#LOPPSI #HADOPI. Hadopi protège les jeunes ! Vous qui pensiez qu'Hadopi était une menace pour votre liberté, détrompez-vous : Frédéric Mitterrand a affirmé lors d'un meeting avec Nicolas Sarkozy que la mesure avait non pas assailli, mais bel et bien protégé la jeunesse.
C'est lors d'un discours de campagne tenu samedi par Nicolas Sarkozy devant les Jeunes UMP que Frédéric Mitterrand, l'actuel Ministre de la Culture et de la Communication, a tenu à prendre la parole pour s'exprimer sur le sac de noeuds Hadopi. Et ce qu'on peut dire, c'est qu'il a un avis assez tranché sur la question.
Pour lui, Hadopi a fait beaucoup pour la jeunesse. Mieux, elle l'a "protégé". Sic. Pour autant, le Ministre ne semble pas avoir pris le temps d’étayer sa thèse outre-mesure, si l’on en croit le compte rendu offert il y a deux jours de cela par Le Parisien. Pour autant, nous avons publié il y a peu un article tentant d’établir un bilan de Hadopi, 17 mois après son application. [numerama] Labs.ebuzzing. France's three-strikes anti-piracy law is one of the strictest in the world.
It employs private companies to scan file-sharing networks for copyright infringement and sends warnings to pirates if they're caught red-handed. The law, enforced by a French authority called Hadopi, was instated 17 months ago to the applause of music copyright holders and their representatives. Although an early study originally showed piracy had actually increased after the anti-P2P law passed, Hadopi released a report this March saying French ISP users had significantly decreased their illegal file sharing. Despite that announcement, the French music industry still saw a decline in revenue. HADOPI : An interoperable and modular XML bullshit. L’HADOPI a aujourd’hui publié un document intéressant à plusieurs égards.
Il s’agit d’un appel à expérimentations émanant des Labs. Il commence à dessiner quelque chose qui ressemble de manière très; très… très lointaine à de la « sécurisation d’accès Internet », un terme qui à ce jour ne veut strictement rien dire. Je vous avais déjà expliqué que si l’on veut sécuriser un accès Internet, il existe bien un moyen, mais qui a un léger inconvénient dans le cadre implicite fixé par HADOPI. Ce cadre implicite, c’est « empêcher l’utilisation, frauduleuse ou non, des connexions Internet à des fins de téléchargement illégal ». On a beau vous raconter n’importe quoi aujourd’hui sur la mission divine de l’HADOPI qui va d’un coup de baguette magique protéger vos accès Internet, jusqu’à preuve du contraire, c’est bien pour faire la chasse au partage qu’elle a été votée.
Les Labs de l’HADOPI se secouent donc les neurones pour innover. . ☠ Reposons le problème ☠ Re-Reformulation de la problématique. HADOPI : son pire échec. Alors qu’HADOPI s’apprêtait à montrer son vrai visage, pas celui de la pédagogie, mais celui de la répression des internautes partageurs par voie de justice, la Haute Autorité s’est récemment retrouvée malgré elle au coeur de l’actualité.
Je vous disais donc que tout commençait par la transmission de dossiers à la justice, c’est le Point qui a révélé la mise en place de l’artillerie répressive, invoquant des sources judiciaires. Numerama a eu le bon goût de publier un petit guide utile aux avocats qui auront à défendre certains internautes, pointant du doigt quelques courants d’air de procédure. Un peu partout en France, les procureurs de la République vont donc maintenant voir affluer ces dossiers au motif d’un délit d’un affligeant ridicule, le fameux »manquement à l’obligation de surveillance de l’accès à Internet« . Rappelons qu’à ce jour, les internautes ne disposent toujours pas des moyens de sécurisation promis, et pour tout vous dire… ils ne sont pas prêts de voir le jour. L’Hadopi réaffirme la fiabilité des adresses IP. Rappel des faits : mi-décembre, le site YouHaveDownloaded a détecté des téléchargements illégaux provenant d’adresses IP de l’Élysée.
Cette révélation qui a fait scandale a été rapidement démentie par le service de communication de l’Élysée. Mais évidemment, la fiabilité de l’adresse IP utilisée pour repérer les internautes qui téléchargent des contenus illégaux a été remise en question : de nombreux sites clament depuis longtemps qu’une adresse IP peut être détournée ou usurpée et que ce critère n’est pas fiable pour identifier ceux qui piratent. Alors que tout le monde avait les yeux tournés vers l’Hadopi, elle a publié un communiqué réaffirmant sa position sur le sujet. Des informations ont circulé concernant une supposée remise en cause de la fiabilité de l’adresse IP par l’Hadopi, mais « « . Lire la suite sur l'article source: Dans la catégorie Non classé Article en Relation F.
Flicage Hadopi : Place au « maillon faible »