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Avril

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Les candidats savent déjà pour qui vous allez voter, et ce n'est pas grâce aux sondages. Les entreprises vont plus loin que le minimum légal. Alors que la loi prévoit une prise en charge minimale par l’employeur de la complémentaire santé de 50 %, celle-ci est de 57 % pour les PME-ETI-GE et de 59 % pour les TPE. Plus de la moitié d’entre elles ont également choisi un niveau de garanties supérieur au niveau de garanties minimal ou à celui négocié par les branches. Par ailleurs, les entreprises proposent majoritairement la possibilité de couvrir les ayants droit des salariés. Ainsi, 52 % des TPE et 67 % des PME-ETI-GE le font de manière facultative et 18 % des TPE et 21 % des PME-ETI-GE le font automatiquement. 99 % des PME/ETI/GE et 95 % des TPE déclarent proposer une couverture santé à leurs collaborateurs - contre respectivement 85 % et 71 % en 2015.

Parmi celles-ci, 27 % des TPE et 55 % des PME-ETI-GE indiquent être concernées par des cas de dispenses à la demande de leurs salariés. Plus de la moitié des entreprises sont concernées par des accords de branche. Méthodologie de l’étude Audirep. Google annonce la mort du moteur de recherche et l’avènement de l’Age de l’assistance. Au très sélect salon professionnel E-commerce One To One 2017, Google a fait sensation durant sa plénière en déclinant sa nouvelle présentation «The age of assistance» (l’âge de l’assistance – l’ère de l’assistance). Credo de cet axe déterminant en terme de communication, marketing et vente: Google s’extrait peu à peu du modèle du moteur de recherche tel que nous le connaissons encore aujourd’hui pour entrer de l’ère de l’assistance.

L’économie de l’assistance en 3 points Ce nouveau temps est aussi l’avènement d’une économie de l’assistance qui prend en compte 3 déterminants principaux dans un modèle renouvelé de la recherche: On comprend mieux les bouleversements en perspective notamment en matière de référencement (et SEO – optimisation pour les moteurs de recherche) car cette composante est depuis plus de 20 ans baignée via une démarche textuelle et image de positionnement s’affichant dans une liste de résultats.

Du moteur de recherche à l’assistance individuelle et personnalisée. Comment le Club Med obtient +18% de sessions en personnalisant sa page d’accueil ? Hébergement des données de santé : l’ordonnance publiée. Dans la continuité de la loi du 26 janvier 2016 sur la modernisation du système de santé, l’ordonnance n°2012-27 du 12 janvier 2017 relative à l’hébergement de données de santé à caractère personnel vient modifier la législation en la matière. Que change l’ordonnance ?

Le règlement européen du 27 avril 2016 définit les données de santé comme « les données à caractère personnel relatives à la santé physique ou mentale d’une personne physique, y compris la prestation de services de soins de santé, qui révèlent des informations sur l’état de santé de cette personne ». L’un des principaux changements introduits par l’ordonnance concerne l’agrément des hébergeurs de telles données.

Jusqu’à présent, les hébergeurs sur support numérique des données de santé à caractère personnel étaient approuvés via un agrément d’une durée de trois ans, délivré après instruction d’un dossier par l’Agence française de la santé numérique. Une sécurité accrue …et des impacts en termes de coûts. Données personnelles : les entreprises vont devoir embaucher. Le règlement européen de protection des données sera applicable en mai 2018. Les sociétés qui brassent de nombreuses informations auront tout intérêt à se doter d'un data protection officer.

Dans un peu plus d'un an les normes européennes en matière de données personnelles vont être harmonisées. A compter de mai 2018, le règlement du Vieux continent sera applicable, et ce sans transposition en droit français. Le cadre va imposer de nouvelles responsabilités aux entreprises en matière de cybersécurité et de traitement des datas. Le renforcement des liens entre pays est également de mise. Les sociétés qui voudront bien faire les choses auront intérêt à se doter d'un oiseau rare : le data protection officier. Les nouvelles obligations seront imposées à tous les organismes privés et publics qui collectent, traitent et stockent des données personnelles dont les propriétaires peuvent être identifiés directement ou indirectement. La souscription d'assurance en ligne a doublé entre 2015 et 2017. 46% des assurés restent toutefois réfractaires à l'achat de produis d'assurance sur Internet, selon CCM Benchmark. 20% des internautes en France ont déjà souscrit une assurance en ligne, hors assurance-vie, selon l'édition 2017 de l'étude e-Assurance publiée par CCM Benchmark (éditeur du JDN).

C'est presque deux fois plus qu'en 2015 (12%). Un bond que les auteurs attribuent notamment à la loi Hamon, qui a encouragé les résiliations de contrats et donc les nouvelles souscriptions, et dont la notoriété s'est accrue depuis son entrée en vigueur : "En 2015, 63% des internautes avaient connaissance de cette loi. En deux ans, cette proportion a grimpé de 16 points". Seconde explication : les efforts des assureurs pour proposer des parcours de souscription full web, intégrant la signature électronique. Les souscripteurs en ligne sont-ils satisfaits du parcours qui leur a été proposé ?

La réponse est oui, à 92%, contre 79% en 2015. Cinq industries qui pilotent la révolution de l'internet des objets. À la fin de 2016, l'adoption de l'internet des objets concernait quelque 43 % des entreprises à travers le monde, d'après un rapport de Gartner. "L'industrie de l'internet des objets est la prochaine vague de technologies internet. Elle devrait créer des centaines de milliers d'emplois qualifiés bien rémunérés", prédit PK Agarwal, doyen régional de l'université Northeastern dans la Silicon Valley et ex-directeur de la technologie pour l'État de Californie. "L'internet des objets transformera en profondeur la conduite des affaires et la fabrication dans le monde entier. " L'université Northeastern estime que l'investissement total entre 2015 et 2020 s'élèvera à 6 billions de dollars entre les marchés de l'internet des objets grand public et industriel, ce dernier tirant la croissance.

Le secteur de la fabrication est celui qui a le plus investi dans l'internet des objets en 2016, d'après un rapport récent d'IDC, avec des dépenses totales de 178 milliards de dollars. 1. 2. 3. 4. 5. Camions autonomes et optimisation de la livraison : l'avenir du fret tape à la porte - ZDNet. De Uber à Ford en passant par Sébastien Loeb, tout le monde parle de la voiture autonome. C'est oublier un peu vite que la première économie de la route qui va bénéficier de la révolution des véhicules autonomes est bien celle du transport de frêt. Les camions, ici, vont bien plus vite que les voitures. Volvo à réalisé au début de ce mois un test de platoonig sur une autoroute américaine. Trois camions autonomes reliés par Wi-Fi, espacés de 15 mètres, circulant à la vitesse de 90 km/h.

(Source : Volvo Tuck) A commencer par la technique de platooning. Le platooning, "c'est pour dans 4 à 5 ans" "La communication véhicule-véhicule est essentielle pour les systèmes de platooning" explique Magnus Koeck, vice-président de Volvo Trucks. "Seul manque le cadre légal" pour mettre en place ce dispositif en France assure Rodolphe Allard, fondateur de Chronotruck et de l’entreprise de transport Allard Logistics. Aujourd'hui la technologie va bien au delà de ce Graal. Le nerf de la guerre ? Play, record, mprove drums everywhere, whenever you want !