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SQL

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20.1 Syntaxe de CREATE TRIGGER. SQL to Select a random row from a database table. Les meilleurs tutoriels SQL. Le SQL de A à Z - Fonctions SQL. Le présent tableau fait une synthèse des fonctions de la norme SQL (1992 à 2008), mais aussi des fonctions que l'on trouve dans les principaux dialectes des SGBDR que sont Paradox, Access, MySQL, PostGreSQL, SQL Server, Oracle et InterBase.Ce tableau ne prétend pas à l'exhaustivité mais permet la comparaison de l'implémentation des fonctions du SQL dans différents dialectes. Article lu 99558 fois. Légende : O : OuiN : NonX : Existe mais syntaxe hors norme!

: Même nom mais fonction différente- : implémentation partielle 1.1. Agrégation statistique▲ 1.2. 1.3. 1.4. 1.5. 1.6. 1.7. 1.8. 1.9. 1.10. 1.11. 1.12. Copyright © 2009 Frédéric Brouard. Structured Query Language. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. SQL (sigle de Structured Query Language, en français langage de requête structurée) est un langage informatique normalisé servant à exploiter des bases de données relationnelles.

La partie langage de manipulation des données de SQL permet de rechercher, d'ajouter, de modifier ou de supprimer des données dans les bases de données relationnelles. Outre le langage de manipulation des données, la partie langage de définition des données permet de créer et de modifier l'organisation des données dans la base de données, la partie langage de contrôle de transaction permet de commencer et de terminer des transactions, et la partie langage de contrôle des données permet d'autoriser ou d'interdire l'accès à certaines données à certaines personnes.

Créé en 1974, normalisé depuis 1986, le langage est reconnu par la grande majorité des systèmes de gestion de bases de données relationnelles (abrégé SGBDR) du marché. En 1979, Relational Software, Inc. SQL Oracle : requêtes avancées. Lorsqu'une sous-requête ramène plusieur lignes l'utilisation de l'opérateur '=' dans la clause WHERE provoque une erreur. On utilisera alors des opérateurs spéciaux : - ALL : compare à toutes les valeurs d'une liste ou d'une requête (doit suivre l'un des opérateurs suivants : =, ! =, >, <, <=, >= - IN : égal à n'importe laquelle des valeurs (équivallent à '=ANY' ) - ANY : compare à au moins une des valeurs de la liste ou du select (opérateurs idem à ALL) - WHERE EXISTS : vrai si la sous-requête retourne au moins une ligne, n'est pas précédé d'un opérateur...

SQL> select ename,sal from emp 2 where sal > any (select sal from emp where deptno=10); ENAME SAL ---------- --------- ALLEN 1600 JONES 2975 BLAKE 2850 CLARK 2450 SCOTT 3000 KING 5000 TURNER 1500 FORD 3000 8 ligne(s) sélectionnée(s). ANY est différent de ALL, ainsi la requête suivante ne ramêne pas de ligne ! SQL> select ename from emp where sal > all (select sal from emp where job = 'MANAGER'); update Exemples insert forme générale.

Mots réservés du SQL. SQLPro : langage SQL et bases de données relationnelles. Le SQL de A à Z - les sous-requêtes. La structure de la base de données exemple, ainsi qu'une version des principales bases utilisées sont disponibles dans la page "La base de données exemple". Vous trouverez des compléments d'information sur le sujet aux pages 154 à 174 de l'ouvrage "SQL", collection "La Référence", Campus Press éditeur. Avec SQL il est possible d'imbriquer des requêtes un peu à la manière de poupées gigognes. Mais pour toucher du doigt ce que l'on peut faire avec des sous-requêtes, posons nous la question : Où placer une sous-requête ? Observons les types de résultats qu'une requête produit pour déterminer les emplacements qu'elle peut prendre au sein d'un ordre SELECT : Voyons maintenant comment imbriquer cela dans une autre requête.

Nous verrons qu'il existe des opérateurs spécialisés, comme EXISTS pour traiter particulièrement de cas d'imbrication. Chaque fois que vous voudrez mettre une sous-requête dans un ordre SQL, assurez-vous que la sous-requête est comprise dans une paire de parenthèses. 1.1. 1.1.1.