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III. L'espace, un lieu adapté à la vie humaine en société ?

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Traité de l'espace. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Ce traité a permis de poser les fondements juridiques de l'exploration de l'espace à une époque où les États-Unis et l'URSS étaient tous deux lancés dans l'exploration de l'espace et la course à la Lune. Entrée en vigueur[modifier | modifier le code] Le Comité des utilisations pacifiques de l'espace extra-atmosphérique de l'ONU et son Sous-Comité juridique définit, dès sa création en 1959, les grands principes du droit spatial international.

C'est dans le cadre de ce comité qu'est élaboré en 1966 le traité qui prévoit la non militarisation de la Lune et des corps célestes ainsi que l'interdiction de la mise sur orbite d'armes nucléaires. Ce traité est signé par les États-Unis, le Royaume-Uni et l'Union soviétique le 27 janvier 1967, est ratifié à l'unanimité par le Sénat américain et entre en vigueur le 10 octobre 1967. Il est signé par la France le 5 août 1970[1]. Contenu du traité[modifier | modifier le code] Adaptation humaine à l'espace. L'adaptation humaine à l'espace est nécessaire pour rendre possible la conquête et la colonisation de l'espace. Cette adaptation est un champs de recherche particulièrement important si on veut envisager des voyages de longues durées dans le milieu spatial. Les études actuelles portent sur les effets à plus ou moins long terme des séjours dans l'espace. L'homme (Un homme est un individu de sexe masculin adulte de l'espèce appelée Homme moderne (Homo sapiens) ou plus simplement « Homme ».

Par distinction, l'homme...) est allé dans l'espace pour la première fois en 1961[1] et à ce jour (Le jour ou la journée est l'intervalle qui sépare le lever du coucher du Soleil ; c'est la période entre deux nuits, pendant laquelle les rayons du Soleil...), seulement environ 500 astronautes se sont rendus dans l'espace. Comment le corps humain (Le corps humain est la structure physique d'une personne.) se comporte et s'adapte aux conditions de la vie dans l'espace, tel est le sujet de cet article. L'espace déforme les yeux des astronautes. Voyager dans l'espace n'est pas sans risque sur la santé. (NASA/cc) Les astronautes qui passent plus d’un mois dans l’espace sont susceptibles d’être victimes d’importants problèmes oculaires et cérébraux, selon une récente étude scientifique.

Surprenants symptômes Une équipe dirigée par Larry Kramer, du Centre de santé de l’université du Texas, a réalisé des IRM (imagerie par résonnance magnétique) des cerveaux de 27 astronautes de la NASA ayant chacun passé un mois en orbite. Les résultats de cette étude ont été publiés dans le journal Radiology. Les chercheurs ont détecté des déformations dans les globes oculaires, les nerfs optiques et l’hypophyse des cosmonautes. Pour neuf des astronautes qui ont participé à l’étude, les chercheurs ont détecté une augmentation de l’espace qui entoure le nerf optique, normalement rempli de liquide céphalo-rachidien. Chez trois astronautes, c’est un changement dans la connexion entre l’hypophyse et le cerveau qui a été constaté. William J. Journal of Cosmology. Table of Contents - Volume 12 The Human Mission to Mars Colonizing the Red Planet October - November, 2010 Edited by Joel S. Levine, Ph.D., NASA Senior Scientist Science Directorate, NASA Co-Chair, Human Exploration of Mars Science Analysis Group of the Mars Exploration Program Analysis Group.

Rudy Schild, Ph.D., Center for Astrophysics, Harvard-Smithsonian, Cambridge In Association with the Mars Society I. Astronauts On Mars 1. Our Destiny – A Space Faring Civilization? 2. 3. 4. 5. II. 6. 7. 8. III: To Boldly Go: Getting to Mars and Design Reference Architecture 9. 10. 11. 12. 13. IV. 14. 15. 16. 17. 18. V: Psychology, Stress, Behavioral Health of Astronauts & Crew 19. 20. 21 Moving to Mars: There and Back Again. 22. 23. VI. 24. 25. 26. 27. 28. 29. 30. 31. VII. 32. 33. 34. VIII. 35. 36. 37. 38. 39. 40. 41. 42. 43. IX. 44. 45. 46. 47. 48. X. 49. 50. XI. 51 Robots on Mars: From Exploration to Base Operations, Douglas W. 52. XII. Les Zinnias, premières fleurs nées dans l'espace. Temps de lecture: 2 min — Repéré sur Nasa Une fleur spatiale.

Voilà comment on pourrait définir la Zinnia. Celle-ci fait partie de l’expérience Veggie menée par la Nasa depuis mai 2014. En plaçant des cultures dans une chambre spéciale à la lumière violette, la Nasa a créé un environnement propre à la pousse. Jusqu'ici, les astronautes avaient pu goûter deux cultures de laitue romaine. "Une fleur spatiale au soleil pour la première fois! " L'expérience menée par la Nasa n'est pas la première culture dans l'espace. La difficile gestion de l'eau Les missions de réapprovisionnement n’ayant lieu que quelques fois par an, les cultures doivent permettre d'apporter aux astronautes des aliments frais, mais aussi de «booster leur moral». La difficulté de cette initiative est l’irrigation. Et bientôt, Mars? Pour les fleurs Zinnia, c’est l’astronaute Scott Kelly qui s’est vu attribuer la responsabilité de l’expérience.

Laïka. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour les articles homonymes, voir Laïkó. Laïka (du russe : Лайка, « petit aboyeur »[1] ; 1954 – 3 novembre 1957) est une chienne du programme spatial soviétique et le premier être vivant mis en orbite autour de la Terre. Elle a été lancée par l'URSS à bord de l'engin spatial Spoutnik 2 le , un mois après le lancement du premier satellite artificiel Spoutnik 1. Après le succès de Spoutnik 1, le dirigeant soviétique Nikita Khrouchtchev exigea le lancement d'un second engin pour le 7 novembre afin de célébrer le 40e anniversaire de la révolution russe. Dans l'urgence, sans étude préalable, Spoutnik 2 est construit en quatre semaines. Laïka mourut environ 7 heures après le lancement, de stress et de surchauffe, probablement due à une défaillance du système de régulation de température.

La vraie cause de sa mort ne fut révélée que plusieurs décennies après la mission. Contexte[modifier | modifier le code] Spoutnik 2[modifier | modifier le code] De Laika à la première fleur: 10 primeurs étonnantes dans l'espace (vidéo) - Sciences. 621084360. La colonisation de l’espace pourrait créer de nouvelles espèces humaines. Atlantico : Un astronome américain a récemment affirmé que les futurs humains qui iront coloniser l'espace seront sujets à des mutations physiques et génétiques dues au changement d'environnement. Est-ce vraiment réaliste ? Francis Rocard : Ce qui est sûr, c'est que la théorie de l'évolution de Darwin, théorie bien admise maintenant, affirme que les espèces animales, et l'homme est un animal parmi les autres, subissent des évolutions liées à leur environnement.

Notamment par des mutations génétiques, et quand ces mutations sont favorables à l'espèce, cette dernière prend le dessus sur l'espèce précédente. C'est ce que traduit la théorie de l'évolution. Après, vous avez l'environnement propre à l'endroit où ils vont s'installer, un endroit habitable, avec une gravité plus faible par exemple, ce qui va aboutir à des êtres humains probablement plus grands puisque moins tassés par la gravité. A quel genre de modifications physiques peut-on s'attendre ? Intéressé par cet auteur ? Je m'abonne.

Sources

Passer trop de temps dans l'espace déformerait les yeux des astronautes. Les équipes médicales de la NASA ont observé chez certains astronautes de retour de mission des déformations au niveau de leurs globes oculaires et de leurs nerfs optiques. Ceci pourrait être due à une hypertension intra-cranienne causée à la longue par la microgravité. La découverte pourrait sérieusement compromettre l'avenir des missions spatiales de longue durée. En effet, si cela fait maintenant longtemps que des spationautes sont envoyés dans des engins en orbite autour de la Terre, les agences spatiales et notamment la NASA continuent de surveiller étroitement leur santé. Avant, pendant et après les missions, les spationautes doivent ainsi se soumettre à de très nombreux tests permettant d'évaluer leur forme physique. C'est de cette manière que les équipes médicales ont découvert que de longues séjours spatiaux pouvaient avoir de sérieux effets sur la vue.

Une origine encore inconnue Un "nouveau facteur limitant" pour l'exploration spatiale ? Vous êtes déjà abonné ? Le sexe dans l'espace n'est pas un bon moyen pour coloniser la galaxie. SCIENCES Les radiations cosmiques stériliseraient sans doute tout œuf fécondé, selon la Nasa... Publié le Mis à jour le Mots-clés Le premier bébé de l'espace, ce n'est pas pour tout de suite. Dans l'état actuel des choses, les radiations solaires semblent bien trop dangereuses pour la gestation ou même la conception d'une nouvelle génération. Les rayons cosmiques frappant un vaisseau au cours d'un long voyage réduiraient la concentration des spermatozoïdes chez l'homme et stériliseraient sans doute un œuf fécondé.

Quand bien même le fœtus atteindrait son terme, son ADN aurait sans doute subi des mutations rendant les femmes stériles, explique un rapport de la Nasa publié dans Le journal de la cosmologie qui étudie un possible scénario de colonisation de Mars. Le sexe dans l'espace, un sujet tabou La Nasa a mené des expériences de reproduction dans l'espace chez des petits mammifères mais jamais chez l'homme. Un couple marié a effectué une mission en 1991 mais n'a rien laissé filtrer.

Espace. La hiérarchie des puissances spatiales. Le numéro 67 de Questions internationales La suprématie des États-Unis dans l’espace est bien connue, même si elle s’était durablement inscrite dans une rivalité mémorable avec l’Union soviétique. Aujourd’hui, même si de nouveaux acteurs affirment leurs ambitions et leur savoir-faire (Chine, pays émergents…), même si les programmes américains à long terme manquent de clarté ou sont l’objet d’âpres débats internes, les États-Unis restent incomparables.

Les chiffres parlent d’eux-mêmes, en faveur des Américains : 60 % des budgets publics mondiaux, 80 % de l’espace militaire (2/3 des satellites mondiaux), 42 % des satellites en orbite (8 % pour l’Europe), etc. (chiffres donnés dans son article de Questions internationales par notre invité). Pourtant, des évolutions majeures se font jour : entre autres, accès à l’espace, types de satellites, conquête des planètes, nouveaux venus dans le club spatial, présence de l’homme dans l’espace, essor des acteurs privés. Résultats Google Recherche d'images correspondant à.

Site Web pour cette image Entretien franceculture.fr Recherche par imageImages similaires Les images peuvent être soumises à des droits d'auteur. L'impesanteur. Dans l’espace, les astronautes sont confrontés à l’impesanteur. Celle-ci est un état dénué de pesanteur, c’est-à-dire que les forces gravitationnelle et inertielle ne s’exercent plus sur les astronautes. Ils ne sont en effet plus attirés par la Terre, n’ont plus une sensation de lourdeur et de stabilité, comme ce que propose la pesanteur.

Les astronautes se trouvent donc dans un espace où l’air est inexistant, et sont en chute libre permanente, à la même vitesse que leur station spatiale, elle aussi en chute libre. Cet état d’impesanteur pose de nombreux problèmes physiologiques aux personnes séjournant dans l’espace, comme nous allons désormais le voir. • Troubles orthostatiques Sur Terre, la gravité permet au sang de circuler dans tout le corps. Les jambes sont donc aussi naturellement alimentées en sang. . • Troubles du métabolisme Les astronautes subissent donc de nombreux problèmes orthostatiques, ce qui signifie que ces problèmes sont liés à la position debout.

. • Troubles locomoteurs. Droit de l'espace. Le droit de l'espace, au sens strict, est la branche du droit international qui traite des activités des États dans l'espace dit « extra-atmosphérique ». Historique[modifier | modifier le code] Lorsqu'en 1957, l'URSS lance le premier satellite artificiel de la Terre, le Spoutnik, s'ouvre une nouvelle ère. Cette exploration (alors qualifiée de « conquête ») d'un domaine tout à fait nouveau pose très rapidement des questions de natures très diverses. Au lieu d'étendre les principes applicables à d'autres domaines du Droit des Gens, les nations ont entrepris d'instituer un corps de principes et de règles totalement nouveaux. [citation nécessaire] Celui-ci inspirera quelques années plus tard le Droit international de la Mer. [citation nécessaire] Un organe spécifique fut créé en 1959 au sein de l'Assemblée générale des Nations unies : le Comité pour l'utilisation pacifique de l'espace extra-atmosphérique.

Les principales sources du droit de l'espace[modifier | modifier le code] Rapport officiel. Adaptation humaine à l'espace. L'adaptation humaine à l'espace est l'ensemble des études et des techniques qui doivent permettre à l'humain de combattre les conséquences négatives de l'absence de pesanteur sur sa physiologie durant ses séjours dans l'espace.

Il s'agit d'un axe de recherche important pour les projets de conquête et de colonisation de l'espace, qui imposeront des séjours et des voyages de longue durée dans le milieu spatial. Les recherches actuelles portent sur l'analyse des effets de l'impesanteur sur les cosmonautes ayant séjourné dans l'espace. Risques liés à l'exploration spatiale[modifier | modifier le code] La NASA, dans son document intitulé « Bioastronautics Roadmap: A Risk Reduction Strategy for Human Exploration of Space »[1],[2] définit 45 risques - répartis en 15 disciplines - associés à la santé, la sécurité et les performances d'un équipage durant une mission spatiale : L'environnement spatial[modifier | modifier le code] Les conséquences physiques[modifier | modifier le code]