Les utilisateurs des réseaux sociaux se mobilisent pour soutenir le Soudan. Plusieurs internautes ont décidé de témoigner leur soutien envers les Soudanais après les affrontements entre des manifestants et l’armée, ayant fait des centaines de morts début juin.
Une photo de profil bleue, des illustrations montrant une Soudanaise éplorée… Sur Twitter, Instagram ou encore Facebook, les utilisateurs se sont mobilisés pour attirer l’attention du monde sur les Soudanais livrés à eux-mêmes. Ainsi, on peut lire des slogans tel que « Pray for Sudan » dans les posts, tweets et statuts. Pillages, agressions et viols La démarche de ces utilisateurs de réseaux sociaux est d’être, sur la toile, les porte-paroles de la nation coupée du monde. « Les connexions Internet qui fonctionnent encore sont en train d’être coupées », avait par ailleurs indiqué en début de semaine NetBlocks, alors que la contestation utilise Internet pour relayer ses mots d’ordre. Cesser toute coopération avec le Soudan. Réseaux sociaux et GAFA, l'engagement politique sous influence ? Pouvoir de filtrage et de censure, les GAFA nourrissent les opinions politiques des internautes. Ces géants du Web "ont un pouvoir politique très important qui est lié à leur situation sur le marché de l'information, ce qui leur permet de trier les informations, de rendre visibles certaines informations et invisibles d'autres", analyse le professeur en sciences de l'information et de la communication Romain Badouard.
Les bulles de filtrage sont un moyen de trier l'information qui vient à l'internaute en fonction de ses pratiques passées. Les traces laissées par d'anciens clics vont nourrir l'algorithme du réseau social. Ce procédé conforte donc l'individu dans son opinion puisqu'il n'accède qu'à du contenu qu'il a potentiellement approuvé. Donald Trump, l'autre président des réseaux sociaux. Le magnat de l'immobilier s'est imposé sur les réseaux sociaux grâce à un groupe de fans très actifs en ligne et une communication agressive. Quelques jours avant son élection, Donald Trump a fait preuve d'une surprenante retenue sur les réseaux sociaux.
Le nouveau président des États-Unis était jusqu'alors un habitué des déclarations tonitruantes, surtout sur son compte Twitter (13,6 millions d'abonnés). La semaine dernière, le New York Times affirmait que l'équipe de campagne de Donald Trump lui avait interdit d'y publier de nouveaux messages sans autorisation préalable de sa porte-parole. L'information a aussitôt été démentie par son équipe de campagne, mais a tout de même été reprise par plusieurs médias. Signe de l'obsession du grand public pour la communication en ligne de Donald Trump, et du rôle primordial des réseaux sociaux dans sa campagne victorieuse.
Accro à Twitter Outre ses propres tweets, Donald Trump a pu compter sur le soutien d'une horde de fans très motivés. South Sudan: UN makes grim discoveries in Bentiu. Une année de tweets plus ou moins diplomatiques de Donald Trump. Twitter refuse une campagne pro-UE du gouvernement au nom... de la loi anti-fake news.
Tel est pris qui croyait prendre.
Ce mardi 2 avril, l'AFP rapporte que Twitter a refusé au gouvernement une campagne de promotion des élections européennes, en invoquant… la loi "relative à la manipulation de l'information", dite loi "anti fake-news". Selon le gouvernement, cité par l'AFP, le réseau social a invoqué ses nouvelles obligations, créées par le texte voté le 22 décembre dernier, pour refuser une campagne de tweets sponsorisés - c'est-à-dire mis en avant par Twitter contre rémunération - du Service d'information du gouvernement, le SIG, qui dépend directement de Matignon. Even the best AI for spotting fake news is still terrible. When Facebook chief executive Mark Zuckerberg promised Congress that AI would help solve the problem of fake news, he revealed little in the way of how.
New research brings us one step closer to figuring that out. In an extensive study that will be presented at a conference later this month, researchers from MIT, Qatar Computing Research Institute (QCRI), and Sofia University in Bulgaria tested over 900 possible variables for predicting a media outlet’s trustworthiness—probably the largest set ever proposed. The researchers then trained a machine-learning model on different combinations of the variables to see which would produce the most accurate results.
The best model accurately labeled news outlets with “low,” “medium,” or “high” factuality just 65% of the time. This is far from a smashing success. But that doesn’t mean it will be easy. Method to madness Data starved But there is one other obstacle: a shortage of training data—what Nakov calls the “ground truth.” Combattre les fake news : technologies et humains en ordre de bataille. Fake news : ces technologies qui les traquent. À l’approche des élections européennes, l’étau se resserre sur les géants du web en matière de lutte contre la désinformation.
Le 29 janvier, la Commission Européenne a en effet présenté son premier bilan neuf mois après le lancement du projet de lutte contre la désinformation, sommant les GAFAM d’intensifier leurs efforts comme le rapporte Courrier international. En parallèle, d’autres avancent dans la lutte contre la désinformation en automatisant la détection de fausses informations ou le fact-checking (vérification des faits).