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Parménide

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Parménide. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Parménide d'Élée (Παρμενίδης) Philosophe grec Antiquité Parménide Biographie[modifier | modifier le code] On ne connaît pas avec exactitude les dates de naissance et de mort de Parménide. Il est né à Élée à la fin du VIe siècle av. Parménide était le fils de Pyrès (ou Pyrrhès)[4]. Doctrine[modifier | modifier le code] Parménide a écrit en vers un traité De la nature ; selon la Souda, il aurait également écrit des œuvres en prose, mais ce point est controversé. Parménide divisait la philosophie en deux parties nettement opposées, la vérité, (ἀλήθεια) et l'opinion (δόξα) . « Χρεὼ δέ σε πάντα πυθέσθαι ἠμέν Ἀληθείης εὐκυκλέος ἀτρεμὲς ἦτορ ἠδὲ βροτῶν δόξας, ταῖς οὐκ ἔνι πίστις ἀληθής. » « Apprends donc toutes choses, Et aussi bien le cœur exempt de tremblement Propre à la Vérité à l'orbe pur, Que les opinions des mortels, dans lesquelles Il n'est rien qui soit vrai ni digne de crédit. » Fragment 1, 28 à 30[3].

Physique[modifier | modifier le code] Parménide. Philoctetes.free.fr/parmenide.pdf. Héraclite. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Héraclite d'Éphèse Philosophe grec Antiquité Héraclite, huile sur toile d’Hendrick ter Brugghen, 1628, Rijksmuseum (Amsterdam) Héraclite d'Éphèse (en grec ancien Ἡράκλειτος ὁ Ἐφέσιος / Hêrákleitos ho Ephésios) est un philosophe grec de la fin du VIe siècle av. J. -C. Biographie[modifier | modifier le code] La naissance d’Héraclite serait contemporaine de la mort d’Anaximandre[1].

Héraclite est issu d’une famille illustre et sacerdotale. . « Les Éphésiens méritent que tous ceux qui ont âge d'homme meurent, que les enfants perdent leur patrie, eux qui ont chassé Hermodore, le meilleur d’entre-eux, en disant : « Que parmi nous il n'y en ait pas de meilleur ; s'il y en a un, qu'il aille vivre ailleurs. » (Fragment 121, Diogène Laërce, IX, 2) » Lui-même semble avoir été persécuté pour athéisme (mais cette assertion est tardive et on la trouve chez des auteurs chrétiens, Justin de Naplouse et Athénagoras d'Athènes). Méprisant et irritable : Misanthrope : Zénon de Cition. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Zénon. Zénon de Cition Philosophe occidental Antiquité Buste de Zénon de Cition au Musée des beaux-arts Pouchkine moulé à partir de l'original à Naples.

Biographie[modifier | modifier le code] Fils d’un commerçant installé à Chypre nommé Mnasée, Zénon est décrit comme un homme grand et frêle, de peau noire. Après avoir étudié différents systèmes philosophiques, vers l'âge de 40 ans (301 av. Il devient rapidement très populaire : les Athéniens lui élèvent une statue de bronze, lui remettent les clefs de la citadelle et lui offrent une couronne de laurier. Influences[modifier | modifier le code] Zénon reçoit l'influence de plusieurs courants philosophiques : Les socratiques, surtout : Le cynisme, pour l'idéal moral conforme à la nature, mais qu'il juge impudent dans ses excès ;L'école mégarique, pour la dialectiqueHéraclite : le Logos est la loi du tout.

Doctrine[modifier | modifier le code] « Diogène Laërce, VII » René Descartes. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. René Descartes Philosophe occidental Époque Moderne René Descartes, d'après Frans Hals. Sa pierre tombale est à l'Abbaye de Saint-Germain-des-Prés Sa méthode scientifique, exposée à partir de 1628 dans les Règles pour la direction de l'esprit (ouvrage inachevé, posthume, dont la datation a pu faire débat), puis dans le Discours de la méthode en 1637, affirme constamment une rupture par rapport à la scolastique enseignée dans l'Université. Biographie[modifier | modifier le code] Enfance[modifier | modifier le code] Sa mère meurt le 13 mai 1597, 13 mois et demi après sa naissance[12], quelques jours après la naissance d'un autre garçon qui ne survivra pas. Jeunesse et études[modifier | modifier le code] En novembre 1616, il obtient son baccalauréat et sa licence[21] en droit civil et canonique à l'université de Poitiers[22].

René Descartes. « Le 10 novembre 1619 lorsque rempli d'enthousiasme je trouvai le fondement d'une science admirable… » Edmund Husserl. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Edmund Husserl Philosophe allemand XXe siècle Biographie[modifier | modifier le code] Husserl est né le 8 avril 1859 à Proßnitz en Moravie dans l'Empire austro-hongrois (actuelle République tchèque). Il meurt le 26 avril 1938, alors que le national-socialisme menace de destruction ses manuscrits inédits. La radicalisation du projet cartésien[modifier | modifier le code] Mathématicien de formation, Husserl s'intéresse d'abord à la philosophie des sciences, notamment à partir de la question des objets mathématiques. Un fondement absolu apodictiqueune méthode d'investigation permettant d'avancer dans ses recherches « Quiconque veut vraiment devenir philosophe devra « une fois dans sa vie » se replier sur soi-même et, au-dedans de soi, tenter de renverser toutes les sciences admises jusqu'ici et tenter de les reconstruire. »[3] Les quatre grands principes de la phénoménologie transcendantale[modifier | modifier le code]

Friedrich Nietzsche. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Friedrich Wilhelm Nietzsche Philosophe allemand Époque contemporaine Friedrich Wilhelm Nietzsche (prononcé en allemand [ˈfʁiːdʁɪç ˈvɪlhɛlm ˈniːt͡sʃə], souvent francisé en [nit͡ʃ]) est un philologue, philosophe et poète allemand né le à Röcken, en Saxe-Anhalt, et mort le à Weimar, en Allemagne. Peu reconnu de son vivant, son influence a été et demeure importante sur la philosophie contemporaine de tendance continentale, notamment l'existentialisme et la philosophie postmoderne ; mais Nietzsche a également suscité ces dernières années l'intérêt de philosophes analytiques, ou de langue anglaise, qui en soutiennent une lecture naturaliste remettant en cause une appropriation par la philosophie continentale jugée problématique[1].

Biographie[modifier | modifier le code] Professeur de philologie à l'université de Bâle dès l'âge de 24 ans, il obtient un congé en 1879 pour raison de santé. Présentation générale de son œuvre[modifier | modifier le code] Phénoménologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Description[modifier | modifier le code] Sur les autres projets Wikimedia : phénoménologie, sur le Wiktionnaire Le terme phénoménologie peut faire référence à : On distingue également : Ouvrages[modifier | modifier le code] Plusieurs ouvrages contiennent le terme « phénoménologie » :

Psycho-phénoménologie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Historique[modifier | modifier le code] L’acte de naissance de la psycho-phénoménologie se trouve dans le no 13[1] de la revue du Groupe de Recherche sur l’EXplicitation (GREX), Expliciter[2], datant de février 1996. Dans cet article, intitulé Pour une psycho-phénoménologie, Pierre Vermersch relate sa décision d’investir le champ de la recherche sur la subjectivité selon un angle particulier.

Il fait alors le constat d’une nécessité théorique qui n’a pas encore trouvé sa voie : l’étude rigoureuse de la pensée privée. Depuis son travail de thèse, en 1976, Pierre Vermersch s’était consacré à l’élargissement du recueil de données des activités cognitives, tout d'abord en utilisant les enregistrements vidéo, puis, à partir des années quatre-vingt, en élaborant une méthode d’entretien, l’Entretien d'explicitation. Le point de vue phénoménologique[modifier | modifier le code] L’approche scientifique de l’introspection[modifier | modifier le code] Démocrite. Portrait d'après original grec copie romaine Il a été un disciple de Leucippe, le fondateur de l'atomisme ; Diogène Laërce attribue injustement l'ouvrage de Démocrite à propos de l'atomisme à Épicure[1]. Strabon, qui se base sur l'opinion de Posidonius, dit que l'atomisme doit être attribué à Mochus, proto-philosophe de Sidon, qui fut antérieur à la guerre de Troie (qui vécut donc bien avant Leucippe et Démocrite). « Aristoxène rapporte, dans les Commentaires historiques, que Platon avait eu l'intention de brûler tous les écrits de Démocrite qu'il avait pu rassembler, mais que les pythagoriciens Amyclas et Clinias l'en détournèrent en lui représentant qu'il n'y gagnerait rien, puisqu'ils étaient très répandus.

Ce qui confirme ce récit, c'est que Platon, qui a parlé de presque tous les anciens philosophes, ne cite pas une fois Démocrite, pas même lorsqu'il serait en droit de le combattre, sans doute parce qu'il savait bien à quel redoutable adversaire il aurait affaire. . « [...] Épicure. Hermarque de Mytilène. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Hermarque de Mytilène Philosophe grec Antiquité Hermarque de Mytilène est un philosophe épicurien qui naquit au IVe siècle av. J. -C.[1] et mourut au IIIe siècle av. Bien qu’il ait joué un rôle important, qu’il ait acquis une grande notoriété, et qu’il ait beaucoup écrit, toutes ses œuvres ont été perdues.

Le nom de ce philosophe, d'abord écrit par erreur Hermachus, a été rétabli dans sa véritable forme par Villoison, dans ses Anecdota Graeca[4] Biographie[modifier | modifier le code] Hermarque était le fils d'un homme indigent dénommé Agémarque (Agémortos), métèque [5], résidant à Mytilène, capitale de l'île de Lesbos. Philodème nous indique que le nom de son aimée était Demetria. Selon Sénèque, Ep., 52, 4, Métrodore, son condisciple, n'était pas un découvreur de la vérité ; il était de ceux qui ont besoin d'aide, mais qui, une fois aidés, savent marcher sur les pas du maître et le suivre.

À sa mort (270 av. Œuvres[modifier | modifier le code] H. Polystrate. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Polystrate ou Polystratos (mort en 219-218 av. J. -C.[1]) est un philosophe de la Grèce antique, scholarque de l’école épicurienne, successeur d'Hermarque de Mytilène[2] et disciple d'Épicure[3] Il sut modérer le dogmatisme parfois intransigeant des Épicuriens et des Stoïciens. On a retrouvé des fragments de deux de ses ouvrages à Herculaneum : l'un a pour sujet Du mépris irraisonné[4] et l'autre De la Philosophie[5],[6]. Horace. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Horace (en latin Quintus Horatius Flaccus) est un poète romain né à Vénose dans le sud de l'actuelle Italie, le 8 décembre 65 av. J. -C. et mort à Tibur le 27 novembre 8 av.

J. -C.. Biographie[modifier | modifier le code] La vie d'Horace nous est essentiellement connue par son œuvre, riche en informations et considérée comme une source fiable[1]. Famille et enfance[modifier | modifier le code] « Si [...] ma vie est pure et innocente, mes jours chers à mes amis, le mérite en appartient à mon père qui, tout pauvre qu'il était, possesseur d'un maigre champ, ne voulut pas toutefois m'envoyer à l'école de Flavius, où allaient pour quelque argent, payé au retour des ides, avec leur bourse à jetons et leurs tablettes sous le bras gauche, les nobles fils de nos nobles centurions. . — Satires, I, 6, vers 71-77 En Grèce[modifier | modifier le code] Retour à Rome[modifier | modifier le code] Client de Mécène[modifier | modifier le code]