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Extinction

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Les plus vieux et plus grands arbres de la planète se meurent. Des scientifiques ont mis en garde vendredi contre la mortalité alarmante des arbres géants et très anciens, plus grands organismes vivants de la planète, qui abritent quantité d’oiseaux et une riche biodiversité. File photo shows Maasai under a baobab tree in the Serengeti Tanzania. Research by universities in Australia and the United States, published in Science, said ecosystems worldwide were in danger of losing forever their largest and oldest trees unless there were policy changes to better protect them. © AFP Tony Karumba Ces travaux, menés par des universitaires australiens et américains, ont été publiés dans la revue Science. Ils concluent que partout les vieux grands arbres sont menacés de disparition si aucune politique de préservation n’est mise en oeuvre. « C’est un problème mondial qui concerne presque tous les types de forêts », a indiqué David Lindenmayer de l’Université nationale d’Australie, chef du programme.

M. Source : AFP / goodplanet Ajouter un commentaire. L’acidification des océans devient inquietante, les océans meurent…. C’est un avertissement sinistre que révèle cette étude conduite en 2010 et dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue nature: l’acidification des océans est dix fois plus rapide aujourd’hui que lors de la dernière extinctions des espèces pendant l’ère du Paléocène et l’Exocene.

C’est ce qu’indique cette étude qui constate que les changements brutaux dans la chimie des océans sont dues à la combustion des combustibles fossiles et que les taux d’acidité des eaux de mer d’aujourd’hui peuvent annoncer une nouvelle vague de mortalité massive. En effet, depuis peu, les scientifiques commencent à démêler les effets et les risques environnementaux que cette augmentation d’acidité des eaux de mers va engendré: la répartition de ces taux d’acidité est plus complexe que prévue, certaines parties du monde pourraient être plus vulnérables que d’autres, certaine pouvant même faire preuve de résilience.

"Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle. La fin du monde reportée à 2030 : attendons sans rien faire ?: Voix de la Russie. La fin du monde est reportée de 2012 (prophétie maya) à 2030, lorsque l’humanité aura épuisé les ressources naturelles, déclarent les experts de l’organisation américaine Global Footprint Network.

La fin du monde reportée à 2030 : attendons sans rien faire ?: Voix de la Russie

Les chercheurs affirment que la mort de l’humanité sera un long processus lié au gaspillage des ressources et que le 27 septembre 2011 marque le point de non-retour. Diaporama : Calendrier des différentes "fins du monde" Des calculs effectués pendant de longues années ont permis aux scientifiques américains d’arriver à cette conclusion. Depuis 2001, les hommes empruntent de plus en plus intensément les ressources à la nature. Mais si auparavant, la dépense était modérément excessive, aujourd'hui, l’humanité dépense en 9 mois autant de ressources (eau, bois, animaux) que la Terre produit en 12 mois. . « En fait, notre biomasse, c’est-à-dire, l’ensemble de l’humanité plus le monde animal et végétal, a dépassé la biomasse naturelle de la terre déjà dans les années 1960.

400 espèces de plus menacées d'extinction. Quelque 400 espèces animales et végétales ont rejoint la liste des espèces menacées d'extinction dévoilée mercredi à Hyderabad, en Inde, où la conférence de l'ONU sur la biodiversité est entrée dans sa dernière ligne droite en présence de plus de 70 ministres.

400 espèces de plus menacées d'extinction

La Grande Barrière de corail a perdu la moitié de ses coraux depuis 1985. La Grande Barrière de corail en Australie a perdu plus de la moitié de ses prairies coralliennes au cours des vingt-sept dernières années sous l'effet des tempêtes, de la prédation d'étoiles de mer et du blanchiment lié au réchauffement climatique, a révélé mardi une étude australienne.

La Grande Barrière de corail a perdu la moitié de ses coraux depuis 1985

Et le récif pourrait continuer à se détériorer dans les mêmes proportions d'ici à 2022 si rien n'est fait pour le protéger, selon les scientifiques de l'Australian Institute of Marine Science (Institut océanographique d'Australie, AIMS) et de l'université de Wollongong (Etat de Nouvelle-Galles du Sud). CHAUD – Le changement climatique pourrait faire 100 millions de morts d’ici 2030. Le réchauffement climatique cause de plus en plus de sécheresses.

CHAUD – Le changement climatique pourrait faire 100 millions de morts d’ici 2030

(AFP PHOTO/REMY GABALDA) Si rien n'est fait pour l'enrayer, le changement climatique pourrait causer la mort de 100 millions de personnes et coûter l'équivalent de 3,2 % du PIB mondial d'ici 2030. Telle est la conclusion d'un rapport produit par l'ONG humanitaire espagnole DARA et commandé par vingt pays en développement, regroupés au sein du Climate Vulnerable Forum. En cause, relate le Huffington Post, des conditions climatiques plus extrêmes, des sécheresses, ou encore la hausse du niveau de la mer.

Le site Think Progress rapporte quant à lui que "le changement climatique contribue déjà à la mort de 400 000 personnes en moyenne chaque année', principalement à cause de 'la faim et des maladies transmissibles, qui affectent surtout les enfants dans les pays émergents". L'Effondrement - Preparez-vous au génocide. Extinction de masse en 2050 sur la terre selon Hubert REEVES. Extinctions massives de la biodiversité. "Il est déjà trop tard" : l'espèce humaine devrait s'éteindre ce siècle.