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Happyness ([2] project[1])

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Loveeverybody.com | Love Everybody. L’homme qui mesure le bonheur | Québec t'aime. Will Smith était à sa poursuite, Julie Andrews chantait sa mélodie et Félix Leclerc en avait ramassé un p’tit… Votre voisin lui, un gars de Québec, l’observe et l’analyse depuis maintenant 5 ans. Laissez-moi vous le présenter, il s’agit de Pierre Côté, l’homme qui mesure le bonheur. Fondateur de l’indice relatif de bonheur (IRB), on peut également qualifier Pierre Côté d’invité à #TLMEP, de blogueur, de twitteux et de BS volontaire pour l’émission Naufragés des villes. Bref, une ressource plus qu’appropriée pour définir le secret du bonheur. Voici donc quelques-unes de ses trouvailles. Plus de 35 000 personnes l’ont découvert grâce au questionnaire de l’IRB. Cet observatoire social divise le concept du bonheur à sa base pour comprendre les facteurs qui l’influencent. Les critères les plus influents sur le niveau de bonheur selon les données de l’IRB?

1. 2. 3. 4. 5. HEIN! Maslow l’a découvert, Pierre Côté l’affirme et Morcheeba le chante : be yourself. Pour certains, ça dort au gaz. L'Allemagne aussi mesure le bonheur national ! - L'éco décodée. La France est la troisième économie du monde : Si si ! Et ce n’est pas moi ou le Figaro qui l’affirme mais le très anglo-saxon Wall Street Journal qui il y a quelques jours publiait dans son édition européenne le graphique suivant : Si on lit bien, Etats-Unis, Allemagne et France constituent le trio de tête – et de loin – des économies les plus avancées au plan humain, autrement dit, les économies produisant le plus fort Bonheur national Brut.

Ce graphique a été élaboré par deux professeurs de Stanford, Peter Klenow et Charles Jones, qui travaillent depuis plusieurs années à la définition d’indicateur de développement économique permettant de mesurer l’avancée d’un pays non pas uniquement en terme de Produit national Brut (PNB), mais en additionnant cette production avec des indicateurs plus subjectifs comme la qualité de vie, la santé, le bonheur ou encore le temps consacré à des loisirs.

L’idée n’est pourtant pas absurde. Peut-on mesurer le bonheur ? Réflexions sur les indicateurs de bien-être. La mesure du bonheur est un problème qui a été posé dès la naissance de l'économie classique. Comme le rappelle Annie L. Cot : « avec Jeremy Bentham, l'économie politique trouve une ambition pour deux siècles à venir : la volonté, héritée des lumières, de faire advenir une société transparente et rationnelle, ordonnée sur la base du double principe de l'intérêt individuel et du plus grand bonheur pour le plus grand nombre » [1]. La doctrine utilitariste à travers le calcul des peines et des plaisirs constitue un fondement de la théorie marginaliste qui elle même a produit les outils de raisonnements de l'analyse néoclassique contemporaine. Toutefois, avec l'essor de la macroéconomie et la mise en place d'agrégats de comptabilité nationale, les économistes ont orienté leurs réflexions vers les explications de la croissance économique et des fluctuations cycliques. 1 - Croissance, niveau de vie et bien-être 1.1 - Du PIB au bien-être.

La monétarisation en question. Lire la suite. L'OCDE s'attaque à la mesure du bonheur. Le bonheur n'est certes pas une idée neuve. Il n'en reste pas moins difficile à mesurer. C'est pourtant un des objectifs assignés par l'OCDE, dans le cadre de son prochain forum mondial qui se déroulera en juin à Istambul. L'organisation part d'un constat : les sociétés sont de plus en plus soucieuses de leur qualité de vie. Dès lors, il importe d'intégrer dans la mesure du progrès, non seulement les indicateurs économiques tels que le PIB, mais aussi les préoccupations environnementales ou sociales. L'OCDE veut aller plus loin : évaluer le bonheur des habitants d'un pays grâce à des indicateurs plus fins.