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La paralittérature

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De l'origine du Roman de gare. - Mystère Jazz. Qui de nous n’a jamais entendu cette expression devenue péjorative, énoncée avec mépris ou condescendance lorsqu’un individu voyant que vous lisez un roman policier ou populaire s’exclame : ce n’est jamais qu’un roman de gare !

De l'origine du Roman de gare. - Mystère Jazz

Cette brave personne ajoute, pour mieux affirmer son propos : Je n’aime pas, d’ailleurs je n’en ai jamais lu. Ce qui démontre que ce quidam, qui possède un avis tranché sur quelque chose dont il ignore le fondement, n’est qu’un cuistre, peut-être cultivé avec un Bac + quelques années de frottement de fond de culotte sur des strapontins d’université, mais un cuistre tout de même. Mais quand donc est née cette expression Roman de gare ? S’inspirant d’un concept imaginé par un Anglais du nom de W.H. Ensuite d’autres éditeurs désirèrent obtenir une place du gâteau, dont Flammarion. À la morale des livres de salles d’attente a jugé mon bouquin obscène. Photos : de haut en bas, Louis Hachette, Emile Zola, Guy de Maupassant. Le roman populaire : des premiers feuilletons aux adaptations télévisuelles, 1836-1960.

Dans son introduction à l’ouvrage dont il a dirigé l’édition, Loïc Artiaga souligne que, après une longue période d’oubli et d’indifférence, le roman populaire en est, depuis quelques dizaines d’années, à des « réhabilitations symboliques » et à une « canonisation tardive », dont les collections « Bouquins » et « Omnibus », entre autres, témoignent.

Le roman populaire : des premiers feuilletons aux adaptations télévisuelles, 1836-1960

Comment ne pas penser à ce sujet à l’apport considérable de l’immense Francis Lacassin, qui nous a trop tôt quittés pendant l’été 2008 ? Mais qu’est-ce que le « roman populaire » ? La question occupe nombre de débats « de bibliothécaires », et certaines disputes autour des « mauvais genres » sont encore dans toutes les mémoires. Paralittérature. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Paralittérature

La paralittérature regroupe toutes les formes d'écrits qui se situent en marge de l'institution littéraire, autrement dit le corpus des textes dont le statut littéraire est rendu incertain par l'absence de reconnaissance sans être pour autant pleinement identifiable à un autre régime d'écriture (comme l'histoire, le journalisme, etc.). On emploie cette notion surtout pour désigner les différentes formes de littérature populaire, comme la littérature de colportage, le roman d'aventure, le roman policier, le roman de gare, la science-fiction, le roman à l'eau de rose etc., genres où l'ambition littéraire semble céder le pas au plaisir immédiat du lecteur ou à l'appât du gain que ce plaisir laisse envisager.

Différentes formes[modifier | modifier le code] Les paralittératures sont relativement nombreuses. On peut les classer en grands groupes comme : Le concept de littérarité[modifier | modifier le code] Le concept de littérarité est complexe. Littérature pour enfants, littérature pour adultes: La paralittérature de la paralittérature. NB 1) Si vous en êtes à vous demander 'La QUOI de la QUOI???

Littérature pour enfants, littérature pour adultes: La paralittérature de la paralittérature

', allez faire un tour ici d'abord. NB 2) J'ai maintenant 23 ans donc mes articles seront désormais immensément plus mûrs que la semaine dernière. NB 3) Pour une discu plus longue (et en anglais) de la question de la qualité en littérature jeunesse, je vous invite à écouter cet épisode du podcast que je coanime! Etre chercheur en paralittérature ne veut absolument pas dire qu'on n'est pas un snob. On snobe toujours quelque chose. C'est qu'il existe aussi une échelle de valeurs en paralittérature, paradoxe extrême puisque c'est une littérature qui se définit justement comme rétive à tout canon. Littérature et « para-littérature » - Littératueur. Vendredi 4 septembre 2009 5 04 /09 /Sep /2009 14:18 « Peuh !

Littérature et « para-littérature » - Littératueur

Ce n’est pas de la littérature ! » Voilà comment les universitaires pédants qualifient ces écrits de seconde classe qui me captivent et m’enivrent, cette « para-littérature » qui fait mes délices. Récits d’heroïc fantasy, de science-fiction, d'aventures, policiers, fantastiques… je vous aime et mon amour vous est acquis pour toujours. Ô écrivains populaires, c‘est vous et vous seuls qui m‘avez fait découvrir les mots, leurs saveurs, leur pouvoir. Que grâce à vous. L’évocation de mondes rêvés, la capacité à matérialiser les fantasmes vaporeux de l’inconscient. « De la Paralittérature » par Fabien Clavel. D’habitude je ne lis pas de littérature générale, mais j’y ai été forcé par les circonstances quand mon lycée s’est retrouvé à participer au Prix Goncourt des lycéens.

« De la Paralittérature » par Fabien Clavel

C’était l’occasion de revenir sur la différence entre littérature générale et littérature de genre. Moi, je fais de la parallitérature Je suis de ceux qui considèrent la littérature de genre comme une paralittérature (le terme n’a aucune valeur péjorative et recouvre aussi les livres que j’écris). Je m’explique. On peut définir la paralittérature par le contrat spécifique qu’elle établit entre l’auteur et son lecteur [1].

Alors, elle vient cette uchronie ? Bien souvent, ceux qui conspuent la paralittérature n’en ont pas compris l’essence ni la beauté. Et la littérature dans tout ça ? Si j’en crois mon Grand Robert, la littérature désigne „les œuvres écrites dans la mesure où elles portent la marque de préoccupations esthétiques reconnues pour telles dans le milieu social où elles circulent”. Où l’on parle enfin du Goncourt.