui mettent au pot commun quelque 600.000 euros par an. Du côté de la Sem, ses missions restent inchangées. Le retour de la Caisse des dépôts. Mediameeting lève 5,5 millions d'euros et va recruter plus de 100 personnes. Fin d'année chargée pour Anne-Marie de Couvreur. Afin de mener à bien son plan stratégique "Next", la présidente de Mediameeting annonce une levée de fonds de 5,5 millions d'euros conclue la semaine dernière auprès d'Isatis Capital, filiale de BNP Paribas.

Le capital de la société appartient ainsi à 78 % aux trois associés fondateurs de Mediameeting ( Anne-Marie de Couvreur, Frédéric Courtine et Jean-Louis Simonet), et à 22 % à la société de capital investissement. Objectif de l'opération : investir vite, pour grandir vite. "Notre chiffre d'affaires atteint aujourd'hui 8,5 millions d'euros. Nous souhaitons atteindre 25 millions d'euros d'ici 5 ans. Pour cela nous devons nous développer rapidement", indique Anne-Marie de Couvreur. La société prévoit d'investir dans la R&D pour s'adapter au développement de l'écoute sur téléphone mobile et pour développer le "podcast d'entreprise".

"Nous mettons au point le premier observatoire européen de l'écoute du son au travail. Recrutements.

Saint-Jacques de Compostelle

SEO : 6 bonnes pratiques pour un site multilingue ou multirégional. Lorsque l’on développe un site multilingue (disponible en plusieurs langues) ou multirégional (qui vise plusieurs pays) de nombreuses problématiques de référencement se posent : comment adresser tous les marchés visés en restant pertinent ? Quelles actions SEO mener ? Pour guider les internautes, Google a mis en place une série de recommandations via sa plate-forme d’aide en ligne. Voici quelques points essentiels à respecter : Un contenu de qualité 1. Bien connaître sa cible et ses recherches Il est essentiel d’effectuer une étude sémantique par pays et/ou par langue : Les volumes de recherche des mots-clés peuvent varier d’une langue à une autre : un mot-clé très populaire en français le sera peut-être moins en allemand, Certains sujets ne sont pas adressés de la même manière, notamment lorsqu’il s’agit de langues avec des variantes régionales. Exemple : France : chauffage au fioul / Belgique : chauffage au mazout - Certains mots-clés sont liés à des offres propres à un territoire. 2. 3. 4.

And now... Le SEA ! Comment ça marche ? En achetant des espaces sur certains mots clés, vous pouvez augmenter de manière ponctuelle la visibilité d’une ou plusieurs des pages de votre site dans les résultats des moteurs de recherche. Une action ponctuelle, car le trafic généré sur la ou les pages de votre site est lié à la durée de la campagne, au budget investi mais aussi à l’action attendue de l’internaute (remplir un formulaire, acheter un produit, etc.). A l’inverse, le référencement naturel vise à rendre visible votre site web sur le long terme, et à fidéliser vos visiteurs. Un monde… plein de remous. Dans le jargon du web, on parle de « landing page », ou page de destination en français. Ces pages sont très souvent des satellites du site web concerné (elles n’apparaissent pas dans le plan du site, par exemple) car créées exclusivement pour la campagne publicitaire sur les moteurs de recherche.

Ces landing pages sont optimisées : Le crowdfunding se réinvente grâce au bitcoin. Chroma.fund propose une approche disruptive du crowdfunding de projets : exit la donation, bonjour l’investissement, le tout grâce au Bitcoin et la blockchain. Les fondateurs de Chroma.fund proposent de réinventer le financement participatif de start-up, petits commerces ou autres projets multimédia.

Dans la forme, rien ne change pour les contributeurs : la plateforme se présente comme ses concurrents Kickstarter, KissKissBankBank ou encore Touscoprod en France. Néanmoins, quand une personne souhaite participer au financement d’une campagne sur Chroma.fund, celle-ci n’effectue pas une donation mais bel et bien un investissement. L'équipe de Chroma.fund, de gauche à droite : Leif Schackelford, Marcus Estes, Adam Wong, K. Investir dans les futurs revenus de l’entreprise Cas typique : dans le cadre de la réalisation d’un film à petit budget, un réalisateur doit constituer une équipe qu’il ne peut payer qu’avec une part des recettes en devenir. Un Wall Street accessible à tous. Comment choisir les bons mots clés adwords ? La réussite d’une campagne sur Google dépend du choix des bons mots clés adwords. Comment ne pas se tromper et choisir les mots clés qui maximiseront votre réussite ? Mode d’emploi dans cet article. On peut distinguer 3 méthodes pour choisir les bons mots clés adwords. 1.

Choisissez les mots clés adwords en partant de votre propre réflexion Avant de parler d’outils, de tests ou autre, partez de votre propre réflexion. Vous êtes vous aussi un utilisateur de Google quand vous n’avez pas votre casquette webmarketeur. Réfléchissez aux mots clés que vous taperiez sur Google pour trouver votre site ou le produit que vous souhaitez mettre en avant. Faites une liste de 5 à 10 mots clés adwords.

Mettez-vous réellement dans la peau d’un internaute qui ne sait pas trop par où commencer pour trouver ce qu’il veut. Les mots clés adwords que vous obtiendrez par cette méthode seront probablement les mêmes que ceux des internautes. 2. 3. . – Combien de fois ils sont tapés sur Google chaque mois En conclusion. Conseils pour de bons titres d'articles sur le Web. Étiquettes : lisibilité, principes formels, principes rédactionnels On vous propose de faire un petit inventaire des différents genres de titres qui marchent pour vos contenus Web. C’est quoi un titre qui marche? La réponse est dans l’article. Il existe deux grandes catégories de titres : Les titres directsLes titres indirects Les titres directs Ex. : Tout savoir sur l’écriture pour le Web Leur sens est littéral.

Les titres indirects Ex. : En mal d’appât ? Ils exploitent une voie « oblique ». Dans ces deux catégories, on distingue des sous-catégories, telles que: Les titres impératifsLes titres « à la une »Les titres sous forme de questionLes titres « Comment… »Les titres « X bonnes raisons de »Les titres « témoignage » Les titres impératifs Ex. : Mettez de l’ordre dans vos titres ! On se souvient des pub Vitel « Buvez, éliminez » … Dans vos titres impératifs, le premier mot sera généralement un verbe qui encourage l’utilisateur à agir… Les titres « à la une » Ou qu’ils soient circonstanciels. En utilisant les objets de demain - Beacons, mobiles et autres « wearable devices » - Paypal et Square révolutionnent l'expérience du paiement en magasin pour répondre aux nouvelles exigences du consommateur.

Une expérience de paiement sans couture avec les objets de demain En septembre 2013, Paypal le réseau de paiement en ligne aux 132 millions de clients, lançait aux Etats-unis son propre Beacon (une nouvelle famille de transmetteurs utilisant le protocole de communication Bluetooth Low energy). Cette balise communicante est la promesse d'un paiement « mains-libre ». Finis les cartes, les codes pin et les files d'attentes, Paypal permet à ses clients de payer sans sortir leur portefeuille ni même ouvrir une application mobile : il suffit de confirmer le paiement oralement. Pour simplifier et sécuriser la transaction, les acteurs du paiement ont toujours été à la pointe de l'innovation technologique. Mais dès le départ, Square voit plus loin.

"La numérisation attaque la classe moyenne", prévient l'économiste Daniel Cohen. L'Usine digitale - Le numérique n’a jusqu’à présent pas dopé la croissance. Le progrès technique ne fonctionne plus ? Daniel Cohen - Il y a deux écoles qui se déchirent. Pour les auteurs du "Deuxième Âge de la machine" [Erik Brynjolfsson et Andrew McAfee, ndlr], nous sommes au tout début d’une explosion, d’une révolution numérique qui va démultiplier notre capacité productive. En face, l’Américain Robert Gordon ne croit pas à la force du numérique.

Pour lui, la seule nouveauté de ces dernières années, c’est le smartphone. C’est agréable, utile, mais, ce n’est pas comparable à la révolution technologique créée par l’invention de l’électricité et du moteur à explosion. Dans ce débat, je pense que les deux ont raison ! Va-t-on vers une société de chômage de masse ?

Le problème n’est pas le chômage de masse, même si à court terme le chômage augmente, car la transition d’un type d’emploi à l’autre peut prendre du temps. Vous dites que les classes moyennes sont les plus touchées… Actualités.

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