background preloader

Vision critique

Facebook Twitter

Oculus Rift: quand vous donnez sur Kickstarter, vous n'êtes pas actionnaire et les 2 milliards de Facebook vous passent sous le nez. Le rachat d'Oculus VR par Facebook pour 2 milliards de dollars, annoncé le 24 mars, met une nouvelle fois en avant l'histoire une petite start-up qui décroche le gros lot en se faisant racheter par un géant du web.

Oculus Rift: quand vous donnez sur Kickstarter, vous n'êtes pas actionnaire et les 2 milliards de Facebook vous passent sous le nez

Mais il y a un hic: les premiers à avoir cru au projet n'auront droit à rien dans l'opération. Comme d'autres projets aujourd'hui, l'Oculus Rift a en effet la particularité d'avoir bénéficié des dispositifs de financement collaboratif. «Oculus doit une bonne partie de son succès à une campagne réussie sur Kickstarter», l'un des sites qui met en avant les projets de ceux en recherche de soutiens, indique ainsi Business Insider.

Un succès qui se chiffre en millions: publicité «En 2012, la start-up a levé plus de 2,4 millions de dollars en provenance de 9.522 soutiens.» Problème: «aucune des personnes qui ont investi pour aider cette jeune société à décoller ne bénéficieront du deal conclu» entre Oculus Rift et Facebook. Airbnb. We Share vs Oui cher : faut-il avoir peur de l’économie collaborative ?  — Chroniques de la transition numérique. L’explosion des modèles collaboratifs, également appelés P2P (peer-to-peer) ou C2C (consumer-to-consumer), est probablement un des phénomènes les plus intéressants de la transition numérique.

We Share vs Oui cher : faut-il avoir peur de l’économie collaborative ?  — Chroniques de la transition numérique

L’économie collaborative contourne les acteurs habituels d’un secteur en mettant en relation directement des internautes et en leur permettant d’échanger grâce à une plate-forme numérique. L’exemple le plus emblématique est bien sûr la société AirBnB qui met en relation des internautes disposant de chambres ou d’appartement à louer avec d’autres internautes qui cherchent un hébergement temporaire à l’occasion d’un déplacement personnel ou professionnel. En l’espace de 5 ans, la société a développé une offre de plus de 600 000 logements qui ont permis de loger plus de 11 millions de voyageurs. AirBnb est en passe de devenir le premier « groupe hôtelier » du monde avec une valorisation estimée à 10 Mds$ ! The Sharing Economy Just Got Real. The legal problems of the sharing economy just got real.

The Sharing Economy Just Got Real

The latest lawsuits against "ride-sharing" companies Lyft and Über could be game changers. The plaintiffs are drivers who give rides to strangers for money, paying a portion of their earnings to the companies. The Dark Side of the Sharing Economy: Could Airbnb Accelerate Gentrification? In the last week, two thought leaders in the sharing space, Jeremiah Owyang of Altimeter Group and Anya Kamenetz of FastCompany, have written posts exploring the dark sides of the sharing economy.

The Dark Side of the Sharing Economy: Could Airbnb Accelerate Gentrification?

Both raise worthwhile questions. Jeremiah’s post is a long but insightful laundry list of downsides. Some are overblown, like the assertion that the sharing economy marks a resurgence of socialism. Some are pointed, like the regulatory challenges. I greatly appreciate an analytical mind of Jeremiah’s caliber weighing in. It’s good to question an innovation publicly, especially one as disruptive as sharing.

Dialog helps us understand our values, what the tradeoffs are, and what decisions are best in light of both. Usages, mésusages. C’est en lisant Paul Ariès (Wikipédia), rédacteur en chef du Sarkophage – notamment La simplicité volontaire contre le mythe de l’abondance -, que j’ai mieux compris les limites qui me chiffonnaient dans la consommation collaborative.

Usages, mésusages

Celle-ci nous est souvent présentée sous les atours du partage et du don, alors qu’elle n’en est pas toujours. Le covoiturage et l’autopartage ne sont pas inspirés par une vision altruiste, comme on l’entend trop souvent. Le premier moteur du covoiturage et de l’autopartage n’est pas le partage, mais l’économie. Ce n’est pas sauver la planète qui motive les covoitureurs et les autopartageurs, mais amoindrir l’impact de la crise sur leurs finances personnelles, comme le soulignait déjà l’étude 2010 de l’Institut d’aménagement et d’urbanisme d’Ile-de-France (.pdf).

Les utilisateurs de ces services sont d’abord à la recherche de revenus complémentaires. La consommation collaborative… c’est encore de la consommation. La régulation de l’économie collaborative en question. En septembre, rapporte Ron Lieber pour le New York Times, Nigel Warren a loué la chambre qu’il occupe dans son appartement à New York sur Airbnb pour 100 $ la nuit.

La régulation de l’économie collaborative en question

Mais à son retour quel ne fut pas sa surprise d’être convoqué par son propriétaire et les agents de la ville de New York pour avoir enfreint plusieurs interdictions et se retrouver condamné pour plus de 40 000 $ d’amendes ! En effet, les lois locales ou votre contrat de location peuvent interdire la sous-location voir la location de courte durée. A New York, par exemple, vous ne pouvez pas louer d’appartements ou de chambres pour moins de 30 jours, sauf si vous vivez dans les locaux en même temps. Des lois plus restrictives existent encore à San Francisco ou à la Nouvelle-Orléans, mais également à Paris ou Londres.