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Les participations via les blogs

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Mes avis préférés. Collectif des Usagers Locaux. Dans mon programme – oui, je suis candidat (ma candidature, mon programme, mon style, mes engagements, ma méthode, mes mesures d’urgence) – il faut maintenant que je vous parle des mesures que je vais prendre pour résoudre un tas de problèmes d’un coup et d’un coût réduit. Nous allons créer les Bureaux Individuels Travaillant pour l’Etat. Nous leur trouverons un nom d’usage ou une abréviation plus tard. Ce sont des bureaux qui regrouperont nombre de services publics nationaux ou territoriaux (police, sécurité sociale, CAF, préfecture, ANPE, gendarmerie, état civil, éducateurs et animateurs, poste, ASSEDIC, impôts, …) qui seront installés près des gens, de manière à ce que les employés connaissent relativement la population et vice versa. Par exemple : une commune de 1000 habitants, un bureau. Un quartier de 10 000 personnes, un bureaux (plus gros, c’est pour ça que je mets bureau au pluriel).

Ces bureaux seront composés de trois catégories de personnel. Vous aurez compris l’objectif. Je voulais vous dire…: Paradis: Réflexion et autopromotion. J’ai été sollicité par Gaël pour participer à une espèce de compilation sensée recenser les meilleurs billets parus dans un certain nombre de blogs… Cette compilation portera le nom plein d’espoir présomptueux de « Paradis ».En fait, je ne sais pas trop ce qui va être fait avec ça, mais en tous cas la question m’était posée de cette façon : Quel est le billet que vous avez écrit qui à vos yeux a le plus de prix ? Pas facile de répondre à cette question… Ça veut dire quoi exactement « le plus de prix » ?

Ce billet, c’est celui qui m’a donné le plus de travail ? Celui qui me touche le plus personnellement ? Celui qui a eu le plus de succés ? Bref, sur les 301 billets que j’ai publié depuis les dix-huit mois qu’existe ce blog j’en ai finalement retenu six. Les mystères du dictionnaire, et Des empires et de la liberté. Grrrr ! Bon ! Pourquoi ? Je voulais vous dire…: Des empires et de la liberté… Avertissement : Aujourd’hui je vous propose du lourd et du copieux.

Aussi, je vous invite à prendre le temps qu’il faut pour digérer tout ça ! Si vous n’avez que deux minutes devant vous, c’est pas la peine ! Revenez quand vous aurez le temps… Quand j’étais petit garçon, on avait coutume de dire que ce qui se passait en Amérique, arrivait chez nous en France dix ans plus tard… Je l’entendais tellement ce concept que, comme la plupart des gens j’ai eu tendance pendant des années à le considérer comme allant de soi. Un peu comme si il était normal que les objets, comme les idées, migrent de l’ouest vers l’est, à la faveur de je ne sais quel courant marin. Bien sûr, le temps passant, et les moyens de communication se modernisant, la vitesse de cette migration c’est accélérée et bientôt, ce n’est plus dix ans qu’il fallut attendre pour voir débarquer chez nous les bienfaits de l’american way of life… Et puis j’ai grandi. A votre avis, pourquoi je vous raconte tout ça ? Je voulais vous dire…: Les mystères du dictionnaire.

Quand j’étais petit garçon, je lisais beaucoup. Enormément même… Je dévorais un peu tout et n’importe quoi, tout ce que la maigre bibliothèque familiale recelait plus celle de mon grand-père un peu plus étoffée. Dans la seconde j’y trouvais surtout des ouvrages sur la deuxième guerre mondiale, romans et récits ainsi que la fameuse édition Fleuve Noir si riche de romans d’espionnage à la sauce Guerre froide… Bien avant l’âge de douze ans, je pouvais déjà parler facilement de l’opération Barbarossa, de la bataille de Stalingrad ainsi que de la résistance sur le plateau des Glières. Mais aussi je vivais mes premiers émois lorsqu’OSS 117 caressait la gorge offerte d’Irina, la pulpeuse espionne du KGB. Bien que très jeune, j’avais bien compris que la gorge en fait, était une ancienne façon de décrire ce qui se situait un peu plus bas sur le corps de la femme… Bref, pour m’évader un peu d’un climat familial délétère, je me plongeais dans la fiction et l’imaginaire.

J’aime ce dictionnaire. Partageons mes âneries: Mes âneries préférées. Partageons mes âneries: Marcel a coincé sa braguette. Après ses délires sexuels, Fiso osera-t-elle raconter sur son blog l’histoire que lui a racontée Marcel Le Fiacre, le Diorgucci de La Comète ? Je vais faire court. Enfin ! Je vais essayer. C’est bien plus drôle quand c’est Marcel qui raconte. D’ailleurs Fiso a fait pipi dans sa culotte en entendant Marcel ce qui faisait ronchonner Josiane qui venait de faire le ménage. Tout commence par Marcel qui se coince la peau du truc (traduisez « la bite » mais Marcel est très prude - il parlait même de « la zigounette ») dans la braguette.

On ne sait pas trop pourquoi. Marcel se coince le truc dans la braguette. Je parlais du pantalon. Marcel met sa grande gabardine (pour cacher le trou dans le pantalon, suivez un peu !) Marcel explique son affaire avec son affaire à l’interne, qui lui dit : « ça arrive ». Si ! Si ce sont les mêmes outils qui sont utilisés, j’espère qu’ils les lavent entre deux opérations ou alors qu’ils commencent par opérer la face du visage avant d’opérer la fasse des fesses.

Si ? Partageons mes âneries: Ma coiffeuse. Tel le messie, Djibril revient demain. Faut dire que ça nous faisait un manque dans les bistros. me dit Michou. Un célèbre blogueur du même métal que Djibril a activé la modération dans ses commentaires mais a oublié de boire avec. Comme le vieux était hors d’usage à midi, il n’est pas sorti le soir. Ah oui ! J’ai oublié de vous préciser le sujet du billet du jour : la sortie d’hier soir. Commençons à 17h15 quand mon réveil sonna. Commençons à 17h15 quand mon réveil sonna. Je suis reçu par ma grande blonde qui me lave langoureusement les cheveux puis m’enturbanne. . « Je vous coiffe comment ? J’ôte mes lunettes. Pendant la coupe elle se penche sur moi à me faire frémir à un point qu’il a fallu que je fasse preuve d’un self contrôle incroyable. A la fin du coiffurage, elle va chercher mon manteau. Je vais au bistro raconter ma déconvenue à Abdel. UN SEUL m’a dit que j’étais bien coiffé : Luigi. Tous ces efforts pour rien !

De tout et de rien, surtout de rien d'ailleurs: Paradis (Seb Mus. Serais-je un geek pur malt ? | microZOOM. De tout et de rien, surtout de rien d'ailleurs: Paradis (Sophie) Matériel re-conditionné : 60 à 80% d’économies › Gre. Par Frédéric Bordage - 28/05/2009 Les besoins toujours importants des nouvelles versions de logiciel et les règles comptables poussaient jusqu’à présent les entreprises à renouveler leur parc informatique obsolète avec du matériel neuf, en moyenne tous les 4 ans pour les postes bureautiques et tous 3 ans pour des postes de travail spécialisés. Mais, face aux crises écologique et économique, les entreprises changent peu à peu d’attitude. Elles cherchent désormais à faire des économies tout en préservant l’environnement. D’un point de vue environnemental, « le renouvellement du parc pour la seule raison de meilleurs performances énergétiques du boîtier d’alimentation est un non sens. Les gains environnementaux et économiques sont loin d’atteindre les gains obtenus en prolongeant l’utilisation des machines » constate Françoise Berthoud, responsable du groupe de travail eco-info au CNRS.

Un matériel fiable, garanti 6 mois à 3 ans Le temps des bidouilleurs est révolu. คllยשเ๏ภร: Pour répondre à Mitslav. Pour répondre à ton invite, Mitslav, je dirais que le meilleur billet que j'ai produit reste le premier de tous. Le commencement d'une aventure qui continue sur le net. Depuis, je fais peut-être moins de fautes. J'ai essayé de suivre les conseils de Nicolas. A propos, ils sont où tes conseils de blogage, je n'ai pas retrouver la rubrique. Je me suis fait plein d'ami(e)s et j'en ai croisé certains et certaines.

En particulier, M et Nicolas. J'ai adoré ces rencontres. Là je me dis, "bon, j'attends un peu" et je continue la route avec une certaine forme d'excitation qui me redonne la pêche pour quelques temps encore!