background preloader

Google

Facebook Twitter

Google Livres. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Google Livres, ou Google Books en anglais (anciennement Google Print), est un service en ligne fourni par Google. Lancé en décembre 2004, il dispose de moyens financiers et techniques considérables, et a vu son champ d'activité s'élargir progressivement : aujourd'hui, c'est à la fois un outil de recherche intra-texte, de consultation de livres en ligne ou sur appareil mobile, de constitution de collections personnelles, et de téléchargement d'ouvrages libres de droits ; c'est aussi une librairie en ligne via la boutique Google Play, un outil permettant de trouver où emprunter un exemplaire de livre en bibliothèque, et un fournisseur d'informations complémentaires (métadonnées) sur les œuvres.

Chronologie[modifier | modifier le code] Origines[modifier | modifier le code] 2002/3 : Naissance du projet[modifier | modifier le code] 2004 : « Project Ocean » et Google Print[modifier | modifier le code] Le , Adam M. . « Nous aurions bien aimé que Yahoo! Copyright. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Symbole ©. Le copyright, souvent indiqué par le symbole ©, est, dans les pays de common law (droit commun), l’ensemble des prérogatives exclusives dont dispose une personne physique ou morale sur une œuvre de l’esprit originale. Il désigne donc un ensemble de lois en application, notamment, dans les pays du Commonwealth des Nations et aux États-Unis ; et qui diffère du droit d'auteur appliqué dans les pays de droit civil (tels que la France ou la Belgique). Bien que les deux corpus de lois tendent à se rejoindre sur la forme grâce à l'harmonisation internationale opérée par la convention de Berne[1], ils diffèrent notablement sur le fond[2].

Le copyright relève plus d’une logique économique et accorde un droit moral restreint, là où le droit d'auteur assure un droit moral fort en s'appuyant sur le lien entre l'auteur et son œuvre. Champ du copyright[modifier | modifier le code] Droits accordés par le copyright[modifier | modifier le code] Vie privée. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La vie privée (du latin privatus - séparé de, dépourvu de) est la capacité, pour une personne ou pour un groupe, de s'isoler afin de se recentrer sur sa vie et de protéger ses intérêts. Les limites de la vie privée ainsi que ce qui est considéré comme privé diffèrent selon les groupes, les cultures et les individus, bien qu'il existe toujours un certain tronc commun.

La vie privée peut parfois s'apparenter à l'anonymat et à la volonté de rester hors de la vie publique. Quand quelque chose est dit "privé" pour une personne, cela signifie généralement qu'à cette chose est rattachée des sentiments spéciaux et personnels. Dans beaucoup de pays, il existe des lois qui sanctionnent les invasions dans la vie privée par le gouvernement, les corporations ou les individus. La vie privée est également une notion impliquant celle de « respect de la vie privée » qui fait partie des notions plus générales de propriété privée et de bonnes mœurs.

Serveur informatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Serveur. l'accès aux informations du World Wide Web ;le courrier électronique ;le partage d'imprimantes ;le commerce électronique ;le stockage en base de données ;la gestion de l'authentification et du contrôle d'accès;le jeu et la mise à disposition de logiciels applicatifs (optique software as a service). Les serveurs sont utilisés par les entreprises, les institutions et les opérateurs de télécommunication. Ils sont courants dans les centres de traitement de données et le réseau Internet.

D'après le cabinet Netcraft, il y a en plus de 412 millions de serveurs web dans le monde, et leur nombre est en augmentation constante depuis l'invention du World Wide Web en 1995[1]. Histoire[modifier | modifier le code] Les réseaux locaux[modifier | modifier le code] Avant la mise en place de serveurs, l'utilisation d'ordinateurs à usage personnel et isolés était peu pratique. Technique[modifier | modifier le code] R. Indexation automatique de documents. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Un index est en toute généralité, une liste de descripteurs à chacun desquels est associée une liste des documents et/ou parties de documents auxquels ce descripteur renvoie. Ce renvoi peut être pondéré. Lors de la recherche d'information d'un usager, le système rapprochera la demande de l'index pour établir une liste de réponses.

En amont, les méthodes utilisées pour constituer automatiquement un index pour un ensemble de documents varient considérablement avec la nature des contenus documentaires à indexer. Indexation de textes[modifier | modifier le code] Pour un texte, un index très simple à établir automatiquement est la liste ordonnée de tous les mots apparaissant dans les documents avec la localisation exacte de chacune de leurs occurrences ; mais un tel index est volumineux et surtout peu exploitable. L'indexation automatique tend donc plutôt à rechercher les mots qui correspondent au mieux au contenu informationnel d'un document.

Intégration horizontale. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En management, l'intégration horizontale (ou concentration horizontale) consiste pour une entreprise à étendre son réseau, en acquérant ou développant des activités économiques au même niveau de la chaîne de valeur que ses produits. Les acquisitions d'activités économiques peuvent être : des entreprises concurrentes, avec pour conséquence de diminuer la concurrence ;des activités commercialisant des produits similaires, avec l'objectif de se diversifier ;des activités commercialisant des produits de substitution, ce qui diminue la menace des produits de substitution. Le développement d'activités économiques est la complétion de la gamme de produits de l'entreprise (pour répondre aux besoins des clients) Le but de la concentration horizontale est de répartir les coûts sur une plus grande quantité de produits.

Il peut aussi y avoir un objectif moins avouable qui est de réduire la concurrence. Exemple[modifier | modifier le code] Startup. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La start-up (ou jeune pousse) est une jeune entreprise à fort potentiel de croissance et qui fait la plupart du temps l'objet de levée de fonds. On parle également de start-up pour des entreprises en construction qui ne sont pas encore lancées sur le marché commercial (ou seulement à titre expérimental).

Elle est en phase plus ou moins longue de développement d'un produit, de test d'une idée, de validation d'une technologie ou d'un modèle économique. Le risque d'échec est supérieur aux entreprises traditionnelles du fait des petites tailles et du manque de visibilité de ces structures. Étymologie[modifier | modifier le code] Le mot startup (ou start-up) est un mot anglophone d'origine américaine, diminutif de startup company.

Historique[modifier | modifier le code] Le pic de l'engouement pour les startups, qui bénéficie aussi aux petites sociétés de biotechnologies et aux Sociétés minières junior, a lieu entre 1997 et 2001. Monopole. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ne doit pas être confondu avec monopôle. L'oligopole, qui décrit une situation de marché où un petit groupe d’offreurs se partagent un marché à parts plus ou moins égales. Le duopole, qui est une forme réduite d'oligopole ( deux offreurs font face à une multitude d'acheteurs) Le Cartel ou l'entente sont des formes variables d'association entre offreurs qui visent à établir à leur profit et selon des modalités diverses une situation de monopole. Le monopsone, qui par symétrie au terme monopole, correspond à une situation de marché où un demandeur détient une position de monopole à l’achat. le monopole bilatéral, qui caractérise une situation de marché où se font face un monopole (un seul vendeur) et un monopsone (un seul acheteur).

Le monopole dans l'histoire[modifier | modifier le code] Des compagnies de commerces nationales obtiennent selon les cas le monopole du commerce de certains produits, ou le monopole avec certaines régions. 2011 en informatique. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. 2010 en informatique - 2011 - 2012 en informatique Événements[modifier | modifier le code] Prix et distinctions[modifier | modifier le code] Prix Turing : Judea Pearl, pour « ses contributions fondamentales à l'intelligence artificielle par le développement de l'analyse probabiliste et du raisonnement causal »Johan Håstad reçoit le Prix Gödel pour la seconde fois.

Norme[modifier | modifier le code] Logiciel[modifier | modifier le code] LibreOffice 3.3 est sorti le 25 janvierLibreOffice 3.4.1 est sorti le premier juilletOpenOffice.org 3.3 est sorti le 26 janvierGoogle Chrome 10 est sorti le 18 févrierMozilla Firefox 4.0 est sorti le 22 marsInternet Explorer 9 est sorti le 15 marsBlueGriffon 1.0 le 10 mai Système d'exploitation[modifier | modifier le code] Matériel[modifier | modifier le code] Processeurs[modifier | modifier le code] Article connexe[modifier | modifier le code] Chronologie informatique Notes et références[modifier | modifier le code] Avril 2011. 4 avril. Président-directeur général. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. En France, au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Suède, le président-directeur général (PDG)[1] est le dirigeant de plus haut rang dans une société anonyme (SA) fonctionnant sous un système moniste, c'est-à-dire avec un conseil d'administration et sans conseil de surveillance.

Le président-directeur général cumule les fonctions de président du conseil d'administration et de directeur général (DG) au sein de la société. Il exerce ses fonctions sous le contrôle de l'assemblée générale qui est composée du conseil d'administration et des actionnaires. Ces fonctions sont parfois exercées par deux personnes distinctes, souvent réunies sur le chef d'une seule personne dans les sociétés de moindre taille. Ce cumul de fonctions permet au PDG de disposer des pouvoirs les plus étendus : Le PDG dispose du pouvoir d'engager la société vis-à-vis des tiers dans l'intérêt de la société et dans la limite de l'objet social. le directeur général (art. Eric Schmidt. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Schmidt. Eric Schmidt Eric Schmidt en 2011 Son père, d'origine allemande, enseignait l'économie à Virginia Tech[4]. Carrière[modifier | modifier le code] Eric Schmidt a été chercheur en informatique aux Bell Laboratories et chez Zilog puis au Palo Alto Research Center de Xerox. En 1983, il rejoint, en tant que directeur technique et directeur général, Sun Microsystems, où il a largement contribué au développement et à la diffusion du langage de programmation Java. En 1997, il devient président-directeur général et président du conseil d'administration de Novell[5].

En 2001, Eric Schmidt intègre Google à titre de PDG. En 2006, il est élu membre de la National Academy of Engineering en reconnaissance de son travail sur le développement des stratégies Internet de Google. En 2007, il devient membre de l'Académie des arts et des sciences américaine. Notes et références[modifier | modifier le code] Portail de Google. Californie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. L'exploration européenne commence au XVIe siècle, la Californie est alors occupée par diverses tribus nord-amérindiennes. Le territoire est progressivement intégré à la Nouvelle-Espagne, puis rattaché au Mexique indépendant en 1821. Dans l'élan de la guerre américano-mexicaine, la République de Californie (appelée aussi République du drapeau à l'ours) proclame son indépendance le , interdit l'esclavage et se dote d'une constitution en 1849, puis adhère à l'Union le .

La ruée vers l'or transforme profondément l'État faisant de la Californie le symbole du « rêve américain », la population de San Francisco augmente alors de manière exponentielle. Dans les années 1920, la population de Los Angeles dépasse en nombre celle de San Francisco grâce à l'effet conjugué du développement de l'agriculture, de la découverte de pétrole et de l'ouverture du canal de Panama. Origine du nom[modifier | modifier le code] Histoire[modifier | modifier le code] Silicon Valley. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Silicon. Une définition mouvante[modifier | modifier le code] Silicon Valley étant définie par son activité économique, ses frontières sont floues et en constante évolution. L'expression ne correspond pas à une entité administrative et désigne une région comprenant environ 2 millions d'habitants et 6 000 entreprises de haute technologie.

Son PIB équivaut à celui d'un pays comme le Chili[1]. Silicon Valley est traversée dans le sens nord-sud par l'autoroute U.S. 101 (appelée simplement One-O-One par les autochtones). Histoire[modifier | modifier le code] Le passé agricole[modifier | modifier le code] Aujourd'hui, de très rares exploitations agricoles commerciales subsistent au cœur de Silicon Valley, même si l'on trouve çà et là des traces des anciens vergers qui couvraient une bonne partie du comté de Santa Clara. L’héritage de Frederick Terman[modifier | modifier le code] Adobe Systems Apple Inc. eBay. Mountain View (Californie)

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Googleplex. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les visiteurs doivent porter un badge et signer un accord de confidentialité Conditions de travail inédites chez Google Le Googleplex abrite aussi le site de développement de son système d'exploitation pour smartphones et appareils mobiles, appelé Android. Sur les autres projets Wikimedia : Le Googleplex, sur Wikimedia Commons Articles connexes[modifier | modifier le code] Liens externes[modifier | modifier le code] Wall Street. Google Earth. Bing (moteur de recherche) Yahoo! AltaVista. Google (moteur de recherche) Sergueï Brin. Larry Page. Septembre 1998. 1998 en informatique. Alphabet phonétique international. Google. Moteur de recherche.

Page web.

Googleplex