background preloader

Finance 2

Facebook Twitter

Crise financière : le cri d'alarme d'un ancien banquier. Olivier Delamarche: Croissance: un avion sans moteur se crashe, Intégrale Placements - 13/08. Comment les grandes banques centrales fabriquent la prochaine crise des subprimes. Non seulement leurs politiques monétaires ne suffiront pas à relancer l’économie mondiale, mais elles alimentent, en plus, la formation de bulles spéculatives potentiellement ravageuses. Voici pourquoi. Va-t-on vers un krach obligataire? Depuis quelques jours, la rumeur agite les marchés financiers. « Ils redoutent que les banques centrales commencent à revenir sur leur politiques expansionnistes », décrypte Ishaq Siddiqi, analyste chez ETX Capital. Début juin, le gouverneur de la Fed, Ben Bernanke a en effet sous-entendu qu’il envisageait une telle décision, en confiant qu’il ne souhaitait pas que son institution n’alimente la prochaine bulle spéculative. « C’est trop tard, elle le fait déjà!

» s’alarme un investisseur parisien. Vraiment ? Une chose est sûre: ce ne sont pas les raisons de s’inquiéter qui manquent. Alors, qui croire? A quoi servent les banques centrales? Les Etats leur ont fixé une grande mission : veiller à ce que le niveau des prix reste stable. Non. Source : Challenges. Documentaire – Quand l’Europe sauve ses banques, qui paye ?

Une découverte significative de l’Université de l’État de Washington montre que l’ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires. Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l’auteur dans Microbiologie Appliquée à l’Environnement qui a démontré de manière concluante qu’un concentré d’ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni.

L’ail est probablement l’un des plus puissants aliments naturels. C’est l’une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L’ail est aussi très performant en laboratoire de recherche. L’une des découvertes les plus intéressantes est que l’ail augmente le niveau global d’antioxydants dans le corps. Source Traduit par Bistro Bar blog relayé par wikistrike Comments comments.

Premières arrestations dans le scandale du Libor. Concernant le scandale du Libor, Bruxelles s’apprête à accuser plusieurs banques de collusion dans la fixation du taux interbancaire de la zone euro. | AFP/JOHANNES EISELE Les trois prévenus sont Tom Hayes, ancien trader d’UBS et de Citigroup, ainsi que deux de ses relations d’affaires, Terry Farr et Jim Gilmour, ex-courtiers de la charge RP Martin. Lentement et inexorablement, l’enquête, à laquelle participent au moins dix autorités nationales et internationales de surveillance, et qui vise non seulement le Libor mais aussi son cousin de la zone euro, l’Euribor, tourne au cauchemar de la profession bancaire. C’est à la suite d’une enquête ouverte, en octobre 2008, par la Commodity Futures Trading Commission (CFTC), la tutelle américaine sur les marchés à terme, que le scandale a éclaté.

Le Libor est l’étalon pour les 350 000 milliards de dollars (269 400 milliards d’euros) de produits financiers qui s’échangent chaque jour. Source : Le Monde. Marché: Goldman Sachs penche pour les actions. « La progression des marchés d’actions l’année dernière ne s’est pas expliquée par une progression des résultats d’entreprises, mais par un mécanisme de remontée des valorisations boursières. Cette année, la hausse des marchés d’actions devrait être alimentée par une amélioration des résultats des sociétés », a déclaré vendredi Peter Oppenheimer, le directeur de la stratégie actions de la banque d’affaires américaine, à l’occasion d’une conférence à Paris.

Goldman Sachs s’attend à ce que les sociétés appartenant à l’indice paneuropéen STOXX 600 voient leurs résultats progresser d’en moyenne 9% en 2013, puis de 12% en 2014. Dans cette optique, Peter Oppenheimer conseille aux investisseurs de faire l’acquisition de valeurs fortement exposées à l’ international , et en particulier au secteur de la consommation dans les pays émergents. Plus globalement, Goldman Sachs explique avoir adopté un point de vue « plus optimiste » sur l’économie globale. Source : CercleFinance. Effondrement du système bancaire : le compte à rebours vient de commencer. A moins de ne plus jamais avoir besoin de crédit ou de découvert ou se faire un capital (retraite etc ;..) et donc de revenir aux vieilles méthodes (« bas de laine ») et donc d’accepter de différer ses achats (maison, voiture etc...) d’accepter aussi que son argent ainsi économisé se dévalue (quoique maintenant, les taux d’intérêts versés aux épargnants ne sont vraiment plus indexés sur le coût réel de la vie) que, même dans une banque éthique, tout placement comporte un risque.

(il suffit pour cela que les emprunteurs ne soient plus en mesure de rembourser) Nous ne sommes pas au bout de nos peines.. car la plupart des banques en plus d’investissements dans des entreprises, de prêts aux particuliers, rachètent de la dette à très haut risque... A certaines, elle est imposée... Donc le système qui était déjà à la base fragile bien que reposant sur des garanties (hypothèques par exemples), l’est devenu encore plus lorsque ces mêmes garanties étaient surévaluées (crise des subprimes).. Bon début d’année pour les banques canadiennes. Les banques canadiennes ont amorcé l’exercice 2013 en force. La Scotia a dégagé un bénéfice net de 1,63 milliard après trois mois, gonflant le total des six grandes banques à 7,69 milliards. Les six plus grandes banques selon l’actif ont cumulé un bénéfice net de 7,69 milliards au terme du premier trimestre clos le 31 janvier 2013, en hausse de 8,9 % par rapport à celui de 7,06 milliards du trimestre correspondant de 2012.

Il s’agit d’un solide départ en ce début d’une année appelée à connaître une croissance économique plutôt faible et une correction du marché immobilier résidentiel. Quatre d’entre elles ont accompagné leur performance d’une hausse de leur dividende trimestriel versé aux actionnaires ordinaires. Seules la CIBC et la Banque Nationale n’ont pas fait écho à cette bonification. « Nous connaissons un excellent début d’exercice, s’est réjoui le chef de la direction, Rick Waugh. Actionnaires des Agences de notation. Qui sont les actionnaires des AGENCES DE NOTATIONS ?? Je la reproduis telle quelle : un festival de participations croisées , entre majors financiers américains et leur presse .. … A ce niveau , on ne peut plus parler de conflits d’intérêts et encore moins d’entente .. Ce sont les mêmes qui actionnent toutes les ficelles , Petit parcours dans les labyrinthes des 3 agences de notation et de qui les détient en réalité (pas simple de retouver les infos, il faut fouiller)… *********1) MOODY’s fr.finance.yahoo.com/q/ mh?

S=MCO Actionnaires principaux: Actions % valeur date BERKSHIRE HATHAWAY, INC 28 415 250 12,42 1 089 724 837 30 juin 2011 Capital World Investors 27 555 000 12,05 1 056 734 250 30 juin 2011 VANGUARD GROUP, INC. BERKSHIRE HATHAWAY est la société de… Warren Buffett. Wiki/ Capital_Group_Companies Pour la petite histoire de Moody’s et de la Grèce: « Dégradation de la note de la Grèce en 1931 (DEJA!) Source wiki/Moody’s Frank A. Subprime : le ministère de la justice américain abandonne les poursuites contre Goldman Sachs.

Carl Levin, le démocrate du Michigan qui préside la commission sénatoriale en charge de l’enquête, avait demandé l’an dernier à ce que le ministère de la justice se penche sur la question suite à l’enquête du Sénat. M. Levin et d’autres responsables américains avaient accusé la banque de tromper les investisseurs sur les offres hypothécaires, dont le tristement célèbre « Abacus ». Las, le DoJ (Department of Justice) a déclaré dans un communiqué publié jeudi 9 août au soir : Après l’annonce du DoJ, Goldman Sachs s’est félicité : Fabrice Tourre, le trader français de Goldman, qui se trouve au cœur du scandale Abacus, fait en revanche toujours l’objet d’une plainte civile auprès de la SEC, le régulateur des marchés boursiers outre-Atlantique.

Il y a deux ans, la banque a versé 550 millions de dollars à la SEC pour régler des accusations liées à Abacus. Source : le monde. La leçon de la crise financière: ‘l’Islande a fait ce qu’il fallait faire, contrairement aux autres pays’ L’Islande a fait ce qu’il fallait faire, contrairement aux autres pays, affirment en chœur des économistes de premier plan. Joseph Stiglitz, l’économiste américain détenteur du prix Nobel, souligne qu’elle a choisi judicieusement de ne pas faire subir les conséquences des erreurs de son secteur financier aux générations futures (les dettes des banques représentaient 209 milliards de dollars, soit plus de 10 fois la valeur du PIB islandais, lorsqu’elles ont déposé le bilan).

Paul Krugman, l’économiste néo-keynésien également détenteur du Prix Nobel, approuve lui aussi la méthode islandaise. «Quelque chose de curieux s’est produit sur le chemin de l’Armageddon financier: l’extrême désespoir de l’Islande a empêché tout comportement conventionnel, ce qui a libéré la nation du respect des règles habituelles. L’Islande a laissé le processus d’échec capitaliste suivre son cours normal, et les banques qui n’étaient plus viables ont fait faillite. Source : Express.be. Bankrun ? Demande de livraison de 43 tonnes d’or physique pour février sur le COMEX.

Le "Non" des Islandais est légal. Une cour de justice européenne a donné raison à l’Islande, qui n’aura pas à rembourser les dettes de la banque Icesave. Par référendum, en 2010, les citoyens avaient refusé d’être rançonnés. Après la voix du peuple, celle des juges. À deux reprises, les citoyens islandais avaient refusé par référendum de rembourser sur deniers publics les dettes de la banque en ligne Icesave, en faillite. La Cour de justice de l’Association de libre-échange européenne (Efta) vient de leur donner raison.

Après la faillite d’Icesave en 2008, le Royaume-Uni et les Pays-Bas ont remboursé leurs citoyens épargnants. En vertu de la législation européenne, chaque pays doit créer un fonds de garantie des dépôts à même d’indemniser les épargnants d’une banque en faillite à hauteur de 20 000 euros. Un premier accord pour rembourser ces deux pays, assorti d’un taux d’intérêt prohibitif (5,5 %), est accepté par le gouvernement de gauche. Gaël De Santis. L’aveu d’un Bankster. Richard Drew/AP/SIPA «Nous bénéficions effectivement du ralentissement de l’économie.» En vantant les bénéfices de sa banque devant un parterre d’investisseurs, 21,3 milliards d’euros en 2012, Jamie Dimon, le patron de JP Morgan, n’a sans doute pas bien mesuré la portée de ses déclarations. Elles ont tout du vendeur de canons contemplant ses caisses remplies par la boucherie d’une guerre des tranchées.

Certes, ce ne sont plus les armes, mais la crise qui en Europe comme aux Etats-Unis, emporte les populations. Sur elles pèsent l’explosion du chômage, la baisse de la croissance, et, pire, le transfert de la dette des banques vers les Etats. Quant aux banques, à l’instar de JP Morgan, la vie est belle, elles prospèrent même grâce à la crise dont elles sont elles-mêmes à l’origine. La banque de Jamie Dimon a même presque doublé son bilan. A l'instar des gainers, ces obèses bien décidés à le rester voire à prendre du poids, les banques ont elles aussi suivi un régime grosseur. Why Should Taxpayers Give Big Banks $83 Billion a Year? On television, in interviews and in meetings with investors, executives of the biggest U.S. banks -- notably JPMorgan Chase & Co.

Chief Executive Jamie Dimon -- make the case that size is a competitive advantage. It helps them lower costs and vie for customers on an international scale. Limiting it, they warn, would impair profitability and weaken the country’s position in global finance. So what if we told you that, by our calculations, the largest U.S. banks aren’t really profitable at all? What if the billions of dollars they allegedly earn for their shareholders were almost entirely a gift from U.S. taxpayers? Granted, it’s a hard concept to swallow. Let’s start with a bit of background. Lately, economists have tried to pin down exactly how much the subsidy lowers big banks’ borrowing costs.

Small as it might sound, 0.8 percentage point makes a big difference. Neither bank executives nor shareholders have much incentive to change the situation. JPMorgan Chase CEO Jamie Dimon: 'We Actually Benefit From Downturns' Like most soft-spined Americans, you probably have painful memories of the financial crisis and consequent recession. Perhaps you even think of those things as "bad. " Fortunately, Jamie Dimon is not like the rest of you losers. That is because, unlike you, Jamie Dimon is CEO of JPMorgan Friggin' Chase, America's greatest bank, which just so happens to snack on financial crises and recessions like so much KIND bar.

"This bank is anti-fragile, we actually benefit from downturns," Dimon bragged to his bank's investors at a conference on Tuesday. And it is true! The bank definitely benefited from the last downturn. It got to buy Bear Stearns in a government-backed fire sale, getting itself a brokerage business on the cheap in exchange for shouldering only a few tiresome legal burdens.

That permanent subsidy amounts to about $17 billion per year, according to a recent Bloomberg View study, representing nearly all of the bank's profits. MY NIGHTMARE ! And then followed up: S&P à pas de Titan. – 21 février 2013Classé dans : A chaud L’agence de notation Standard & Poor’s a au moins un mérite : comme le patron de Titan, elle dit sans détours ce qu’elle pense.

Pour elle l’accord made in MEDEF est une excellente nouvelle. Les salaires vont enfin baisser, se réjouit-elle : « La proposition de réforme du marché du travail, qui doit encore devenir une loi, devrait aider les employeurs à mieux adapter les coûts salariaux à la conjoncture internationale ». Et de noter que le chômage, lui, ne baissera pas pour autant.

Après un discours ferme au Bourget, François Hollande devenu président a décidé de faire ami-ami avec la finance. Les banques, une mafia qui a pris le pouvoir ! Vers une perte record de 19 milliards d'euros pour Bankia. En 2012, elle avait fait trembler l'Espagne. Bankia paie les conséquences de la crise et devrait afficher une perte record lors de la publication de ses résultats annuels prévue jeudi 27 février. Selon le Financial Times, ces pertes s'élèveraient à 19 milliards d'euros. Le pire niveau jamais atteint par une entreprise espagnole. L'Etat détient 45% de Bankia En raison de ses difficultés financières, l'établissement avait dû être renfloué par l'Etat espagnol qui avait été contraint de demander une aide européenne pour ses banques.

Pour l'heure, la participation publique s'élève à 45% mais elle pourrait monter jusqu'à 70%. Bankia réduit ses coûts Bankia s'est engagée à réduire ses coûts. Les banques ne vont rembourser que 61,1 milliards à la BCE. L’arnaque du mode de calcul de l’inflation. Réforme Bancaire: La finance a-t-elle déjà gagné ? Jacques Sapir : "L'Euro ne peut plus être sauvé" pour Saxo Banque / 18 Février 2013. 5 raisons de couper les banques en deux. La crise, Goldman Sachs ne connaît pas. La France et l'Espagne accueillis à bras ouverts sur le marché de la dette. L’incroyable erreur des experts du FMI. ‘Le monde vient d’adopter un nouvel étalon-or dans la plus grande discrétion’ Trafic de drogue et système bancaire – Interview avec Antonio (...)

Les paradis fiscaux dissimulent 25 500 milliards d’euros. Independance-et-responsabilite-evolution-du-metier-de-banquier-central.pdf (Objet application/pdf) HSBC : l'argent de la drogue et le cartel banquier mondial au-dessus de la loi. (vidéo inédite) 1 Kerviel = 5 milliards. La banque HSBC accepte une amende de 1,9 milliard $ US. NEW YORK • Comment Goldman Sachs a lâché Obama. Michel Chossudovsky : Les effondrements financiers sont planifiés. Crime organisé : fraude fiscale, drogue et trafic d’armes chez HSBC. Arrestation massive imminente de globalistes, de banquiers et d’élites politiques.