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Communication

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Performer la marque, en interne aussi. La performativité a été présentée comme l’implication identitaire des consommateurs. Elle s’applique aussi aux collaborateurs avec des vertus de mobilisation et d’intégration des équipes. Les entreprises développent une culture (objets, gestes, attitudes, visions du monde, comportements...) que le consommateur est invité à performer. Cette culture doit aussi être appropriée par les collaborateurs sous peine d’apparaître comme un mensonge ou un masque marketing. La marque vécue par les collaborateurs La compagnie aérienne Emirates organise des formations à Dubaï, où les collaborateurs apprennent à se maquiller, à se coiffer, à saluer, à " parler Emirates ". L'enjeu est que les équipes s'approprient la culture de la marque et s'y projettent personnellement. Du fondateur aux vendeurs Dans l’enseigne Max Brenner, le pdg-fondateur au crâne chauve est le premier à performer sa marque.

Le personnel également performe la marque en se grimant avec du chocolat. L'email est-il votre bête noire ? Marketing Is Dead. Le marketing est-il mort ? par Francois Laurent. Revue des marques : numéro 86 - avril 2014 Le marketing est mort de ne pas avoir compris les consommateurs. Il peut renaître en allant vers eux, par empathie. par Francois Laurent Francois Laurent Coprésident de l’Adetem Depuis déjà quelques années, un provocateur a intitulé son blog Marketing Is Dead (1) ; plus récemment, le même titre est apparu sur un blog de la Harvard Business Revue (2) ; et plus récemment encore, c’est l’Adetem, la principale association professionnelle du marketing en France, qui publie un ouvrage intitulé (3) : Le marketing est mort, vive le marketing !

Requiescat in pace Requiescat in pace : mais il faut reconnaître qu’ils se sont mis à plusieurs pour l’assassiner ! Inflation des messages… et surtout des messages non sollicités : impossible d’ouvrir sa boîte aux lettres sans se trouver submergé par une avalanche de mails sans intérêt aucun – et bien souvent, impossible d’espérer se désabonner de ces listes de diffusion auxquelles on ne s’est pas abonné ! «La vitesse réduit le monde à rien» Paul Virilio, 78 ans, urbaniste d’origine, est devenu sociologue et philosophe à force de penser inlassablement la vitesse. Depuis 1977, date à laquelle il a publié Vitesse et Politique, essai sur la dromologie, il réfléchit à l’accélération du monde et à ses conséquences sur l’homme, l’économie, l’environnement, la géopolitique.

Il lie le territoire aux technologies qui permettent de le parcourir et de le contrôler. TGV, pigeon voyageur ou Internet, avion ou minitel, qu’il s’agisse des techniques de communication ou des techniques de déplacement, il définit le territoire comme un espace-temps qui rapetisse. Dans «l’Administration de la peur» (1), vous soutenez que la peur est un moyen de gouverner. Dans nos sociétés - des origines monarchiques à la démocratie -, la peur a toujours fait partie des moyens de gouverner. On le voit aujourd’hui avec les politiques sécuritaires. Equilibrer nature et homme, une nouvelle façon de gouverner par la peur ?

Comment accoucher de cette vision ? Le Li-Fi, c’est parti ! Nous vous devons plus que la lumière". Ce slogan publicitaire d’EDF, lancé dans les années 2000, était prémonitoire. Car, en 2014, l’éclairage va vraiment sortir de sa fonction traditionnelle pour transmettre des données numériques. Le Li-Fi (light fidelity, terme calqué sur le Wi-Fi), une technologie de transmission sans fil développée et expérimentée depuis des années, fait son apparition dans l’offre des industriels de l’éclairage. Philips vient ainsi d’annoncer ses premiers luminaires capables de transmettre des données, et Thomson Lighting doit faire de même d’ici à juin. Thorn, spécialiste de l’éclairage public, teste dans ses laboratoires une vingtaine de produits qui sortiront cette année. La PME française Oledcomm, un pionnier du Li-Fi qui conçoit et fabrique des drivers – le système électronique qui pilote les LED Li-Fi – indique qu’il disposera l’été prochain d’une capacité de production de plusieurs centaines de milliers d’unités par mois !

Plus de débit que le Wi-Fi. Google veut envoyer 20 ballons par jour dans la stratosphère pour connecter la Terre entière. Le "Project Loon" de Google pourrait encore prendre de la hauteur. Selon TechCrunch, la firme de Mountain View envisagerait d'envoyer plus de ballons dans la stratosphère pour connecter encore plus de monde à internet. Des ballons stratosphériques pour amener internet dans les régions les plus reculées du monde. Tel est le dessein de Google qui a installé ses ballons à 20 km au-dessus de la Terre pour éviter avions et événements météo. Selon TechCrunch, les "progrès du projet" conduisent aujourd'hui Google à envisager plus de lancements. Mais de quel progrès s'agit-il ? Par exemple, les ballons peuvent aujourd'hui rester jusqu'à 130 jours dans la stratosphère contre 100 jours il y a encore quelques mois.

Des gonflages De plus en plus rapides Google n'en est pas peu fier : les ballons sont désormais gonflés en cinq minutes, contre une vingtaine de minutes en 2013 et la société affirme qu'elle peut lancer jusqu'à 20 ballons par jour grâce à l'amélioration de ses équipements. Wassinia Zirar.