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Des relents d'ACTA dans une résolution votée au Parlement Européen. PC INpact Touch. Mise à jour : Ricardo Patino, le ministre équatorien des Affaires étrangères, vient d’annoncer que son pays avait décidé d’accorder l’asile politique à Julian Assange. Pour l’Équateur, le fondateur de Wikileaks doit être protégé, notamment de « persécutions politiques », telles que celles qu’il pourrait subir s’il était extradé de la Suède vers les États-Unis. Cette décision ne garantit pas que Julian Assange puisse quitter le Royaume-Uni sans intervention des autorités britanniques. La déclaration intégrale est disponible ici (en espagnol).

La tension monte autour de l’ambassade d’Équateur au Royaume-Uni, où se trouve Julian Assange depuis mi-juin. Alors que la décision concernant la demande d’asile du fondateur de Wikileaks est attendue pour aujourd'hui, le Royaume-Uni semble déterminé à procéder à son extradition vers la Suède. Via Reuters. Menaces d'une intervention à l’ambassade équatorienne à Londres Une décision attendue pour la mi-journée Xavier Berne. La CNIL veut mesurer la perception de la reconnaissance faciale. Dans le cadre de ses missions de réflexion sur l'évolution des technologies et les effets sur la vie privée et les libertés, la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés s’intéresse au tagging et à l’identification automatique des photos. Via un appel d’offres, la CNIL organise une enquête sur la « place des photos et vidéos dans la vie numérique en ligne et la perception des outils de reconnaissance d’image et de reconnaissance faciale ».

Avec la démultiplication des smartphones et des applications de partage, les pratiques se généralisent : « 300 millions de photos sont publiées chaque jour sur Facebook (…). Or, les photos de personnes voire de certains lieux peuvent être considérées comme particulièrement sensibles dans la mesure où il devient de plus en plus facile d’appliquer sur elles des technologies d’analyse d’images sophistiquées, en particulier la reconnaissance faciale. LOPPSI : Orange programme un blocage par DNS au 1er janvier 2013. Données personnelles : un e-Syndicat, contre-pouvoir à Facebook ? Après SOPA et PIPA, la menace CISPA. Averti par la Hadopi, le Français dépense plus et même, il s'enrichit.

Poisson d'avril ! Cette actualité était en fait un poisson d'avril de la PUR.fr espèce. Il n'a jamais été démontré que l'abonné par trois fois menacé galope à la FNAC carte bleue en main pour 1) s'acheter une suite de sécurité 2) dévaliser les rayons de CD et DVD. Mais l'important est d'y croire, non ? Selon une nouvelle étude publiée par la Hadopi et financée intégralement par l’IFPI, près de 3 internautes sur 4 ayant reçu un email d’avertissement ont été poussés par l’irrésistible désir d’acheter des contenus en ligne. Taux de résistance à l'achat chez l'abonné menacé 13x par l'Hadopi Mieux, ce n’est pas seulement le désir d’acheter qui a augmenté. Il résulte de cette récente étude IFLOP donc que plus l’abonné réceptionne de courriers d’avertissement, plus il achète de contenus. « C’est tellement évident.

. « Un nouveau bilan indiscutable ! Hadopi 3 : Sarkozy promet blocage, déréférencement et responsabilité. Sur son site, la SACD publie un résumé de la lettre reçue du candidat Nicolas Sarkozy. La société des auteurs compositeurs d’arts dramatiques retient dans les propos du président-candidat que celui-ci « s’engage sur le développement de l’offre légale ». Ainsi, il « promet d'ouvrir le chantier du développement de l'offre légale en ligne et propose de créer un compte de soutien au spectacle vivant ».

La SACD note encore que « le président-candidat souhaite par ailleurs faire participer les géants transnationaux de l'Internet au financement de la création et des investissements dans les réseaux engagés par les fournisseurs d'accès. "Ces mêmes entreprises devront [...] acquitter l'impôt au titre des activités considérables qu'elles réalisent en France sans y être fiscalisées" ». Et la société de souligner les promesses de Sarkozy au profit du « compte de soutien au spectacle vivant ». De fait, la lettre de Nicolas Sarkozy est bien plus dense que ce qu’en a retenu la SACD. Détermination ? L’Hadopi belge est loin d’être morte. Et si la Belgique adoptait finalement la riposte graduée ?

Nous avons appris que le sujet était toujours d'actualité chez nos voisins. Pire : l'amendement du sénateur Richard Miller visant à abandonner ce projet pourrait finalement rester au stade du dépôt afin de laisser s'installer un dispositif à la française. En janvier 2011, le sénateur belge Richard Miller avait déposé une proposition de loi « favorisant la protection de la création culturelle sur Internet ». Un texte visant à implanter en Belgique le mécanisme de la riposte graduée. L’économie du système est simple : des agents assermentés identifient un abonné auprès d’un FAI puis lui adressent un premier courrier d’avertissement. En cas d’itération dans les 6 mois, l’abonné peut se voir envoyer une lettre recommandée où les agents proposent au contrevenant « le paiement d'une somme qui éteint l'action publique ». Le 24 mai 2011, surprise !

Des textes toujours examinés, un amendement simplement déposé. LOPPSI 2 : les FAI limités dans le choix d’une technologie de blocage ? LOPPSI 2 : un décret sur le blocage, une urgence qui débloque. Le gouvernement l'a annoncé au Conseil du Numérique. Celui-ci sera bien saisi sur le décret permettant d'activer le blocage des sites pédopornographiques. Une excellente occasion de revenir sur l'histoire de ce drôle de calendrier où tout a été fait pour contourner l'intervention du juge. L’article 4 de la loi LOPPSI 2 donne au ministère de l’Intérieur un pouvoir exceptionnel. Celui de notifier directement les intermédiaires techniques comme les FAI afin de les forcer à bloquer l’accès sans délai à des sites. Ce ne sont pas n’importe quel site, mais des sites qui diffusent des images de mineurs à caractère pornographique.

Des coûts et des modalités techniques La mise en œuvre de ce dispositif ne peut pas se faire n’importe comment. Problème : ce décret n’a toujours pas été diffusé alors que le jour J approche. Un CNN saisit 15 jours avant le terme Se passer du juge de toute urgence L’histoire de ce blocage « sans délai » des sites pédopornographiques rendrait fou un chronométreur. Le CNN examinera le décret ARJEL avec le projet de décret LOPPSI.

Le Conseil National du Numérique n'avait pas été consulté pour la publication du décret ARJEL. Ce décret précise les conditions d'indemnisation des FAI s'ils utilisent le blocage par DNS pour empêcher l'accès aux sites de jeux non agréés. Un décret aux nombreuses zones d'ombre : on ne sait par exemple qui sera responsable en cas de surblocage ou de sous blocage par DNS... L'expertise du CNN aurait pu apporter ainsi de précieux éclairages, notamment encore sur l'éventuelle obligation de notification du texte à Bruxelles. Une étape aussi oubliée par le gouvernement... Cependant, le CNN a trouvé un moyen pour hacker son éviction : « Nous avons été surpris de la promulgation de ce décret et n’écartons pas la possibilité de nous autosaisir de la question ou de rendre un avis sur le sujet parallèlement à la saisine de l’article 4 de la Loppsi sur le filtrage pédopornographique » a expliqué Benoit Tabaka à nos confères de 01Net.

Renseignement pris, le texte ne lui a toujours pas été envoyé. Les tablettes ne sont plus assujetties à la rémunération pour copie privée. Copie privée : peine d'un million d'euros infligée aux ayants droit - Actu PC INpact. Première diffusion 3 décembre 2011 Exclusif PC INPact. Copie France est condamnée à 1 million d’euros au profit de Rue du Commerce. Dans son jugement du 2 décembre, le TGI de Nanterre reproche aux ayants droit des négligences fautives alors qu'ils ont le monopole de la perception de la copie privée en France.

En cause, leur inaction à l'égard des cybermarchands étrangers. Autre grief, en position de force au sein de la Commission copie privée, ces ayants droit n'ont peu ou pas voulu prendre en compte l’harmonisation des montants en Europe dans la détermination des taux de redevance. Le jugement rendu le 2 décembre est explosif. Le projet de loi Copie privé, adopté à l'Assemblée nationale, sera examiné au Palais du Luxembourg le 19 décembre. En 2007, Rue du Commerce avait tenté en vain d'y remédier en attaquant des sociétés étrangères pour concurrence déloyale. Nouveau front franco-français Pourquoi ? Mais ce n’est pas tout. Un marché gris, une concurrence faussée A qui la faute ? Édito : il était une fois Internet en Belgique - Actu PC INpact. En avance sur bien des pays dans le monde il y a une bonne dizaine d’années, la Belgique a pris du retard, que ce soit en matière de débits ou de services, même si le 100 Mbps se généralisera tôt ou tard.

Néanmoins, le pays est touché par un autre problème plus profond : sa faible importance démographique et division linguistique. Ainsi, à l’instar de bien des petits pays dans le monde, la Belgique est évitée par bien des sites internet internationaux, qui ne s’intéressent qu’aux pays les plus peuplés et les plus riches. Si nous avons pris ici comme exemple la Belgique, cet édito concerne en fait la plupart des pays du monde hors top 5 d'Europe, d'Amérique du Nord et les pays importants d’Asie. Bien sûr, comme de nombreux pays dans le monde, les Belges jouissent de tous les sites internet disponibles partout sans blocage géographique. Les sites de streaming comme YouTube et Dailymotion ne posent ainsi aucun problème. Forfaits Internet seul de Belgacom La musique La vidéo L’achat en ligne.

Le Parti Pirate Suisse s'insurge contre l'usage d'un cheval de Troie. Après l’Allemagne, la Suisse est à son tour touchée par une polémique sur un cheval de Troie installé par la police sur les ordinateurs des citoyens. Cette fois, nos voisins de l'autre côté des Alpes l’ont utilisé à quatre reprises dans le but d’arrêter des pédophiles. La méthode fait débat en Suisse, au point que le Parti Pirate Suisse (PPS) a décidé de porter plainte contre X cette semaine. Le problème n’est ici pas l’arrestation des personnes pédophiles, mais l’utilisation de logiciel intrusif sur des ordinateurs de personnes qui à la base ne sont que des suspects. Le doute sur une utilisation bien plus large que celle officiellement avouée (quatre cas) est forcément présent. « L’usage de ces programmes est abusif et trop intrusif » a ainsi dénoncé Pascal Gloor, le vice-président du PPS, qui s’est confié au site Lematin.ch.

La semaine dernière, le PPS s’était déjà indigné de la nouvelle et avait affirmé qu’il « en tirera toutes les conséquences ». Un flou juridique Nil Sanyas. Un projet de loi pour corriger la copie privée en France. Mise à jour 17 octobre 2011 : nos informations se confirment. Le projet de loi destiné à corriger le régime français de la rémunération pour copie privée est actuellement examiné par le Conseil d'Etat.

Selon l'agenda, il sera présenté en fin de mois d'octobre en Conseil des ministres. Restera à lui trouver une fenêtre de tir au Parlement. C'est la procédure d'urgence qui serait choisie afin d'écourter la phase des navettes législatives. De son côté la Commission copie privée poursuit ses travaux. Le 20 octobre prochain, elle a déjà prévu de poursuivre les "discussions sur les modalités de non-assujettissement des supports acquis à des fins professionnelles". Signe que le remboursement du professionnel sera bien conditionné par le respect de plusieurs "modalités", outre son statut.

Le texte sera discuté en principe au mois de novembre par l’Assemblée nationale et le Sénat afin de régler la question des biens professionnels au regard de la rémunération pour copie privée (RCP). 2012 : le ministère de la Culture offre 11 millions d'euros à l'Hadopi. La Hadopi avait anticipé un budget de 12 millions d'euros pour 2012. En juin 2011, la Rue du Texel réclamait une subvention de 12 millions d’euros du ministère de la Culture, somme jugée nécessaire « à l’accomplissement de [ses] missions en 2012 ». Finalement, le ministère de la Culture vient de faire quasiment droit à cette demande. Il accorde 11 millions d'euros à la Hadopi pour l'année 2012. Une somme qui viendra couvrir aussi bien la réponse graduée que ses autres missions (les cinq labs, mais aussi l'étude du filtrage, etc.). Hadopi : 11 millions d'euros de crédits pour 2012. Officiellement, le budget du ministère de la culture est en hausse.

C'est ce qu'assure le ministre Frédéric Mitterrand, qui indique qu'il sera doté en 2012 d'une enveloppe de 7,4 milliards d'euros, en augmentation de 0,9 %. Mais confronté à une inflation attendue autour de 2 %, c'est en réalité une baisse que subira le "pouvoir d'achat" de la Rue de Valois. La crise est là, et le budget 2012 du ministère de la Culture se contente en réalité de limiter la casse. "Les crédits destinés au livre, aux industries culturelles et aux médias sont stables, à 4,6 milliards d'euros, hors prise en compte de l'effort exceptionnel en faveur du passage à la télévision tout numérique", détaille le ministère.

Il indique que "la lecture, le livre et les industries" culturelles figurent dans les grandes orientations du budget 2012, et en particulier le "développement de l'offre légale et de la diffusion auprès des publics les plus larges". Hadopi déconseille le logiciel de filtrage non labellisé de la SCPP. L’Hadopi n’apprécierait pas trop que les ayants droit de la SCPP développent de leur côté un logiciel de filtrage. Elle vient d’adresser par voix de presse une curieuse « mise en garde contre le développement de technologies de reconnaissance des contenus et de filtrage en dehors du cadre prévu par la Loi », tout en appelant « à conduire ces travaux dans une démarche ouverte et transparente ».

Dans le même temps, par ricochet, Hadopi se porte garante de la neutralité et du respect de la vie privée... La Hadopi a pour mission de développer les spécifications fonctionnelles de ces logiciels ; elle supporte mal que le marché privé puisse ainsi l’oublier sur le trottoir de la Rue de Texel. « L’Hadopi s’attache avec vigilance à conduire sa mission dans le respect des équilibres voulus par le législateur, encouragement au développement de l’offre légale d’une part et protection des oeuvres auxquelles est attaché un droit d’auteur d’autre part ». Pour quels motifs ? Hadopi, Emma, Megaupload… la PUR analyse de Franck Riester. La taxe sur la publicité sur Internet supprimée par l'Assemblée. La fameuse « taxe Google », la taxe sur la publicité en ligne, n’a pas encore été mise en place qu’elle a déjà été éradiquée.

Initialement créée pour « rétablir la neutralité du marché publicitaire » selon le sénateur Philippe Marini, cette taxe de 1 % soutenue par Toubon et Sarkozy était particulièrement décriée. Un amendement de la députée UMP Laure de La Raudière, adopté à main levée par l’Assemblée nationale vendredi soir, vient cependant de clore le débat en supprimant ladite taxe. En attendant le Sénat. Cette nouvelle n’est qu’à moitié étonnante, tant les voix à l’encontre de cette taxe étaient en effet nombreuses.

. « Alors que la publicité représente environ 20% des revenus des plates-formes de commerce électronique, celle-ci représente pour la très grande majorité des acteurs du web 2.0, de 90 à 100% des revenus » notait ainsi déjà l’Association des services Internet communautaires début 2010. Nil Sanyas. Hadopi : les campagnes presse, les spots TV et les pubs radio. Campagne de pub Hadopi : hop, un concours de détournement. Google Wallet veut transformer votre téléphone en portemonnaie.

eG8 : Sarkozy promet aux auteurs de lutter contre le chaos démocratique. eG8 : le PS promet de revenir sur Hadopi en cas de victoire en 2012. Voilà pourquoi la CNIL a refusé de communiquer son avis HADOPI. Hadopi, la journalisation et la surveillance des salariés. Détournement du logo PUR de la Hadopi : les résultats. Les élèves bientôt sensibilisés à « l'Internet responsable » Humble Bundle : le retour des jeux dont vous choisissez le tarif.

La CNIL, l’Hadopi et la CADA (suite) La CNIL refuse de nous transmettre son avis sur le décret Hadopi. Pour Françoise Castex, la problématique ACTA, c’est du passé. Hadopi : Vivendi prépare le blocage du streaming et du DDL. iTunes obligatoire : la colère des journaux français. HADOPI : le rapport de la mission Hoog. Hadopi : la mIssion Riguidel, le brevet sur le DPI et Vivendi. Front uni des acteurs du web contre les taxes Marini. Biens culturels sur Internet : les Français pas encore prêts à payer. La Gendarmerie nationale migre tous ses PC vers Ubuntu. Le BIOS prend la porte et s'explique dans une interview. LOPPSI : le blocage des sites se fera (en principe) sans juge. ACTA : l'UE et les États-Unis veulent trouver un compromis. Game over pour le Musée du Jeu vidéo. UK : une taxe sur les FAI contre le piratage, évalué par DPI. Salon Solutions Linux 2010 : Interview de l'April.

Rennes va partager ses données publiques sur Internet - PC INpac. Menace sur le libre en Europe : lettre ouverte de l’APRIL - PC I. OpenSolaris : chronique d'une mort annoncée ? Le ministère de l'Intérieur italien défend le P2P et critique Ha. Le brevet des acteurs d’HADOPI qui marie sécurisation et DPI - P. La taxe Copie privée payée par les pro bientôt remise en cause ? Le Rebond de Libération devient une arme politique pro ACTA - PC. Sur le site gouvernemental Waka, casse-toi pauv' comm' - PC INpa. Google permet désormais de protéger vos recherches en SSL - PC I. Gros con, il pue, salope, les drôles de fichiers d'Acadomia - PC. « Éric Walter est venu chez moi (...) avec sa directrice de la c. TMG et HADOPI : les quatre délibérations de la CNIL. Tribune libre : Le full disclosure est un délit. Redevance TV étendue aux PC : le gouvernement est défavorable -