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ASIC : les acteurs du Web débattent de la neutralité du Net - PC. La neutralité du net sera décidément à l’honneur dès les premiers mois de l’année 2010. Une conférence intitulée Neutralité du Net : Quel réseau veut-on pour demain ? Sera organisée par l’Association des Services Internet Communautaires (ASIC) le 25 mars prochain. À propos de cette garantie anti discrimination, les acteurs du Web rappellent ainsi « qu’à l’occasion du vote de la loi sur la Fracture numérique en France, les parlementaires ont adopté une mesure demandant au gouvernement de leur remettre un rapport sur la question de la neutralité des réseaux de communications électroniques ».

Une manière pour l’ASIC d’apporter médiatiquement sa contribution à ce débat où les acteurs du web sont évidemment aux premières loges. L'ASIC regroupe Google, Yahoo, Priceminister, AOL, Exalead, eBay ou encore Wikimedia. Voilà les personnalités réunies pour l’occasion : Introduction : Neutralité du net : n’oublions pas l’intérêt du consommateur ! - Suite à son audition par l'ARCEP, Alain Bazot, président de l'UFC Que Chosir, a publié sur son blog un billet intitulé Neutralité du net : n’oublions pas l’intérêt du consommateur !

L'auteur nous a autorisé à reprendre ce contenu que nous reproduisons ci-dessous. Neutralité du net : n’oublions pas l’intérêt du consommateur ! J’ai été auditionné mardi par l’Arcep (l’autorité de régulation des télécoms) sur la question de la neutralité d’internet. La position que nous avons défendue se veut à la fois protectrice pour le consommateur, et pragmatique. En effet, les textes européens (le fameux Paquet Télécom), autorisent à présent les opérateurs à intervenir sur le contenu de leurs tuyaux –ce qu’on appelle le « traffic management ». Mais si le Paquet Télécom pose une première condition à ces pratiques -la transparence-, elle laisse la possibilité aux opérateurs d’agir comme bon leur semble, au risque de créer un internet à deux vitesses. HADOPI : 200 films surveillés, possible extension de la LOPPSI -

Le dernier numéro de Capital abrite un dossier à lire. Il porte sur le septième art, le « pillage du net » et Hadopi, loi qui « pourrait faire école » à l’étranger. L’article juge « impressionnant » le travail de l’ALPA, association de lutte contre le piratage audiovisuel, mais « toujours insuffisant ». On y ressasse le chiffre, visiblement inflexible, des « 450 000 films échangés sur le net chaque jour », qui fut répété ad nauseam par Christine Albanel lors des débats Hadopi.

Le retour de l'étude Tera v.1.0 Autre donnée apportée sur un plateau, l’étude de… Tera Consultants sur l’empreinte économique du piratage. Elle chiffrait à 605 millions d’euros le manque à gagner annuel pour la seule industrie du cinéma. Problème, passé sous silence : cette étude s’était basée sur les chiffres fournis par l’industrie elle-même, faute de temps.

TMG surveillera 200 films TMG travaillera aussi pour l’industrie de la musique, suite à un appel d'offres remportés. FUD ? La neutralité des réseaux s’invite dans la loi sur les jeux en l. Mise à jour mardi 6 avril : sans surprise, le projet de loi sur les jeux en ligne a bien été adopté hier par les parlementaires. Le texte a ainsi été adopté grâce à 299 voix pour, et 223 voix contre. Le groupe socialiste, radical et citoyen (SRC) a déjà annoncé qu'il comptait saisir le Conseil Constitutionnel. Ce texte devrait normalement être appliqué avant l'ouverture de la Coupe du monde de football, soit avant le 11 juin prochain. Mise à jour mercredi 31 mars à 14h26 : les députés analysent depuis hier le projet de loi sur les jeux en ligne. On pourra suivre les débats en direct sur cette page (à 15h30 après les questions,et ce soir, 21h30). Une attention toute particulière devra être portée sur l'article 50 sur le blocage des sites non agréés (voir ci-dessous).

Première diffusion mardi 30 mars 2010 à 10h51 Le projet de loi sur les jeux en ligne fait son retour demain à l’Assemblée nationale, après avoir été validé et amendé par le Sénat. Blocage d'accès et déréférencement des moteurs. Le Sénat veut durcir et généraliser le délit d’usurpation d’iden. Dans le train d’amendements déposés en Commission des lois autour du projet LOPPSI, un autre texte signé du rapporteur Jean Philippe Courtois veut modifier le fameux délit d’usurpation d’identité. Voilà la version proposée : « Le fait d’usurper l’identité d’un tiers ou une ou plusieurs données de toute nature permettant de l’identifier en vue de troubler sa tranquillité ou celle d’autrui, ou de porter atteinte à son honneur ou à sa considération, est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 euros d’amende. Cette infraction est punie des mêmes peines lorsqu’elle est commise sur un réseau de communication au public en ligne ».

Dans ses explications de textes, le sénateur vante les mérites de cette version : elle clarifie d’une part la rédaction de ce délit, selon lui. Comment ? En substituant les termes d’ « usurper » à ceux de « faire usage », choix qui fut celui des députés. Autre chose : on voit que cette rédaction généralise ce délit. Le charme de cette ambivalence ? Le blog Bluetouff pilonné par un DDoS après ses critiques contre. Peut-on tout dire sans risque vis-à-vis de Wawa-Mania ?

Visiblement non. Le blog Bluetouff a été contraint de baisser pavillon après une attaque DDOS. Depuis, la page d’accueil frappe l’œil d’un « none », mais l’attaque se poursuit et vise par ricochet d’autres sites professionnels hébergés au même endroit… Retour sur un détestable épisode. Les origines de cette attaque sont à raccrocher à l’affaire Wawa-Mania.

Au fil du reportage, une distribution de gros coup de pied dans les fesses de l’industrie de la Culture : « la culture pour tous », une HADOPI bien inutile avec des serveurs basés à l’étranger, etc. Voilà une sacrée cuisine : une board, des revenus tirés d’échanges hors marché, et une procédure. L’affaire a d’abord connu un nouveau rebondissement il y a quelques jours avec « la prise » de l’ALPA. C’est là qu’intervient le blogueur BlueTouff, Olivier Laurelli. La victimisation de Wawa Mania m'énerve Bluetouff ne s’arrête pas là. Attaque par déni de service contre Bluetouff.com.