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The Slow Business Manifesto. Excerpted from Jerry Stifelman: “As the Slow Food movement fights to bring back real food, real tradition, real flavor, and real pleasure. As the Slow Travel movement aims to reclaim the concept of the journey being as important as the destination. As Slow Money advocates argue that relationships and consequences are as important as rates of return. We feel we need a Slow Business movement to put the soul back into our work lives too. On behalf of life, love, and the pursuit of happiness, (and the planet too!) We propose this Slow Business Manifesto. What is Slow Business? • Who you are matters. . • The rest of your life matters. . • Relationships matter. . • Joy matters. . • Love matters (i.e., let’s stop letting money drive our experiences as human beings) Work is more than a means to an end — it is part of how we relate to our lives. .

• The planet matters. What Slow Business is not: • It’s not an excuse for shoddy service, poor quality, or slackness — in fact, it’s exactly the opposite. Nous ne sommes pas la génération « perdue » Dans ce pays européen voisin dans lequel ils se retrouvent pendant une courte période, personne ne connaît véritablement la valeur de leurs diplômes, ni de leurs qualifications. Les employeurs hésitent à confier des responsabilités à un jeune qui s’exprime avec encore peu d’assurance dans une langue qui n’est pas la sienne. L’administration reste désespérément hermétique malgré la législation européenne protégeant nos droits. Sans soutien financier, sans travail, il semble impossible de rester. L’expérience européenne ne devient alors plus qu’un lointain souvenir, comme un beau rêve qui ne survit que sur les photos des réseaux sociaux. Il existe un gouffre entre l’envie de découvrir, de se découvrir en tant que citoyen européen dans un autre pays, et la réalité.

Pourtant, quelques aventuriers décident de rester et de faire leur vie dans le pays d’accueil. J’en fais partie et j’en côtoie quelques uns à Berlin et à Varsovie. Les difficultés de la jeunesse. "Je ne crois pas au développement durable" Crise économique, ras-le-bol du marketing vert, critique de la société d'hyper-consommation… les raisons invoquées par les "écolo-résistants" sont très variées. La dixième Semaine du développement durable se tient du 1er au 7 avril alors que s'est installé en France un véritable "écolo-scepticisme". Le phénomène est en progression. 45 % des 4 500 Français sondés en juin 2011 par l'Ipsos trouvent "qu'on en fait trop sur le réchauffement climatique".

Cette proportion d'"écolo-sceptiques", estime Ipsos, n'était que d'un tiers en 2008. Le Monde.fr a invité ses lecteurs à réagir, à travers un appel à témoignages qui a recueilli de multiples réponses. Crise économique, ras-le-bol du marketing vert, critique de la société d'hyper-consommation… les raisons invoquées par les "écolo-résistants" sont très variées.Durablement réfractaire au développement !

, par Bernard Mais que veut dire un tel sondage ? Trop cher, surtout en temps de crise, par André Un phénomène de bobos citadins, par François. Du contrôle des pauvres à la maîtrise des risques. Chiffres à l’appui, le soupçon de fraude ou d’abus porté par une partie de l’opinion publique, qui tend à peser sur les bénéficiaires de prestations sociales se révèle largement non fondé. Le nombre de rappels de prestations est même trois fois supérieur aux cas de trop perçus. La complexité des prestations et leur instabilité liée aux situations changeantes sont à la source de ces phénomènes. Une autre conception du ‑contrôle s’est mise en place depuis plusieurs années, orientée vers la maîtrise du risque et vers une démarche de prévention. “La tentation du contrôle social des exclus, ou tout simplement des allocataires de l’État-providence dès lors que leurs allocations ne proviennent plus d’une contrepartie assurantielle, devient réelle”, remarque Pierre Rosanvallon.

Le lien entre contrôle et assistance est très ancien. Les abus ou les fraudes existent certes. L’usager a été petit à petit replacé au cœur des préoccupations et des démarches. La hausse des prix de l’essence devrait continuer. La crise et nous... UNE SÉRIE D’ENTRETIENS D’ANTOINE MERCIER DU 19 AU 30 DÉCEMBRE 2011, en prolongement du Journal de 12h30 Mise en ligne : Michel-Ange Vinti et Eric Chaverou Présentation : Depuis la grande crise financière de 2008, qui a donné lieu à de multiples analyses, la situation concrète des pays occidentaux s’est nettement dégradée. A la crise financière s’est ajoutée une crise économique qui prend maintenant un caractère social et politique.

Tous les aspects de la vie collective semblent atteints, tour à tour, au point que l’on évoque une menace pour la civilisation occidentale qui a dominé le monde depuis la Renaissance. Lors "D'autres regards sur la crise", précédents entretiens , nous avions cherché à discerner les contours de la crise. Lundi 19 décembre : Nicolas FRIZE, compositeur Nicolas Frize Michel-Ange Vinti © Radio France 1ère partie : Bonus : Mardi 20 décembre : Bernard STIEGLER, philosophe Bernard Stiegler Michel-Ange Vinti © Radio France La crise et nous... Christophe Dejours © Radio France. Regarde le capitalisme tomber à l'ère de la production Open Source.

« Le logiciel libre, l’innovation partagée et la production collaborative menacent le capitalisme tel que nous le connaissons. » C’est ainsi que Michel Bauwens résume son propos dans les colonnes du site d’Aljazeera. Le menace vient du fait qu’à l’aide d’Internet nous créons beaucoup plus de valeur d’usage (qui répond à nos besoins) que de valeur d’échange (qui se monétise facilement[1] Menace pour les uns, opportunité et espoir pour les autres… La question à 100 milliards de dollars de Facebook : Le capitalisme survivra-t-il à « l’abondance de valeur » ?

The $100bn Facebook question: Will capitalism survive ‘value abundance’? Michel Bauwens - 29 février 2012 - Aljazeera (Traduction Framalang/Twitter/Fhimt.com : Lambda, vg, goofy, fcharton, btreguier, HgO, Martin, bu, pvincent, bousty, pvincent, deor, cdddm, C4lin, Lamessen et 2 anonymous) Le logiciel libre, l’innovation partagée et la production collaborative menacent le capitalisme tel que nous le connaissons. Ce débat n’est pas nouveau. Questions numériques 2012-2012, le temps des ruptures (1/2) : Secessions territoriales. Pour la seconde année consécutive, la Fondation internet nouvelle génération (éditeur d’InternetActu) vient de publier son cahier d’enjeux : Questions numériques. A partir des travaux de la Fing, l’équipe a produit 19 scénarios de ruptures pour se préparer à demain, comprendre ce qu’il se passe à l’intersection des transformations sociales, des changements économiques et des ruptures technologiques.

Les membres de la Fing ont choisi 7 scénarios pour les travailler plus avant, les rendre plus plausibles, plus accessibles au débat. Ce sont ces 7 scénarios que présentaient Daniel Kaplan, délégué général de la Fing et Jacques-François Marchandise son directeur du développement le 15 février à la Gaîté Lyrique. L’exercice de cette année a fait ressortir une nouvelle exigence vis-à-vis des technologies, estime Daniel Kaplan. « Plus on devient dépendant du numérique l’ensemble de dans ses actes personnels et professionnels, plus on est critique à son égard.

Secessions territoriales. L'excès d'oligo-éléments est nuisible à la sante des sociétés… "La troisième révolution industrielle", de Jeremy Rifkin. Certes, le nouvel opus de l'économiste Jeremy Rifkin n'apporte pas de nouveauté renversante, par rapport à ses précédents essais, notamment L'Age de l'accès (La Découverte, 2005), ou L'Economie hydrogène (La Découverte, 2002), des best-sellers. Son principal mérite est de présenter de façon particulièrement claire et stimulante les défis auxquels nous sommes confrontés, en ce début de XXIe siècle, et de proposer également des solutions. Nous vivons la fin d'une époque ; celle d'une économie fondée sur les énergies fossiles ; mais aussi, celle du travail à temps plein, du capitalisme patrimonial, de l'organisation pyramidale des entreprises, et de la gestion exclusivement marchande du monde. Sans que nous nous en apercevions, nous sommes déjà entrés dans une troisième révolution industrielle ; celle-ci va bouleverser nos façons de vivre, de travailler, de consommer.

Telle est, en substance, la thèse de l'économiste américain, qui affirme, après d'autres : "L'humanité est à un carrefour. " Les gens sont en train de craquer. Les gens veulent se suicider désormais. Ils le disent. Ils préviennent : « Si ça ne marche pas, j'arrête cette vie, je n'en peux plus ». À 30 ans, ces hommes ont l'impression que les cinq dernières années ont été trop dures et ils n'ont aucun espoir pour les cinq années à venir. C'est une décennie perdue de trop. À un moment, en 2008, beaucoup d'articles se sont fait l'écho d'un élan de générosité, quand tant de jeunes ou d'adultes sans travail étaient tentés par l'expérience associative, apportant leur savoir et leur générosité. Et tout ça parce que Obama a déçu très profondément et pour toujours, sur TOUS les sujets et que Sarko ne cesse de nous plonger vers le pire.

L'âge du Lithium Alors, c'est l'âge d'or du Lithium. Partir. Quand j'étais petit, mon père m'a montré comment les Arabes nettoyaient leurs casseroles avec du sable et de l'eau. 2012, année plus humaine ? A travers son dispositif de veille internationale Trend Observer (France, Grande Bretagne, Suède, Italie, Etats-Unis et Japon), Ipsos Public Affairs a identifié l’émergence et le développement de six tendances clés autour de ce thème de la « réhumanisation ». 1. La société de la connexion généralisée crée un besoin croissant de relation humaine La place grandissante de la technologie dans nos vies suscite, en réaction, le besoin d’expériences concrètes, le retour à la réalité « physique », et la valorisation du plaisir et de l’émotion. C’est qu’avec le développement des Smartphones et des tablettes de type Ipad, la connexion est désormais possible tout le temps. Conséquence de tous ces développements : le contact humain est de plus en plus « zappé », et l’impression augmente selon laquelle le digital se substitue à l’humain.

Pour autant, on n’observe pas de montée d’un sentiment « anti-technologique ». D’où l’importance accordée aux lieux physiques. 2. 3. 4. 5. 6. 2012 could see globalisation 2.0 take off | Guardian Sustainable Business. The Occupy protests, summer riots and Arab spring show a growing intolerance of the rich-poor divide. Photograph: Andy Rain/EPA It is looking grim next year, with austerity set to stay, but perhaps this will jump start 'Globalisation 2.0' – a greener, more equitable and wellbeing-orientated form of globalisation. Am I a hopeless optimist? Well, quite possibly, but activities this year show that we could be moving in the right direction. First off, revolution is already here. The Occupy movement, the UK summer riots, and the Arab Spring may not present a clearly defined set of motives, but they do indicate a growing intolerance of the rich-poor divide and the excesses in the more affluent parts of society.

And then there's the government revisiting a happiness index, further highlighting the flaws with our current preoccupation with GDP. The Durban and Rio conferences are adding to the emerging perfect storm. Dax Lovegrove is head of business & industry at WWF-UK.