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3D print- impression 3D

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Nasa tests 3D-printed rocket engine fuel injector. 15 July 2013Last updated at 08:24 ET Nasa says 3D printing could one day be used by astronauts to make replacement parts Nasa has announced it has successfully tested a 3D-printed rocket engine part. The US space agency said that the injector component could be made more quickly and cheaply using the technique. The part is used to deliver liquid oxygen and hydrogen gas to an engine's combustion chamber. The news follows General Electric's revelation that it planned to use 3D printing technology to make fuel nozzles for its jet engines.

Nasa said that California-based Aerojet Rocketdyne had made the injector using a method called selective laser melting (SLM). The technique involves turning a computer-designed object into a real-world part by controlling a high-powered laser beam which melts and fuses thin layers of metallic powders into the preordained shape. SLM is not the only unusual manufacturing technique being explored by Nasa. Design competition. Un appareil photo Reflex 100% Open Source imprimable en 3D. Vous trouvez que les appareils photos Réflex sont chers ?

Procurez-vous donc une imprimante 3D et imprimez votre appareil photo Réflex 100% Open Source Ce projet baptisé OpenReflex 3D Printed Camera permet d’utiliser des objectifs standards, en utilisant un miroir pour la visée et une pellicule de 35 mm (comme sur les bons vieux appareils photos à l’ancienne). Le rendu des photos est d’ailleurs plutôt sympathique, avec une touche Vintage qui a un certain charme (non cela n’a rien à voir avec les filtres d’Instagram !) : Sachant que nous n’en sommes qu’au tout début du projet, j’imagine que cet appareil photo Réflex Open Source va vite s’améliorer et nous permettre de prendre des photos de qualité pour un prix dérisoire. L’impression 3D offre vraiment des possibilités intéressantes… Source. Microsites.lomography. 3D-printing with liquid metal at room temperature | Crave. Somewhere on campus at North Carolina State University, an interesting thing happened.

Researchers took a liquid metal alloy of gallium and indium at room temperature and made more than just a puddle. They made a 3D figure. They made a wire. They even made tiny letters. The researchers have spent years developing a method of 3D-printing liquid metal at room temperature. The process uses a syringe needle to dollop tiny spheres of metal together.

The extruded wires are both flexible and stretchable, opening up possibilities for 3D-printing connections between electronic components. One of the researchers discussed the project on Reddit, saying, "The part that's so cool (from a scientific standpoint and really why we got a paper out of this) is that liquids don't behave this way normally. The incredibly thin oxide layer, however, seems to be working quite well. Un Photomaton imprimante 3D vous imprime en miniature. Un Photomaton imprimante 3D vous imprime en miniature Après le Omote 3D Shashin Can, le premier photomaton 3D japonais, c’est au tour du studio allemand TWINKIND de proposer un Photomaton Imprimante 3D capable de créer des sculptures miniatures et réalistes ! Après vous avoir scanné en 3D grâce à un système de caméras multiples, TWINKIND imprime une figurine 3D miniature de vous même, en couleur avec des détails impressionnants.

Il faudra par contre débourser un minimum de 225€ pour obtenir une figurine à votre effigie… Mais si vous préférez, vous pouvez aussi vous imprimer en bonbon gélatine 3D ou avoir votre visage imprimé en 3D sur un distributeur de PEZ ! Via TWINKIND. Le Premier Photomaton 3D du monde est japonais et vous imprime en miniature ! – Omote 3D Shashin Can. Le Premier Photomaton 3D du monde est japonais et vous imprime en miniature !

– Omote 3D Shashin Can Le “Omote 3D Shashin Can” est le premier photomaton 3D du monde ! Ce gadget, japonais forcement, vous scanne en 3D et imprime des versions miniatures de vous même grâce à une imprimante 3D ! Le “Omote 3D Shashin Can” est installé dans la galerie Eye Of Gyre à Harajuku (Omotesando, Tokyo) jusqu’au 24 janvier 2013. Omote 3D Shashin Can / Eye of Gyre / via. Au tour des micro-batteries d'être imprimées en 3D. Medical. Une imprimante 3D sauve la vie d'un bébé. C'est une première dans le monde médical. Le petit garçon souffrant de graves problèmes respiratoires, des chercheurs américains ont imprimé une mini-attelle et l'ont directement implantée dans le corps de l'enfant.

L'intervention s'est déroulée aux Etats-Unis, mais le logiciel est belge. Kaiba, c'est le nom du petit garçon, le premier être humain a recevoir un traitement fabriqué par une imprimante 3D. Six semaines après sa naissance, il n'arrivait plus à respirer, sa trachée s'étant refermée. April Gionfrido, la maman du petit Kaiba confie avoir envisagé le pire : "On avait plus peur que jamais, on ne savait pas s’il s’en sortirait vivant ou s’il y avait des chances de le guérir. " Comme il n'y avait pas de traitement, des chercheurs du Michigan ont alors proposé d'utiliser une nouvelle technologie : l'impression en 3D. Aujourd'hui Kaiba a 18 mois. Un logiciel belge L'impression prend une journée complète car la machine fabrique l'objet couche par couche, grâce à un rayon laser. Grâce à l’impression 3D, le bon vieux plâtre devient moderne.

Se casser le bras, c’est déjà pénible. Mais il faut encore plus supporter un plâtre, gros, épais, malaisé, et qui ne sent pas très bon au bout d’un moment. Fort heureusement, l’impression 3D est arrivée. Jake Evill, fraîchement émoulu de l’Université de Wellington, a imaginé un nouveau type de plâtre baptisé Cortex, qui cumule les avantages. Non seulement il est léger, aéré, et pratique (on peut le masquer sous une chemise et prendre une douche avec), mais encore s’adapte t-il parfaitement à la blessure de son utilisateur. Grâce à l’impression 3D, il est en effet possible de fabriquer des « plâtres » à usage unique, à partir d’un scan 3D du bras du blessé. Le volume de nylon, la matière utilisée pour le Cortex, est plus dense au niveau de la blessure.