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Les vaches de billets

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Amour-vache : Souriez, c'est pour la radio ! Le propre de l'homme moderne, selon vous, est-il d'avoir toujours exercé une pression intense sur l'environnement ? Il y a eu un « buissonnement» d'espèces humaines avant l'apparition d'Homo sapiens, il y a entre 200000 et 150000 ans en Afrique. Mais notre espèce s'est répandue dans le monde, voici environ 50 000 ans, avec une effica­cité nouvelle, exploitant son environnement de façon inégalée. Il est intéressant de replacer notre histoire ac­tuelle dans cette continuité préhistorique. Les hommes modernes sont allés sur la Lune tout comme autrefois ils ont pris pied en Australie, en Amérique du Nord et dans les îles les plus lointaines.

Les néandertaliens n'étaient-ils pas, eux aussi, des prédateurs ? Pas à ce degré. D'autres chercheurs avancent plutôt des causes climatiques... Le «politiquement correct » parasiterait-il la paléoanthropologie ? Vous aimez aussi parler du cannibalisme... Ascii Cow : remember ! Partageons mes âneries: Grosse vache. Oh la vache ! - Le Jardin de DB. J’ai réalisé ça voici quelques jours. À cause d’un billet posté par Gaël sur son blog. Je ne sais pas très bien comment cette histoire a commencé. Quelqu’un, quelque part, a lancé un « concours des vaches ». Je suppose qu’il doit s’agir d’une sorte de chaîne entre blogueurs qui se « taguent » ; en fait, je n’en sais rien. Mais quand j’ai vu le mot « vaches » sur le blog de Gaël, paf, ni une ni deux, hop ! J’ai pourtant fait mon apparition sur Internet, il y a très, très, trèèès longtemps, sous la forme d’une vache à lunettes roses en forme de cœur.

J’habitais alors dans une montagne lointaine, où il fait très froid, où il pleut beaucoup et où il n’y a que des vaches. Quand Gaël a posté un deuxième billet sur ce fameux concours de vaches, je suis entrée dans un état second. Erreur ! Bien sûr, j’avais déjà fait un bon stock de bovidés en écrivant, pendant un mois, Le p’tit journal estival du Cantal. Mais ce qui fait peur, c’est que je n’en suis pas restée là. Partie fine : le blog de Miss400. Ah... Les filles d'Auvergne. Peau de vache !! Ok, je sais. Je devais vous faire le troisième épisode de la trilogie Bordelaise ou comment j'ai trouvé mon point O. Mais je suis versatile, imprévisible et capricieuse. Et surtout j'avais la flemme de le rédiger. Vous ne croyiez quand même pas que j'allais me fatiguer pour vous, bande de moules. Si ? Dommage. En plus, Gaël m'a fait participer à l'insu de mon plein gré à son concours "sois vache" Il a décidé unilatéralément que le fait de parler du parfum "La Prairie" cadrait parfaitement avec son challenge par ailleurs complètement idiot puisqu'il n'a aucune règle précise, à part le fait de parler de bovidés.

Or, les concours idiots, j'adore, quant au fait d'être vache, n'en parlons même pas c'est carrément ma seconde nature. Je relaie donc ici même tous les imbéciles qui ont choisi de faire meuh meuh depuis quelque jours, ce qui me permet de copier-coller les notes de Gaël et d'éviter, comme je le disais au départ de me fatiguer à rédiger un truc intelligent. Qu'on se le dise. Concours de vaches ... je participe en version BIO - Mon Mulhous. Bovino – ferroviaire « Et pour quelques fariboles de plus… Balmeyer's blog: Ne pas trop serrer les petits lapins. C'était le week-end "petite enfance", à Pantin, place Stalingrad. Des petits chapiteaux, avec des jouets, des puzzles, des voitures en plastique, une dinette. Un parcours sportif, fait de cerceaux, de matelas, de tapis, de trampolines, parcours rangé et deballé au fur de la pluie qui cesse et retombe.

Des moyens modestes, car il n'y a pas de casino, à Pantin, mais le coeur bat à gauche. Le café est offert. A côté des toilettes, un coin "ferme des animaux", comprenant une vache, un veau, trois cochons, une poule et vingt-trois poussins, deux moutons, deux brebis, et une chèvre. Kéké regarde la vache. Les moutons, eux, ne sont pas farouche, ils courent à travers les jambes des enfants, comme si c'étaient leur week-end à eux, avec découverte des humains. Puis, avec Kéké, nous sommes allé au grand parc, dévaler en crissant de joie, de vastes pelouses fraîchement tondues. Pirelli_2009_17.jpg (Image JPEG, 640x531 pixels) YouTube - Zazie Zen. YouTube - la grenouille et le boeuf. La boite à meu - meuh ! Vive les vaches (soupir) Y a République des Blogs ce soir. J'y aurais bien été si elle avait eu lieu à Tavel ou à Orange, mais bon c'était à Paris...

Comme en plus mon toubib - Maire du village d'à coté m'a cloué à la maison pendant deux jours, ben tant pis... Donc je pense au Forez, j'y retourne dans 10 jours... Et je pense aux vaches chères à l'ami Gael (lui aussi aime beaucoup les vaches : elles le lui rendent bien) Un billet pour rien... (sinon de partir en vacances un petit peu loin, de ne plus avoir mal au dos, et que les gens que j'aime arrêtent d'accumuler les choses qui font très très mal, encore plus que le dos...) Philippe Delepierre, L'Aztèque du Charro laid : Les Peuples du S. La collection Le Poulpe, créée par JB Pouy aux éditions Baleine en 1995 compte à ce jour 175 titres. Tous les titres reposent sur un jeu de mot. JB Pouy a ouvert le bal avec La Petite Ecuyère a cafté. On trouve un Un Nain seul n'a pas de proches, ou un Certains l'aiment clos...

Dans les romans, qui ont tous la même structure, le héros Gabriel Lecouvreur, un enquêteur indépendant qui ne rechigne pas à utiliser toutes les méthodes... même légales, témoigne de notre époque à travers faits divers et maladies du monde. Parmi les titres, on retiendra L'Aztèque du Charro laid, premier roman de Philippe Delepierre qui vit justement au Mexique. "L'Aztèque est saignant , mais pas très tendre. Philippe Delepierre, L'Aztèque du Charro laid, Le Poulpe n°136, Editions Baleine, 1999. Mtislav: L'appel de la balayette. Le comiss est l'avenir de l'homme - Le Jardin de DB. Un comice, c’est un rendez-vous sacré, un moment de communion intense, une ou deux journées de ferveur à la gloire de la plus belle merveille de notre magnifique pays : l’élevage.

Ne l’oubliez jamais : ce sont les éleveurs qui sont les vrais maîtres du monde, ce sont eux qui détiennent la puissance suprême. Ils vont au comice pour présenter à la foule médusée leurs plus beaux produits, le résultat de toute une vie de travail, la preuve de leur savoir-faire éblouissant. Ils emmènent leurs reproducteurs avec la ferme intention d’humilier tous les autres concurrents et de rafler la totalité des coupes et des plaques émaillées qui viendront orner les murs de leurs écuries. Au comice, on peut donc admirer la fine fleur du cheptel de nos terroirs. Et notamment du cheptel bovin. Sur le foirail, entre les piquets qui ont été plantés là par les arrière grand-parents des grand-parents de nos fiers producteurs, des cordes ont été tendues.

L’œil du juge est plus puissant que l’œil de Dieu lui-même. Mimotaure… « Mimo, Boulot, Dodo… Diffamation. Elle a bon dos, la diffamation. La résolution du 27 mars 2009 prise par le Conseil des droits de l’homme de l’ONU visant à “lutter contre la diffamation des religions“, sur une proposition d'états musulmans, est une belle régression.Ainsi, on a pas le droit de critiquer les croyances d'autrui. J'en déduis qu'il faut faire interdire le Coran. En effet, d'après la sourate 2 dite de la vache, certains versets diffament les croyances autres que l'Islam : 120.

La vache ! Joaquim Hock - pataphysicien (peintures, illustrations, textes): Vache.jpg. Vache.jpg. Ceci n'est pas une pub pour la vache qui rit. Herbe de bison et péroraison. Hello, j'interromps un instant ma pause pour publier ce texte que j'avais écrit dans le cadre de mon histoire Classement Miko du mois. J'espère revenir bien vite ici, et dans vos chez-vous respectif, tout ça me manquant quand même bien beaucoup ! D'ici là je vous laisse cette histoire, qui connaît une suite, que j'espère vous faire partager aussi !

Portez-vous bien, hâte de vous retrouver ! Une histoire de bison, ça vaut une vache, non ? La sortie du cadre habituel promettait une certaine incongruité, mais l'inconnu réveille toujours une curiosité qu'on cache en soi. Elle regarda le jeune homme de sous ses lunettes, d'un regard interrogatif, mais amusé surtout. Elle se leva et avança vers lui : la curiosité encore, l'audace malgré la timidité. - Bonjour. Le jeune homme ne leva qu'à peine le nez de son verre. Devant lui s'alignaient 3 verres de vodka intacts. Elle réitéra son bonjour. . - Alors, ça ne va toujours pas ? - Continuez. Elle ne laissa pas apparaître sa surprise. - La vodka. - Ah ah !! Vache-et-son-veau.jpg.