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Harnessing the Power of Impact Investing :: The Rockefeller Foun. Jean-Louis Laville : « C’est le moment d’être pris au sérieux » Au service de quelle société ? Groupe EDHEC - Develop EDHEC Social Business : Une association de l'EDHEC engagée dans l'entrepreneuriat social. Cette association a choisi de s’engager dans la Semaine du Microcrédit en recevant avec l’Adie, mardi 7 juin 2011, Maria NOWAK, Présidente Fondatrice de l’Adie, à la Préfecture de Région Nord-Pas de Calais à Lille. Suite aux discours d'ouverture du Préfet Pascal Joly et de Maria Nowak, des acteurs et spécialistes du social business comme Michel Lescanne (PDG - Nutriset) et Eric Lesueur (Directeur Adjoint - Veolia Environnement) ont présenté leur définition de l'entrepreneuriat social.

La seconde table ronde portait sur des questions liées à la micro-finance auxquelles ont répondu Emmanuel Moyart (Consultant -Réseau Européen de la Micro-finance), Patrick Sapy (DG - MicroStart) et Arnaud Poissonnier (DG - Babyloan). A travers ces différentes actions Develop EDHEC Social Business suit les traces de certains diplômés EDHEC ayant choisi une carrière solidaire (de plus en plus nombreux !) Les vœux de l'Atelier : 2011 sous le signe de l'innovation. 3 février 2011 Plus de 150 personnes ont assisté aux voeux de l'Atelier le jeudi 27 janvier 2011. Une soirée placée sous le signe de l'innovation, en présence de Jean-Paul Planchou, vice-président de la région Île-de-France au développement économique et à l'ESS, Seybah Dagoma, maire-adjointe de Paris à l'ESS, Jean-Marc Brûlé, président de l'Atelier et Eric Forti, vice-président de l'Atelier... et de cinq entrepreneurs, acteurs de changement. 10*30, 5 projets innovants en 5 mn chacun 5 projets devaient se présenter en 5 minutes chacun.

À la limite de temps s'ajoutait la contrainte de se présenter en 10 images projetées 30 secondes chacune. Les projets étaient parrainés par une personnalité invitée. Chantal Mainguené a présenté Môm'artre, une solution de garde d'enfants de 16h30 à 20h, avec projets artistiques à la clef. 10 questions à se poser quand on est entrepreneur solidaire La revue de presse "innovation" Revue de presse "innovation" Une dilution des pratiques sociales dans l’organisation grâce à la social business unit. Ce n’est pas la première fois que j’ai l’occasion de vous parler de Social Business Design. Arlésienne pour certains, stade ultime de l’évolution du modèle collaboratif pour d’autres, l’entreprise sociale est un modèle de gouvernance qui est plus que jamais d’actualité (Social Business Design, le mariage réussi du Web 2.0 et de l’Entreprise 2.0). Voilà presque 3 ans que l’on en parle, et force est de constater que les choses bougent lentement (euphémisme), je rencontre encore une majorité d’organisations qui en sont au niveau zéro de la collaboration (“Quel est le ROI des social software ?

“) et des pratiques sociales (“Pourquoi aller sur les médias sociaux si c’est pour se faire critiquer ? “). Pourtant les entreprises ont bien conscience de souffrir d’organisations en silos qui limitent la portée des initiatives de chacun des services (marketing, RP, CRM…). Mais même si la maturation des pratiques sociales est lente, elle se poursuit néanmoins. Danone déploie sa stratégie sociale, Spécial entrepreneuriat social. Nouveaux concepts 12 : Social Business et B to P. Nouvel atelier de Transit City vendredi 20 mai où François Bellanger avait invité Ivan le Mintier directeur d'Icthys et Olivier Gilbert de Véolia Environnement sur le thèmes "Modèles économiques et pauvreté". 1/ Social business ou stratégie B to P: Après 25 ans dans les grands groupes , Ivan le Mintier a construit sa société de conseil autour de deux idées : l'entreprise a un rôle à jouer pour améliorer les conditions de vie des plus pauvres / amener le meilleur de l'entreprise sur des sujets sociétaux locaux.Il a mené les principaux projets de Danone au Bengladesh et aujourd'hui en Afrique.

-Le social business est un modèle qui cherche à rendre autonome des activités et des porteurs de projet. L'entreprise tente de répondre de façon innovante à des objectifs sociaux. Yunus a construit toute une batterie d'indicateurs spécifiques, en remplacement d'indicateurs d'impact non opératoires, pour permettre de mesurer si les gens sortent ou non de la pauvreté. il n'y a pas de marché, Sarah, diplômée d'HEC, branchée social plus que business. Au fond d'une cour d'immeuble parisien, Sarah Rozenberg, radieuse, ouvre la porte d'un hôtel particulier. Elle monte au troisième étage et présente, fièrement, les bureaux de la nouvelle boîte de conseil en social business, dans laquelle elle vient d'être engagée.

La pièce est lumineuse et la décoration reposante. Ici, aucune standardiste et secrétaire de direction. C'est une mini entreprise. Depuis son arrivée, la jeune femme a les yeux rivés sur son ordinateur et "ne pense qu'au boulot". "No profit, no loss" A 24 ans, cette jolie brune, au regard taquin, "se sent bien". Elle est consciente qu'elle n'a pas choisi un secteur qui rapporte gros.

Depuis 2010, Sarah est donc diplômée de la prestige école de commerce HEC. Une pro du Bop C'est grâce à l'un de ses anciens professeurs qu'elle a obtenu ce poste. Cette agence de conseil est spécialisée en stratégie Bop, "Bottom of Pyramid". Sarah considère son patron comme un "mentor". Beaucoup ne comprennent pas sa passion pour son travail. Phitrust Active Investors lance une Sicav sur le " social business" - Actualités des fonds OPCVM - Sicav FCP. (NEWSManagers.com) - Spécialiste de l' engagement actionnarial, Phitrust Active Investors va lancer dans les mois qui viennent une Sicav encourageant le développement de stratégies " social business" dans les grandes entreprises européennes de l' Eurostoxx 50.

Le social business (ou stratégie " bottom of the pyramid" ) est une activité visant à l' amélioration d' un problème social ou écologique. L' exemple le plus emblématique est probablement celui de Danone qui a créé au Bengladesh une activité de production de yaourts enrichis en vitamines à bas prix pour les enfants ayant des carences. " Pour relever véritablement du social business, ces activités doivent concevoir des produits sur place, dédiés à une clientèle défavorisée à un prix adapté. La question de savoir si ces activités doivent être profitables se discute, mais à mon avis c' est préférable afin d' assurer la pérennité de l' activité" , explique Luis Sanchez de Lozada, responsable juridique de Phitrust. info NEWSManagers.

Le choix entre résistance citoyenne et idéologie du « social business » Depuis plusieurs décennies, les acteurs de l’économie sociale et solidaire apportent la preuve qu’il est possible de conjuguer économie, solidarités et biens communs. En implantant la démocratie au cœur de l’économie, ils s’opposent à la logique exclusive et excluante de l’optimisation du rendement financier à court terme qui régit l’économie dominante, et ils résistent à l’emprise croissante de l’économie souterraine, criminelle et mafieuse. Dans une économie de plus en plus financiarisée, malgré le grand coup de semonce de l’éclatement de la bulle spéculative lié à la crise des subprimes en 2008, face au modèle de développement productiviste qui montre tous les jours ses limites et survit grâce à l’endettement des ménages, des États et des PME, face à la gravité de la crise écologique, les valeurs et principes défendus par l’économie sociale et solidaire peuvent rencontrer un large écho dans la société. – Auprès d’artisans qui n’ont plus les moyens de transmettre leur métier.

Blogs. Pourquoi devenir entrepreneur social ? LE MONDE ECONOMIE | • Mis à jour le | Par Nicolas Hazard, président du Comptoir de l'innovation, directeur du Groupe SOS Devenir entrepreneur social ne nécessite pas d'avoir l'étoffe d'un héros, ni d'avoir été touché par la grâce. Comme pour n'importe quel entrepreneur, c'est l'inaliénable envie de concrétiser un projet qui est à l'origine de la démarche.

Joseph Schumpeter (1883-1950), qui n'était pas franchement un entrepreneur social, est à ce titre l'auteur d'un texte empreint d'une incroyable modernité sur les motivations de l'entrepreneur (Théorie de l'évolution économique, 1911). L'économiste autrichien, tenant de l'école libérale, a identifié les trois principaux motifs qui poussent un individu à entreprendre : la joie de créer une forme économique nouvelle ; la volonté du vainqueur ; le rêve et la volonté de fonder un royaume. Ce texte révèle une pertinence insoupçonnée pour l'entrepreneuriat social. Car les besoins des plus démunis sont colossaux et en constante évolution. Réseau Cocagne : le pari (réussi) d’une entreprise sociale, rentable et soucieuse de l’environnement ! | Entrepreneurs grand angle.

Blogs. Comme chaque année, je me rends à Convergences 2015, grande messe annuelle où tous les acteurs associatifs, publics et privés de notre société se rencontrent, afin de réfléchir à la construction d’un monde plus durable et équitable. 3 jours de rencontres, débats, tables-rondes, pour partager des expériences en matière d’économie sociale et solidaire, d’entreprenariat social, de social business, de finance éthique, d’impact investing, de microfinance, de coopération internationale, de commerce équitable. Avec un but précis : tenter par tous les moyens d’atteindre les 8 objectifs du millénaire et du développement hélas trop souvent oubliés. Permettre à tous ces acteurs de mieux se connaître pour mieux agir, co-construire et coopérer ensemble dans un esprit de responsabilité face aux défis du monde d’aujourd’hui et pour mieux construire le monde durable que nous souhaitons tous laisser à nos enfants.

UN CAPITALISME À VISAGE HUMAIN : Le social Business de Muhammad Yunus. Muhammad Yunus:"On peut éradiquer la pauvreté" Comment définiriez-vous le social business? C'est avant tout un état d'esprit. Dans le social business, le profit n'est absolument pas un objectif. A partir du moment où votre esprit est libéré de cette obsession, vous pouvez commencer à vous consacrer à la résolution des problèmes.

Vous réfléchissez alors de manière beaucoup plus libre et créative. N'est-il pas utopique de croire que l'on puisse se passer du moteur que constitue le désir de s'enrichir? Je ne le crois pas. Parmi les secteurs de développement du social business, vous évoquez notamment la santé et l'emploi... deux domaines de compétence privilégiés des Etats. Non. Avez-vous le sentiment que les dirigeants des grands pays, au sein du G 20 par exemple, sont sensibles à votre message ? Oui, je rencontre des présidents, des Premiers ministres, des gouverneurs de Banque centrale...

La crise a ouvert une période d'incertitudes et de remises en question en matière d'organisation du système économique. C'est vrai. Oui. Social business : synergie, créativité, innovation… pour plus d’impact social. « com-nonprofit. J’ai eu le plaisir de participer en tant que contributeur cette année encore à la grande soirée annuelle de Danone Communities, le GCM – Général Community Meeting au Carrousel du Louvre. Au programme : une soirée placée sous le signe de l’impact avec un état des lieux de Danone Communities, une présentation de ses projets présents mais aussi à venir… Parmi les invités entre autre : les équipes de DC, les porteurs de projets (Inde, Sénégal, Mexique, France, Chine…) et bien évidemment le professeur M.

Yunus qui malgré une actualité chargée et mouvementée… a répondu présent avec sa joie et sa sérénité habituelle. - " Social business is business " Voilà déjà quatre ans que Danone Communities soutient des projets en matière de social business. Ce rendez-vous annuel est l’occasion de dresser un état des lieux sur l’avancée des projets et en particulier sur leur impact. Aujourd’hui Danone Communities porte près de 11 projets, tous à des stades de développement très différents. M. Like this: Social Business : utopie ou troisième voie pour un capitalisme social et responsable ? - tibia sur LePost.fr (16:12) Publié partibia post non vérifié par la rédaction 27/05/2011 à 16h12 - mis à jour le 27/05/2011 à 16h24 | vues | réactions "Social Business" (ou entreprenariat social). Ce concept, créé par Muhammad Yunus, le père du micro-crédit et prix Nobel de la Paix, se veut une alternative à la course aux profits du capitalisme.Si comme toujours les cyniques dénoncent une utopie (n'avaient-ils pas dit la même chose quand le micro-crédit est apparu ?)

, l'idée de Muhammad Yunus est pertinente, réaliste, et commence à faire son chemin. Le concept ? Une idée qui fait son chemin aux quatre coins du globe et qui vient de recevoir un joli coup de projecteur en France dans le cadre de la mission sur la mondialisation confiée par le gouvernement à Christine Boutin. L'ancienne ministre, s'est récemment faite l'avocate du "social business" qu'elle promeut aux côtés de Muhammad Yunus parmi ses pistes pour générer une mondialisation sociale et sortir du nivellement social par le bas enegndré par le libéralisme. Rechercher des réponses viables aux défis de la nutrition des populations vulnérables : synthèse de l'étude exploratoire |Portail des filières agroalimentaires. Contribuer à la santé par la nutrition est la mission que se fixe le groupe Danone. Au Sénégal, le groupe souhaite soutenir, via le fonds danone.communities, la mise en vente d’un aliment alliant apport nutritionnel, production locale et prix accessible au plus grand nombre.

Pour cela, il y a nécessité de connaître et comprendre les habitudes alimentaires nationales et leurs évolutions dans le contexte socio-économique actuel. En 2008, Danone.Communities a confié au Gret (Professionnels du développement solidaire), à Enda Graf (Environnement et développement du tiers monde - Groupe de recherche-action formation), à l’Ifan (Institut fondamental d’Afrique noire) et à des services d’État, la réalisation d’une étude dans quatre régions du pays.

La volonté de réunir des spécialistes locaux et internationaux pour rechercher le juste point d’entrée à un projet de nutrition pour tous répond à la vocation du fonds Danone.Communities. DANONE Communities. Danone, OK on sait ce que c'est, mais Danone Communities? Bon, Communities, Communautés, Communes? "Communes" ça sonne comme un lieu de partage entre tous...mes vêtements, mes affaires, mon yaourt?

Il y a bien un air de solidarité là-dessous mais j' imagine que l'intention de Danone est bien plus profonde... Rendez-vous au Carrousel du Louvre où est projeté un film qui témoigne des bienfaits des Grameen Danone Foods au Bangladesh. On commence à comprendre...Les produits que l'on nous montre sont nés de la rencontre entre Muhammad Yunus (Prix nobel de la Paix 2006 et président de la banque de microcrédit Grameen) et Franck Riboud (PDG Danone) - qui ont décidé de mettre leurs compétences respectives au service des défavorisés en réalisant une initiative qui viserait à soutenir le développement local et faire baisser les carences en nutriments chez les enfants du pays.

Et hop! En 2007, une usine de yaourts fortifiés en micronutriments est créée au Bangladesh et même que ça fonctionne! Des investisseurs au grand coeur. Visiblement, le business model des entrepreneurs sociaux commence à attirer les convoitises. Deniers en date à suivre de très près l’évolution de ces entreprises atypiques qui mettent en œuvre une stratégie de business avec une finalité sociale : le secteur de la venture philanthropy. « La venture philanthropy pourrait se traduire par l’idée de philanthropie entrepreneuriale » relevait il y a quelques mois Serge Raicher co-fondateur de l’EVPA, l’European Venture Philanthropy Association.

Ces « philantrepreuneurs » comme les nomment les experts, sont souvent des chefs d’entreprise actifs ou de jeunes retraités ayant revendu leur affaire, dotés d’un capital confortable qui se lancent dans la philanthropie avec une obligation de résultats. Au chevet des entrepreneurs sociaux Mettre des limites De multiples questions se posent dans ce secteur qui a toujours privilégié le bénéfice social. . * Pour une économie plus humaine ; Muhammad Yunus. Les objectifs sociaux et environnementaux dans les statuts de l’entreprise.