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Affaire Nzohabonayo #JouéLesTours : le malaise

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Joué: témoignage de la soeur de Bilal. Media.radiofrance-podcast.net/podcast09/11986-03.01.2015-ITEMA_20708164-0.mp3. Joué-lès-Tours : Une affaire dans le tourbillon médiatique. Joué-lès-Tours : Une affaire dans le tourbillon médiatique Il faut bien comprendre que pour connaître les tenants et aboutissants d’une telle affaire, cela demande du temps, celui de l’enquête officielle, d’autant plus que le principal intéressé, en l’occurrence Bertrand / Bilal Nzohabonayo est mort et qu’il n’a rien revendiqué. Or, c’est comme cela arrive régulièrement, le tourbillon médiatique a malheureusement pris les devants en cédant aux sirènes du sensationnalisme. Dès le samedi, tout se met en branle, les délégations officielles affluent derrière Bernard Cazeneuve, le ministre de l’Intérieur, le parquet anti-terroriste est saisi. Certains médias évoquent alors sans équivoque un attentat terroriste en se basant sur les mots qu’aurait prononcé Bertrand Nzohabonayo : »Allah Akbar ».

Le suspect : un immigré d’origine africaine, récemment converti à l’Islam parait avoir le profil idéal. Cohue médiatique ce matin au tribunal de Tours Qu’a dit le procureur de Tours ? Joué les tours : une exigence de vérité. Suite à la conférence de presse, mercredi 31 décembre, du Procureur de Tours sur la mort Bilâl Nzohabonayo à Joué-les-Tours , les associations du Collectif Stop Le Contrôle au Faciès, dont, en premier lieu le Collectif Urgence notre Police Assassine regroupant les familles de victimes de morts dans le cadre d’interpellation policières et le Collectif Brigade Antinégrophobie, encouragent les journalistes à continuer leurs investigations au cours des semaines à venir, alors que s’organisent des contre-enquêtes menées par les témoins de la scène et proches de la victime.

Elles s’interrogent par ailleurs sur le positionnement ferme et immédiat de deux Ministres de la République, dont le Premier Ministre, aux côtés du Procureur pour appuyer la version policière du drame en moins de vingt-quatre heures, sans attendre que l’enquête suivre son cours, prenant en compte chaque élément de l’enquête. Attentat à Joué-lès-Tours (37) : la DGSI surveille une quinzaine d'extrémistes à Tours (MàJ) La DGSI surveille une quinzaine d’extrémistes potentiellement dangereux (le chiffre augmente régulièrement, pour éviter de nouvelles affaires Merah). Il y a quelques années, les services spéciaux ont arrêté trois djihadistes venus du quartier sensible du Sanitas, à Tours. Leur chef était un adolescent bien sous tous rapports, fils de cardiologue, bon élève, admis à l’Ecole nationale supérieure de techniques avancées (ENSTA), dépendant du ministère de la Défense.

En Indre-et-Loire, on dénombre plusieurs centaines de radicaux (pratiquant un islam rigoriste, sans forcément être classés à risques), dont plusieurs exercent des pressions sur leurs coreligionnaires – voire sur des non-musulmans – ne pratiquant pas assez strictement le ramadan ou ne fréquentant pas suffisamment la mosquée. Au Sanitas, quartier sensible de Tours, ou à la cité de La Riche, on trouve un “islam des caves” très radical. Source Le suspect est Français et né au Burundi en 1994. Le Figaro.fr 20 minutes.fr. « Face à l’Etat islamique, ne cédons pas à la confusion des esprits », par Gilles van Kote. Agression de Joué-les-Tours : des versions qui divergent. Deux jours après le drame, on sait que l'agresseur avait 20 ans et s'appellait Bertand Nzohaboyano. Il était né au Burundi et habitait Joué-les-Tours depuis une dizaine d'années.

Sur sa page facebook, fermée depuis hier, il affichait le drapeau de Daech. Avant d'attaquer le commissariat il aurait crié, selon le Ministère de l'Intérieur, "Allahu Akhbar", "Dieu est grand" en arabe. Une affirmation contestée par ceux qui connnaissaient ce jeune homme. L'un des amis de Bertand Nzohaboyano ne l'imagine pas commettre un attentat. Le parquet antiterroriste s'est saisi de l'enquête pour déterminer les motivations de cet homme. Pour Julien Berthault, du syndicat de Police Alliance, les faits se sont passés comme l'a indiqué le ministère de l'intérieur Du côté de la communauté islamique d'Indre-et-Loire (environ 30 000 personnes), on condamne fermement cet acte.

Le président de la communauté islamique d'Indre-et-Loire demande à ce que l'on ne stigmatise pas les musulmans. COLLECTIF - www.urgence-notre-police-assassine.fr. Au sujet du meurtre devant le commissariat de Joué-lès-Tours. Communiqué du collectif « Urgence notre police assassine » suite à la mort de Bilal Nzohabonayo au commissariat de Joué-lès-Tours. Comment justifier le meurtre sous la protection de l’État ? La mort de ce jeune de 20 ans Bertrand dit Bilal reconverti à l’islam, à Joué-lès-Tours samedi 20 décembre après-midi, tué par des policiers devant le commissariat. À l’annonce de cette mort par les médias selon la version des policiers mis en cause, quelques choses sonnent faux dès le départ et rappellent la stratégie d’un scénario bien préparé comme dans l’affaire de Rémy Fraisse, de grands moyens sont déployés de suite, prise de position du ministre de l’Intérieur qui confirme la version des policiers alors même qu’aucune enquête n’est faite. Est-ce que ça vous rappelle pas un mensonge d’État ?

Pression sur la famille et l’entourage de Bilal, notamment la perquisition de l’appartement de la sœur du défunt, les policiers de la brigade antiterroriste seraient partis avec plusieurs sacs. Mort de Bilal Nzohabonayo à Joué-lès-Tours : une interpellation qui dégénère en bavure mortelle ? Le 20 décembre, Bertrand « Bilal » Nzohabonayo est mort, tué par la police à Joué-lès-Tours. D’après la version policière, il se serait présenté au commissariat de la ville et aurait blessé plusieurs agents avant d’être abattu. Mais une autre version émerge, très éloignée de la version officielle.

D’après la version policière, Bilal se serait présenté au commissariat de Joué vers 14 heures, et aurait agressé plusieurs fonctionnaires de police à l’arme blanche. Certaines sources ont prétendu qu’il aurait crié « Allahou Akbar » en attaquant les flics, avant d’être abattu. Mais une autre version commence a émerger. D’après plusieurs sources, relayées par France 3 Centre, tout a commencé par l’attaque d’un flic récemment condamné pour violences [2]. Le lendemain, Bilal aurait été interpellé alors qu’il allait dans un kebab proche du commissariat.

D’autres témoignages disponibles sur Facebook vont dans ce sens, mais parlent aussi d’une balayette [4]. Affaire de Joué-lès-Tours : "il y a eu une altercation avant entre deux jeunes et l'un des policiers" - France 3 Centre. Des doutes planent dans l'affaire de Joué-lès-Tours. De nouveaux témoignages pourraient suggérer une autre version des faits, qui ne concorde pas vraiment avec celle des forces de l'ordre.

Je veux que les policiers écoutent les gens qui disent qu'il y aurait pu avoir une altercation avant. La soeur de Bertrand, Eunice Nzohabonayo s'est exprimée pour la première fois depuis les faits, mardi 22 décembre, après sa garde à vue. Elle tient à comprendre ce qu'il s'est passé avant. "Je veux que les policiers écoutent les gens qui disent qu'il y aurait pu avoir une altercation avant". Originaire du Burundi, où le frère Brice a été arrêté samedi dernier, la famille Nzohabonayo est de confession catholique. . ► VIDEO - Le reportage de France 3 Centre, avec des témoignages qui proposent une nouvelle version des faits dans l'affaire de Joué-lès-Tours : Au départ de l'affaire, une altercation Selon nos sources, le 20 décembre, Bertrand retrouve sa soeur autour de midi.

Joué-lès-Tours : la version officielle mise à mal en six actes. Par Tatiana Lissitzky Mis à jour le , publié le Que s'est-il réellement passé, samedi 20 décembre, au commissariat de Joué-lès-Tours (Indre-et-Loire) ? Deux versions s'opposent désormais. Officiellement, Bertrand Nzohabonayo a été tué après avoir pénétré dans le commissariat et attaqué au couteau trois policiers. Mais une autre version, celle de la famille et des proches, laisse penser que le jeune homme aurait pu être amené de force dans les locaux de la police et que l'interpellation aurait dégénéré. Alors que le jeune homme a été enterré lundi 29 décembre, la polémique enfle. Acte 1 : Immédiatement après les faits, la police s'exprime Samedi 20 décembre, il est environ 14 heures, selon les policiers présents, lorsqu'un homme armé d'un couteau entre seul dans le commissariat de Joué-lès-Tours.

Acte 2 : Des témoins sèment aussitôt le doute Pourtant, la version de la police est rapidement contestée par plusieurs témoins présents aux alentours du commissariat. Tweets about #FergusonenFrance hashtag on Twitter. Al Kanz sur Twitter : "#FergusonenFrance le sang, Bilal à l'extérieur du commissariat. Bavure policière, medias complices? #jouelestours. Capture_decran_2014-12-27_a_19.42.13.png (PNG Image, 586 × 473 pixels) Joué-les-Tours : « J'ai entendu quatre coups » de feu. Joué-lès-Tours : la version de la police contredite par plusieurs témoins - Page 1. Joué-lès-Tours : selon sa soeur, l'agresseur n'a "jamais été dans l'islam radical" Dans un entretien à la radio RTL, la soeur de l'agresseur de Joué-lès-Tours, Bertrand Nzohabonayo, a affirmé mardi que son frère "n'a jamais été dans l'islam radical".

Le jeune homme de 20 ans, né à Bujumbura et de nationalité burundaise, a blessé samedi trois policiers au couteau au cri de "Allah Akbar" (Dieu est le plus grand, en arabe) avant d'être abattu. "Je me dis que c'est ça, mon combat, je voudrais savoir ce qu'il s'est passé avant tout ça. Il n'a jamais été dans l'islam radical. Il ne comprenait d'ailleurs pas justement ceux qui faisaient le djihad", a assuré Eunice Nzohabonayo, avant de raconter les dernières heures de son frère. Couteau de cuisine Un autre membre de la famille, Brice Nzohabonayo, frère plus jeune d'un an que Bertrand, a lui été arrêté samedi au Burundi. Trois questions troublantes sur le drame de Joué-lès-Tours. Joué-les-Tours : le procureur peine à imposer la version policière.

Agression à Joué : qui était Bertrand Nzohabonayo ? - 22/12/2014. Un nom et une image. On sait désormais qui est l’agresseur présumé des policiers. Un jeune homme au parcours accidenté qui s’était converti à l’islam. Qui était Bertrand Nzohabonayo ? Samedi, le jeune homme de 20 ans, qui a grandi dans l'agglomération de Tours, s'est présenté au commissariat, armé d'un couteau. Il blessera trois policiers avant d'être lui-même mortellement touché de plusieurs balles. Dès samedi soir, le ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, évoquait, sur place, la « situation de défense » dans laquelle se sont retrouvés les fonctionnaires. À chaud Mohamed Abdellaouy vient de le reconnaître, là, sur le journal. Billet Suicide En s'attaquant samedi au modeste commissariat de Joué-lès-Tours, avec un gros couteau de cuisine, Bertrand Nzohabonayo, alias Bilâl, avait-il l'intention de déclencher une guerre sainte en terre de Touraine ?

Des policiers agressés au commissariat à Joué-lès-Tours – Dossiers actualité – Actualité – Indre-et-Loire – Nouvelle République – A Joué-lès-Tours, l'agresseur n'était pas connu pour des positions radicales - 21/12/2014. Qui était Bilal Nzohabonayo ? Un islamiste radical ou un garçon paumé en proie à des problèmes personnels ? Le jeune homme avait confié avoir des problèmes familiaux. Beaucoup de questions se posent ce matin sur les motivations et sur la personnalité de l'agresseur, Bertrand Nzohabonayo converti à l'islam il y a quatre ans sous le prénom de Bilal. >> LIRE AUSSI "Joué-lès-Tours : un jeune homme tué par les policiers après les avoir agressés" Ce jeune français de 20 ans, né au Burundi, était certes connu de la communauté musulmane de Joué-lès-Tours mais absolument pas pour des convictions religieuses radicales, même si sur sa page Facebook il affichait récemment le drapeau de Daesh.

Ce qui lui a d'ailleurs valu des messages de camarades s'étonnant du ton de ces nouvelles prises de position. D'après l'association des Amis de la Mosquée de Joué-lès-Tours, il s'était rapproché de la mosquée il y a un an environ mais avait cessé de la fréquenter pendant plusieurs mois. J'ai entendu crier, j'ai regardé - 21/12/2014.