"Guides", documents d'accompagnement. - Monnaies en débat. Certains acteurs ou initiatives ont élaboré des "guides", ou documents d’appui à la mise en place d’initiatives de monnaies complémentaires. Ces guides ne sont pas des cadres rigides, mais plutôt des éléments de démarche. Ils n’ont pas vocation à être suivis à la lettre mais à à inspirer de nouveaux acteurs désireux de se lancer dans la concrétisation d’un projet de monnaie complémentaire. En effet, la monnaie n’est qu’un outil au service d’un projet : il s’agit bien de construire les réponses les plus adaptées aux objectifs, aux enjeux, au projet que l’on veut promouvoir. Ainsi, de notre point de vue, les projets de monnaie sociale complémentaire ne peuvent être que des projets collectifs et collaboratifs, où chaque acteur est reconnu et participe à la définition de la visée et des objectifs de la monnaie, à la gouvernance et au pilotage du dispositif, au contrôle et à la régulation du système.
Nous privilégions ici (dans un premier temps ?) Alternative currencies, monetary systems. Monnaies en débat. A quoi ça sert, une monnaie locale ? | Monnaies en Débat. TooKets, la monnaie solidaire et associative ! Bitcoin, une devise complémentaire universelle. La pertinence des devises complémentaires a été fortement soulignée par l’émergence d’une économie mondialisée et financiarisée, au sein de laquelle les Etats luttent pour la croissance et les excédents commerciaux. Jusqu’en 2009, les démarches en faveur d’une réforme monétaire gravitaient autour de mécanismes orchestrés par les gouvernements et le système bancaire. Avec l’entrée en lice d’une nouvelle devise universelle, alliée à la puissance transformatrice du web, de nouvelles solutions peuvent être explorées pour des réformes sociales et économiques: en ce sens, une devise universelle comme bitcoin permet de redéfinir la monnaie.
La base de données de transactions bitcoin Le protocole bitcoin précise comment construire et gérer une base de donnée de transactions en ligne. Les transactions sont publiées et signées électroniquement (en ayant recours à de la cryptographie asymétrique et à des paires de clés). Vers le développement d’une économie bitcoin? Monnaie Durable. Voyage au pays du Sol Violette | Euskal Moneta. Sylvie Delpech, gérante de la Biocoop Jaurès à Toulouse, encaisse sans difficulté les Sol Violettes aux côtés des euros. (Photo Rémi Rivière) Une délégation du comité de pilotage de l’Ambes s’est rendue début décembre à Toulouse pour étudier le Sol Violette, la monnaie complémentaire lancée en mai dans la Ville Rose. Le Journal du Pays basque et Gara reviennent sous forme d’interview sur ce voyage riche d’enseignements, dans des articles en français et en castillan. AMBESeko gidoi taldearen delegazio bat Tolosara joan da abenduaren hastapenean Sol-Violette-aren aztertzeko, hiri arrosan ateratu den moneda osagarria.
Le Journal du Pays Basque eta Gara argitarazten dituzte bi artikulu, frantsesez eta españolez, elgarrizketa moduan bidai interesgarri horri buruz. Lire la suite de l’article ici: « Une monnaie complémentaire est aussi un outil d’éducation populaire et de citoyenneté » Comment s’est passé votre voyage à Toulouse? Le bilan qu’ils ont fait était-il positif ? Be Sociable, Share! La réputation, une nouvelle monnaie.
Résumé : on parle beaucoup de la réputation comme d’une nouvelle monnaie dans des dispositifs fondés sur l’échange, la confiance, la collaboration. Logique une certaine mesure mais raccourci facile si elle permet d’éviter d’aborder la question de la rémunération de la contribution pour des populations qui n’en sont pas encore dans la recherche de la reconnaissance mais la satisfaction de besoin plus basiques. La réputation est davantage une matière première qui servira à construire de nouveaux dispositifs qu’une monnaie alternative. On l’entend beaucoup dire et répéter çà et là : la réputation est la nouvelle monnaie d’un monde et d’une entreprise fondés sur la collaboration, le partage, le fonctionnement en réseau.
Un raccourci à la fois logique et facile. Logique puisque dans des systèmes de collaboration dits “émergents” la confiance est essentielle pour que les choses se mettent en place. Et la réputation y contribue. Alors, la réputation, une nouvelle monnaie ? Google+ Banco Palmas ou les richesses d'une favela. Banco Palmas fut la première banque communautaire brésilienne. Elle a été inaugurée en juillet 1998 à Palmeiras, quartier populaire de 32000 habitants situé dans la région Sud de Fortaleza, dans le Nordeste brésilien. Les premiers habitants, en majorité des pêcheurs, étaient arrivés en 1973, expulsés du littoral pour laisser le champ libre à la construction de complexes touristiques. Ils construisirent des baraques, donnant ainsi naissance à une grande favela, sans réseau sanitaire, ni traitement des eaux, ni énergie électrique, ni école, ni aucun autre service public.
En 1981, les habitants du quartier de Palmeiras constituèrent une association, l’Asmoconp [1 ] « Associação dos moradores do conjunto Palmeira »,... [1 ] , et les familles commencèrent à s’organiser. Grâce à diverses mobilisations populaires et à des partenariats, l’organisation construisit petit à petit le quartier, dans une logique d’entraide communautaire. Un palmas égale un réal. Notes Résumé Français Plan de l'article.