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Religion bonheur

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L'illusion de Dieu - Analyse du livre de Richard Dawkins « Pour en finir avec Dieu » « La vision du monde de la science moderne, si l’on veut bien être honnête à ce propos, conduit naturellement à l’athéisme mais les scientifiques qui osent le reconnaître ouvertement sont peu nombreux »1. Le biologiste Richard Dawkins, comme Alan Sokal, comme Jean Bricmont2, est de ceux qui pensent que la démarche scientifique et la démarche religieuse sont en fait inconciliables. ni conciliation agnostique… Les deux premiers chapitres sont structurés autour des arguments de l’article que Richard Dawkins avait confié au magazine Forbes en 19993, arguments conduisant au rejet de la « conciliation agnostique » à laquelle se prêtent certains scientifiques peu enclins à se frotter aux questions qui fâchent : « On ne peut pas prouver une négation (jusque-là ça va).

La science n’a aucun moyen de réfuter l’existence d’un être suprême (c’est strictement vrai) . … ni non empiètement des magistères : … … refuser la complaisance ! « l’hypothèse de Dieu » Les racines de la religion et du sens moral. Dawkins parle de Dieu. [DAWKINS, Richard, The God Delusion, Houghton Mifflin, New York, 2006, 416 pages.] Paru à l’automne 2006, le dernier opus de Richard Dawkins s’intitule : The God Delusion — ce qu’on peut traduire par : Dieu comme délire . C’est un livre merveilleusement écrit, informatif, percutant et qui ne recule ni devant les questions difficiles, ni devant les sujets polémiques. Dawkins entend montrer que la foi religieuse est un délire, au sens où elle est une fausse croyance qui persiste malgré la prévalence de fortes et convaincantes données qui la contredisent. Tous les humanistes, les sceptiques, les rationalistes et les libres-penseurs ajouteront avec bonheur ce livre à leur bibliothèque.

Et à en juger par l’immense succès qu’il connaît au moment où je rédige ces lignes, tout semble indiquer que le lectorat de Dawkins sera bien plus vaste encore et que son livre rejoindra un large public. Du gène égoïste à dieu comme délire Mais Dawkins est plus que cela. The God Delusion Contre le théisme 1. 2. Les leçons de bonheur de Frédéric Lenoir - Spiritualité. Le bonheur durable est selon vous le fruit d’un travail sur soi. La phrase de Gandhi « Soyez le changement que vous voulez dans le monde » est emblématique de notre époque. Changer le monde et notre mode de vie passe par une transformation intérieure pour être efficace et éviter les batailles d’ego.

J’observe depuis quatre ou cinq ans, en même temps que montent la conscience écologique et les réactions à la société marchande, un rapprochement entre les spirituels, ces chrétiens ou ces bouddhistes qui s’engagent pour de grandes causes, et les militants politiques de l’altermondialisme, qui comprennent que leur combat a besoin d’être nourri d’un regard profond sur le monde. On ne peut prôner un nouveau modèle mondial fondé sur la solidarité et la coopération entre les êtres qu’à condition d’être témoin de ce que l’on dit et de travailler sur soi.

En quoi ce regard remet-il en cause notre mode de vie ? À quel bonheur aspirons-nous ? * Du bonheur. La religion contredit-elle le bonheur humain ? - Aide en philo.com. Aperçu du corrigé : La religion contredit-elle le bonheur humain ? La religion permet et promet à l'homme d'atteindre le bonheur. La religion rassure et guide l'homme dans l'existence. Mais, le bonheur n'est-il pas une affaire uniquement laïque ? Plus que la religion, c'est à l'Etat d'assurer la félicité de l'homme.L'homme se pense lui-même , mais comme un être autre que lui. Le christianisme est la plus aliénante et la dernière des religions : la religion la plus aliénante car la notion inédite de l'homme-Dieu dépouille totalement l'homme de la conscience de son statut réel, au profit d'une représentation imaginaire de lui-même ; et la dernière des religions, parce qu'elle annonce la mise au jour de la vraie nature de la religion : une nature purement et strictement humaine.

Tels sont les principes du matérialisme athée. Corrigé de 1963 mots (soit 3 pages) directement accessible. Richard Dawkins et le bonheur sans religions. L’encyclopédie de la bêtise peut s’enrichir d’un nouvel article. Richard Dawkins, savant qui pense avoir trouvé la Vérité dans la science, affirme candidement dans une entrevue à L’Express : « Imaginez un monde sans religion: pas d’attentats suicides, pas de croisades, pas de chasses aux sorcières, pas de guerres israélo-palestiniennes, pas de persécutions de juifs… » Le bonheur total, quoi.

Il ne resterait que le goulag, les khmers rouges, la révolution culturelle, le génocide arménien, le génocide rwandais, et si l’on remonte plus tôt la Terreur de la Convention, la dévastation du Palatinat par Louis XIV, les guerres, les massacres, les tortures, les viols, les vols, et tout ce que les hommes peuvent faire souffrir à d’autres hommes par cupidité, vengeance, jalousie, soif de pouvoir et plein d’autres motifs que le fanatisme religieux. Pas de religions, pas de croisades. Pas de croisades, pas d’étripage entre chrétiens et musulmans donc. Croire rend-il plus heureux. Une bouddhiste, un catholique et une agnostique qui a élaboré sa propre foi nous racontent comment ils ont identifié ce qui les épanouissait vraiment et comment leur démarche spirituelle éclaire leur vie.

Violaine Gelly Sommaire Béatement heureux… Voilà la caricature dans laquelle sont enfermés ceux et celles qui affirment trouver leur bonheur dans la foi. D’ailleurs, béat et béatifier dérivent de la même étymologie latine : beatus, « heureux ». Comme si toute croyance en une transcendance était un passeport assuré pour la félicité, une assurance-vie heureuse. Comme si les grands mystiques, toutes religions confondues, n’avaient pas crié leurs angoisses au mitan de leurs nuits de doute. Florence, bouddhiste Florence, 36 ans, bouddhiste« Le zen m’a appris à réenchanter le quotidien » « Il y a huit ans, j’ai découvert l’enseignement du maître zen vietnamien Thich Nhât Hanh. Paul, catholique Paul, 29 ans, catholique« Ma recette, c’est le don absolu de soi » Dalaï Lama, 50+ citations et belles pensées.

Lire ses citations / chef spirituel tibétain, 1935 - Le dalaï-lama est reconnu par les Tibétains de confession bouddhiste comme le plus haut chef spirituel (religieux) du Tibet et une émanation du bodhisattva de la compassion. Il est également le chef temporel (politique) du gouvernement du Tibet depuis le XVIIe siècle jusqu'à la première moitié du XXe siècle et du gouvernement tibétain en exil de 1959 à 2011.Tenzin Gyatso (Wylie : bstan 'dzin rgya mtsho ), né Lhamo Dhondup ( Wylie : lha mo don grub ) le 6 juillet 1935 à Taktser (Hongya), dans la province du Qinghai (l'Amdo), est le 14e dalaï-lama.Moine bouddhiste de l'école gelugpa, il est intronisé chef temporel et spirituel des Tibétains le 17 novembre 1950, un mois après le début de l'intervention de l'armée chinoise au Tibet. En 1959, il s'exile en Inde où il crée le gouvernement tibétain en exil qu'il dirige jusqu'en mars 2011, date de sa retraite politique à la faveur d'une démocratie tibétaine.

Sept Divinités du Bonheur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Les Sept Divinités du Bonheur (七福神, Shichi Fukujin?) Au Japon font références aux sept divinités de la bonne fortune dans la mythologie japonaise. Description[modifier | modifier le code] Chacune d'entre elles possède des particularités traditionnelles : Une autre divinité, Kichijōten (ou Kisshōten, Kudokuten), Skt. = Laksmi, Mahasri, divinité de la richesse représentée avec le joyau (mani) qui exauce les désirs, est parfois décrite avec les sept divinités traditionnelles.

De gauche à droite : Hotei, Jurōjin, Fukurokuju, Bishamonten, Benzaiten, Daikokuten, Ebisu Les sept divinités sont souvent décrites à bord de leur navire Takarabune (宝船? Plusieurs divinités japonaises ont été transmises de l'Inde vers la Chine, puis de la Chine vers le Japon, parmi lesquelles peuvent être comptées ces sept divinités. Liens externes[modifier | modifier le code] Seven lucky gods [archive] Portail du Japon. Le Top 10 du bonheur selon le Pape François. © Mazur/catholicnews.org.uk Le 27 juillet dernier, la revue dominicale argentine Viva du quotidien Clarin a publié une nouvelle interview du pape François, signée du journaliste Pablo Calvo. Lors d’une rencontre qui aura duré pas moins de 77 minutes à la résidence Sainte-Marthe, au milieu d’un groupe d’émigrés argentins en Suède, le 7 Juillet dernier, le Pape a notamment déclaré que le Prix Nobel de la Paix ne l’intéressait pas particulièrement, a exprimé ses préoccupations au sujet des guerres en cours, la protection de la nature et les dangers de ne pas profiter du temps libre pour les relations personnelles et familiales.

Il a évoqué les jeunes et la nécessité de les aider à trouver un emploi décent. Le décalogue du ’bien vivre’ selon le Pape François -1- Vivre et laisser vivre, le premier pas vers le bonheur. « Vis et laisses vivre, voilà le premier pas vers la paix et le bonheur » . -3- Se mouvoir avec humilité, lentement, au milieu des personnes et des situations. Pages: 1 2 3 4 5. Conception du bonheur dans le christianisme • atoi2voir. Selon la foi chrétienne, il est possible d’être heureux et de trouver le bonheur. C’est l’un des enseignements de Jésus. Voici comment. Du bonheur perdu… Pour le chrétien, le bonheur est repos dans la plénitude du présent : si nous étions heureux, nous nous contenterions de vivre le présent tel qu’il se donne. Cependant, le philosophe chrétien Pascal montre que cette aspiration à vivre intensément le présent reste partiellement impossible : « C’est que le présent, d’ordinaire, nous blesse… Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons de vivre » (Pensées, fragment 172).

Si nous ne sommes pas totalement capables de vivre constamment au présent, c’est parce que l’homme est habité par un manque, par un vide intérieur. Cette insatisfaction témoigne de la perte d’un bonheur plus grand, dont il est aujourd’hui séparé (mais qu’il peut atteindre de nouveau). D’où nous vient en effet cette idée d’un bonheur que nous n’avons jamais vu ?

Ce que les hommes recherchent, c’est de se sentir vivants. Religion et extase - Judaïsme, zohar, Hindouisme, bhakti, islam, nirvana. Dieu, l'homme et l'extase Le bonheur absolu Les philosophes : ils ne savent pas comment excuser Dieu ; c'est pourquoi ou bien ils le nient, ou bien ils le prouvent : ce qui revient au même. En effet au lieu de chercher d'abord à le voir, ils commencent par le concevoir. Jacques rivière" Ne discutez pas les doctrines et les religions, elles sont une. Insouciant, dans la joie, contemplatif, naïf, paisible, voici le béat. L'humanité est vouée à atteindre sa perfection. Une expérience universelle En divers écrits et sous diverses appellations, les courants spirituels et philosophiques ont dépeint l'expérience extatique. L'hindouisme l'appelle Bhakti, le judaïsme devekout, le christianisme béatitude ou félicité.

Tout ces termes, décrivent la même sensation psychique. Une technique identique Pour atteindre cet état, les religions proposent des techniques similaires. Le judaïsme La splendeur dans le judaïsme, le Zohar L'intention de s'unir physiquement avec Dieu, apparaît dés le départ du monothéisme. Ceux qui ont la foi vivent-ils plus heureux ? Que l'on soit bouddhiste, musulman, chrétien, juif ou encore taoïste, la foi aide à donner un sens à la vie et à trouver réconfort et sérénité. Certains athées découvrent par ailleurs la foi au détour d'un chemin qu'ils ne pensaient jamais prendre. Qu'est-ce que la foi ? Pourquoi certains croient en un Dieu et d'autres pas ? Croire permet-il d'affronter plus facilement les épreuves de l'existence ? Peut-on se découvrir une foi alors que l'on était athée ?

Nos invités Eric-Emmanuel Schmitt, écrivain et réalisateur, auteur de La Nuit de Feu (ed. Victor Grézes, étudiant en relations internationales et directeur de la vie associative de l'association Coexister, auteur de Je suis athée, croyez-moi (ed. de l'Atelier) disponible en février 2016 Thierry Bizot, écrivain et producteur, auteur de Premier pas d'un apprenti chrétien (ed. Les sujets à venir Demain : Le porno booste-t-il la libido ? Vous souhaitez témoigner ?

Lire la suite. La religion est-elle synonyme de bonheur ? La véritable religion ce n'est QUE du bonheur Quelle que soit la religion dont on parle, christianisme, islam, judaïsme, bouddhisme, et autres, ce qui ressort systématiquement dans toutes, c'est l'amour, la tolérance, la paix, le respect, le partage, etc. Uniquement des sentiments positifs, des valeurs universelles qui apportent du bonheur à tous les croyants.

La religion c'est très personnel, c'est un sentiment, la foi, qui nous fait aimer un dieu, quel qu'il soit, qui nous fait adopter des doctrines, des pratiques qui correspondent à ce culte, des croyances qui apportent du bonheur dans nos vies, du bien-être, du "plus". Des convictions qui nous permettent d'avancer sereinement dans la vie, de profiter de la chaleur d'appartenir à une famille religieuse aussi. Car la religion c'est aussi l'union, la communion de toutes les personnes qui ont les mêmes croyances et qui veulent partager leur foi. Quand la religion sert injustement de justification à la barbarie. Citation shimon peres 3726.

A propos du bonheur – Des hauts et débats. Bien des gens considèrent que le bonheur est une notion très abstraite, presque futile. On cherche à le remplacer par des choses plus accessibles : le plaisir, la tranquillité, l’épanouissement, la satisfaction, le bien-être, la réussite, éventuellement la joie. Mais de bonheur, point. Trop compliqué, trop lointain, trop inaccessible, le bonheur. On est content, on prend son pied, on est posé et reposé, mais combien de prétentieux osent se dire heureux, vraiment et pleinement heureux ?

Pourtant, nous avons tous été un jour malheureux, et pour certains, vraiment et profondément malheureux, parfois pendant de longues années. Si donc existe le malheur existe nécessairement son opposé, le bonheur. 1. Qu’est ce que le bonheur ? Étymologiquement, bonheur vient du latin bonum augurium (bon augure), qui désigne la bonne fortune, la chance. Mais cette définition n’est pas vraiment satisfaisante. Comment être heureux ? Le bonheur, fils du confort? Dès l’Antiquité, la question du bonheur se pose. Le paradis et le bonheur sur terre. Pour une religion du bonheur. Il faut, en professeur, avoir étudié en cours les premières pages de la Genèse pour constater, auprès d'élèves de toutes origines, de toutes confessions, de tous milieux sociaux, une réaction quasi unanime de rejet qui s'accompagne même, généralement, de moqueries et de rires. Si l'étude approfondie d'un texte mène généralement à une meilleure compréhension, l'étude du texte fondateur du judaïsme, du christianisme et de l'islam, déclenche le plus souvent l'hilarité, l'indignation, la révolte et la consternation.

Il faut avoir vu et expérimenté ce rejet viscéral pour comprendre à quel point la jeunesse d'aujourd'hui a soif de vitalité, de joie, de jouissance, d'amour et d'enthousiasme sur un mode absolument étranger à l'esprit des trois religions issues de la Genèse. Le plus naturellement du monde, pourtant, la commission Stasi, au nom même de la laïcité, suggère de régler, un peu plus encore, le calendrier scolaire sur les fêtes de ces trois religions aux origines communes.