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CHRONOLOGIE. L'affaire Vincent Lambert, 6 ans de procédures - 23 juillet 2015. FIN DE VIE.

CHRONOLOGIE. L'affaire Vincent Lambert, 6 ans de procédures - 23 juillet 2015

Nouveau coup de théâtre dans l'affaire "Vincent Lambert" : ce 23 juillet 2015, contre toute attente, les médecins du patient tétraplégique ne se sont pas prononcés sur l’arrêt des soins. Ils ont annoncé vouloir saisir le procureur pour que soit désigné un représentant légal du patient, après avoir eu vent de projets d’enlèvement, a appris l'AFP auprès de la famille. Les médecins souhaitent saisir le procureur de la République "pour mettre Vincent sous protection globale et déterminer un référent qui pourrait le représenter légalement", a déclaré à l’AFP François Lambert, neveu de Vincent, à la sortie du conseil de famille convoqué par l’équipe médicale au CHU de Reims.

Les parents opposés au reste de la famille Vincent Lambert, âgé de 38 ans et plongé dans un état végétatif depuis 2009, est l'objet d'un âpre combat juridique entre les membres de sa famille. Légalisation de l'euthanasie : où en sont les pays européens ? L'euthanasie dans les Etats membres. Placée au carrefour des questions morales, religieuses et politiques, l'euthanasie divise les Européens. Si des pays comme les Pays-Bas, la Belgique et le Luxembourg ont légalisé l'euthanasie, la question demeure d'actualité en Europe alors que la Belgique a autorisé l'euthanasie des mineurs et que d'autres faits divers comme l'affaire française du docteur Bonnemaison relancent sans cesse le débat.

L'Union européenne reste muette sur le sujet, même si certains Etats membres font pression sur le Parlement européen, le poussant à adopter une position politique. André Comte-Sponville et Corine Pelluchon débattent de la légalisation de l'euthanasie. LE MONDE | • Mis à jour le | Propos recueillis par Nicolas Truong C'est l'un des débats les plus délicats et brûlants du moment.

André Comte-Sponville et Corine Pelluchon débattent de la légalisation de l'euthanasie

L'un des sujets les plus intimes et politiquement sensibles. Sans doute l'un des plus polémiques, aussi. André Comte-Sponville et Corine Pelluchon débattent de la légalisation de l'euthanasie. Comprendre l'affaire Vincent Lambert en 10 questions. Quelle est la situation médicale de Vincent Lambert ?

Comprendre l'affaire Vincent Lambert en 10 questions

Victime d'un accident de la route en 2008, Vincent Lambert, 38 ans, a d'abord été dans une phase de coma profond. Il se trouve aujourd'hui dans un coma dit « pauci-relationnel », plus précisément en état dit de « conscience minimale plus ». Il bouge les yeux, ressent la douleur, sans qu'il soit possible de savoir s'il comprend ce qu'on lui dit. Au terme de cinq ans, et 80 séances d'orthophonie, aucun code de communication n'a pu être établi avec lui. Lire nos explications : Etat végétatif et conscience minimale, une frontière floue. Euthanasie : Que dit précisément la loi Leonetti ? La loi Leonetti établit les points suivants : « L’obstination déraisonnable » du corps médical et la « prolongation artificielle de la vie » du patient (articles 1 et 9) sont proscrites, y compris lorsque ce dernier est hors d’état d’exprimer sa volonté.

euthanasie : Que dit précisément la loi Leonetti ?

Euthanasie Un débat sensible sur l'euthanasie et l'aide aux mourants - Discours publics, discours politiques- Vie-publique.fr. Villejuif (94).

Euthanasie Un débat sensible sur l'euthanasie et l'aide aux mourants - Discours publics, discours politiques- Vie-publique.fr

Hôpital P. Fin de vie : les pro et les anti-euthanasie mobilisent à nouveau leurs troupes. VIDÉO - Rassemblements, envoi de mails, pétition : les militants de tous bords dénoncent la proposition de loi sur la fin de vie qui revient en deuxième lecture à l'Assemblée nationale lundi.

Fin de vie : les pro et les anti-euthanasie mobilisent à nouveau leurs troupes

Pro et anti-euthanasie sont sur le pied de guerre à l'heure du retour à l'Assemblée nationale de la proposition de loi sur la fin de vie, les 5 et 6 octobre. Rédigé par le duo Jean Leonetti (LR) et Alain Claeys (PS), ce texte, qui a reçu le soutien de l'Élysée, propose d'instaurer un droit à une «sédation profonde et continue jusqu'au décès» sous certaines conditions et de rendre contraignantes pour les médecins les directives anticipées, ces «dernières volontés» du malade pour sa santé.

Adopté en première lecture à une large majorité en mars dernier, cette proposition de loi mécontente les défenseurs du statu quo, inquiet d'un risque de «dérive euthanasique». Développer les soins palliatifs. L'euthanasie : un cas de conscience. Selon une étude récente*, 86 % des Français se déclarent favorables à la légalisation de l'euthanasie, perçue comme compassionnelle et cohérente avec le droit de chacun de disposer de sa vie.

L'euthanasie : un cas de conscience

Mais, dès lors que l’on entre dans le vif du sujet, les certitudes s’effacent, tant il est difficile, individuellement et collectivement, de négocier avec l’interdit de tuer. Comment penser l’impensable ? Laurence Lemoine Sommaire Pourquoi vouloir choisir sa mort ? Le retour du débat sur l’euthanasie pourrait laisser croire à la montée d’une aspiration collective, résultant de la « tendance de nos sociétés à considérer la vieillesse comme une maladie dont on peut se soustraire par seulement deux traitements : la DHEA (déhydroépiandrostérone, réputée pour ses effets ralentissant le vieillissement) pour commencer, l’euthanasie pour en finir », comme le déplore le philosophe LucFerry.

A découvrir Le contexte Qu'est-ce qu'une mort digne ? * Sondage Ifop pour Le Pèlerin, octobre 2012. L'euthanasie dans les Etats membres. La loi Leonetti sur l'euthanasie adoptée à l'Assemblée. La France a ouvert mardi la voie à l’endormissement des malades en phase terminale, un premier pas vers une meilleure prise en compte des souhaits des patients en « fin de vie » tout en évitant de rouvrir le débat sensible sur l’euthanasie.

La loi Leonetti sur l'euthanasie adoptée à l'Assemblée

Dans un climat inhabituellement consensuel, l’Assemblée nationale a adopté par 436 voix contre 34 une proposition de loi autorisant le recours à une « sédation profonde et continue » pour certains malades incurables qui en feraient la demande. Ce droit inédit s’accompagne d’une obligation nouvelle faite aux médecins : respecter un refus d’acharnement thérapeutique exprimé d’avance par un patient, ce qui n’était pas le cas jusqu’ici. Le vote a été perturbé par un bref incident, des inconnus ayant jeté depuis les tribunes sur des députés de gauche des bouts de papier, sur lesquels était imprimé « Non à l’euthanasie » et « R comme résistance ». « Dormir avant de mourir pour ne pas souffrir » : M. La Vie - Dossier : Euthanasie et soins palliatifs. Légalisation de l'euthanasie : où en sont les pays européens ? Pas d'euthanasie mais une «sédation» : l'adoption de la loi fin de vie divise.

Un seul amendement des députés UMP de l'Entente parlementaire pour la famille a été adopté, après le rejet mercredi soir de celui soutenu par 120 députés PS sur une «aide active médicalisée à mourir».

Pas d'euthanasie mais une «sédation» : l'adoption de la loi fin de vie divise

Droit à «dormir avant de mourir» contre «droit à mourir», les députés ont tranché. Search Results. Suicide assisté : ce qui se passe vraiment. Un pavillonanonyme dans la banlieue de Bâle, en Suisse, à quelques kilomètres de la frontière française.

Suicide assisté : ce qui se passe vraiment

C'est là que nous avons rendez-vous avec la docteur Erika Preisig. Il s'agit de son domicile mais aussi du bureau de son association Life Circle qui pratique au moins un suicide assisté chaque semaine, un acte légal ici et totalement interdit chez nous. Le médecin est en retard. Quand elle arrive enfin, elle s'excuse immédiatement dans son français parfait teinté d'accent allemand : « J'ai tellement de travail en ce moment. » Son emploi du temps qu'elle décrit, presque de manière dérangeante, paraît surréaliste : ce matin, elle a discuté avec une Norvégienne atteinte d'un cancer, dont la mort est programmée pour le lendemain. Un business en Suisse L'acte, payant et très cher (9 045 €), ne se déroule pas ici, mais dans un appartement du centre-ville loué à l'année. « Cette femme décédera suite à une perfusion de barbiturique, raconte-t-elle.

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