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Politique

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Gotcha! Adorable never-before-seen photo shows President Obama caught in the web of Spiderman (as played by one of his staffer's children) By Daily Mail Reporter Published: 19:20 GMT, 19 December 2012 | Updated: 07:45 GMT, 20 December 2012 This is President Obama as we have never seen him before - caught unaware as he walks out of the Oval Office by none other than Spider-Man - or at least a very mini version of Spider-Man. The intimate photograph taken by White House photographer Pete Souza shows the President joking around with one of this staffer's children, who - dressed up as the super hero - pretends to shoot a spider web at Obama - who in turn reacts by pretending he is caught up in the imaginary trap. It is just one of the many behind-the-scenes pictures Mr Souza takes every year which show a more down-to-earth and touching side of the man who has just been named as TIME's Person of the Year for 2012.

It is the second time he has had the honor in four years. Gotcha: President Barack Obama pretends to be caught in Spider-Man's web as he greets the son of a White House staffer in the Outer Oval Office in October. Un ministre payé en double | Faits divers et judiciaire. Cet article est réservé aux membres vip Pour poursuivre la lecture / mois * Taxes Incluses * Certaines conditions s'appliquent Contenu réservé VIP : Nouvelles exclusives Galeries photos Cartes interactives Vidéos exclusives Contenu des chroniqueurs Compléments d’information Vos privilèges VIP : Accès illimité à 100 % du contenu internet Application mobile pour appareils Android et iOS.

Offre valide pour 6 mois, pour les nouveaux abonnés seulement. Diminuer le pouvoir de l’argent. « Éloigner l'argent de la politique. Je pense que c'est ça que les gens veulent », disait récemment le ministre Bernard Drainville, de passage à l'Émission Larocque-Lapierre. Pour y arriver, M. Drainville veut limiter à 100 $ par personne les contributions politiques.

La logique, si je comprends bien, est la suivante : plus on peut donner d'argent à un parti politique, plus on peut influencer les décisions et actions des politiciens. Bien d'accord. N'est-cas pas également vrai, écrivait-il, que l'argent dépensé par nos politiciens pour influencer ou dicter nos actions en tant que citoyens (ou plus largement, pour acheter des votes) est aussi, en quelque sorte, une forme de corruption? Après tout, les sommes récoltées par les partis politiques sont minimes comparées aux milliards $ que les politiciens peuvent dépenser à leur guise une fois élus... Corruption, version « soft » En fait, on devrait plutôt parler de corruption « soft ». S.O.S. gaspillage? Des livres et des valises. Dans la catégorie « on nous prend pour des idiots », cette nouvelle, en début de semaine : le gouvernement Marois veut fixer un prix plancher sur les nouveaux livres vendus au Québec. Pour empêcher que les Costco ou Wal-Mart de ce monde puissent nous vendre certains livres en dessous d'un prix donné.

Regardez autour de vous. Le prix d'à peu près tout grimpe. Mais quand il y en a un qui baisse, comptez sur nos politiciens pour le faire monter! Mais surtout : selon l'Association des libraires du Québec (ALQ), qui a fait pression sur les partis politiques pour obtenir cette réglementation, le consommateur sera « gagnant ». Oui, oui. La logique est la suivante, selon la directrice générale de l'ALQ : « on pense à tort qu'on va payer plus cher nos livres s'il y a une loi, mais s'il n'y en a pas, c'est ce vers quoi on se dirige et ça va être encore pire parce qu'on n'aura plus aucun contrôle sur le prix des livres dicté par les grandes multinationales ».

Ah... ces méchantes multinationales! » Pub et commerce en ligne : l’idée des taxes réapparaît. Le village des (vraies) valeurs. Connaissez-vous Peace Village ? Il s’agit d’une enclave islamique de 3 000 habitants située à une cinquantaine de kilomètres au nord de Toronto. Une sorte d’enclos pour musulmans originaires du Pakistan, où toutes les rues mènent à la mosquée. Le 18 mars dernier, le journal français Le Figaro a publié un reportage sur Peace Village. Non seulement y trouve-t-on la plus grosse mosquée du Canada, mais toutes les maisons respectent les préceptes de l’Islam. Par exemple, dans les salons, des portes coulissantes permettent de séparer les hommes des femmes. Le journaliste du Figaro a tenté de parler à des femmes voilées qui se promenaient dans les rues du village, mais il a éprouvé quelques difficultés.

Comme lui ont expliqué deux gaillards qui semblaient surveiller les allées et venues des femmes, les étrangers ne sont pas les bienvenues dans cette enclave. « Il faut demander la permission pour parler aux gens et se promener… », lui ont-ils dit. Des Italiens vivaient à côté de Peace Village. L'État est malade.

Connaissez-vous la chirurgie bariatrique ? C’est ce qu’on appelle communément « se faire brocher l’estomac ». Les gens qui souffrent d’un problème d’obésité morbide et qui sont incapables d’arrêter de s’empiffrer ont recours à cette opération pour perdre du poids. C’est la solution du dernier recours. Le moyen ultime qu’on utilise quand tous les autres ont échoué. Eh bien, je crois qu’on est rendu là. Va falloir brocher l’estomac de l’État. Parce que si ça continue, c’est bien simple, il va exploser.

L’État est un robineux qui fait des promesses d’ivrogne, disait Michel Beaudry, l’autre jour. Toujours en train de nous dire qu’il a arrêté de boire, et toujours saoûl comme un cochon. « Donne-moi de l’argent, je te jure, je ne t’en demanderai plus, c’est la dernière fois, promis sur la tête des mes enfants, je vais me relever les manches, je vais me prendre en main et je vais me sortir de la misère… » On lui donne une couple de piastres et qu’est-ce qu’il fait avec ? C’est ça, l’État québécois. « Faire de la politique autrement »  Pour un politicien, être présent sur les médias sociaux, ça représente des risques, « mais on pense qu’il y a plus d’avantages que de risques [à] discuter en direct avec la population », ajoute M.

Legault, chef de la Coalition avenir Québec (CAQ). (Source Radio-Canada) Côté risque, il en sait quelque chose. Il vient de retirer à un de ses candidats le droit de se présenter dans une circonscription. Ce candidat avait traité les indépendantistes de racistes sur son compte Twitter. Voir des politiciens prendre l’habitude de gazouiller deviendra probablement plus commun. . « […] j’ai travaille ches Desjardins et pour la premiere fois de ma vie je me sentais NOIR = racisme des separatistes [sic] » (Source Le Devoir) C’est ce qu’on appelle faillir aux examens d’entrée. Avec le temps, ce genre de bourdes diminuera. Évidemment, toute bourde est immédiatement exposée sur la place publique. Est-ce pour autant une raison pour ne pas embarquer dans l’aventure? Politique autrement? Sortez vos carrés bleus ! Derrière l’attentat du Métropolis se cache une lutte qui dure depuis 1763 et qui a connu des fortunes diverses.

Dès les débuts de leur administration, les Anglais lâchent du leste, s’étant rendus compte, par l’entremise de leur gouverneur Guy Carleton (qui aurait pu donner des leçons de Realpolitik à Bismarck), qu’ils seraient incapables de maintenir leur emprise sur leur conquête sans la collaboration de nos ancêtres, les « Abitants ». En 1774, ils adoptent donc l’Acte de Québec qui, s’il ne contient aucune disposition linguistique, accorde entre autres de façon implicite aux Canadiens de langue française le droit d’utiliser le français dans la pratique de leur religion et dans les cours de justice pour les affaires civiles, par le jeu de l’article 8.

Et c’est là que l’enjeu linguistique refait surface de la façon fracassante dont nous avons tous été les témoins atterrés mardi soir dernier. Sortez vos carrés bleus ! DE DROITE OU DE GAUCHE? UN TEST POUR VOUS SITUER SUR L'ÉCHIQUIER POLITIQUE. Brûler pour ne pas s’éteindre. La grève, enfin, le boycottage, euh, la chienlit qui sévit depuis onze longues semaines déjà s’enlise aussi dans des débats sémantiques. Dénoncer, par exemple, est-ce exactement la même chose que condamner, désapprouver, critiquer ou proscrire ? Et combien de synonymes faut-il aligner pour convaincre de la sincérité dans l’interdit de la violence ? Et la violence, au fond, qu’est-ce que c’est et qui la porte ? La racaille qui n’étudie peut-être pas mais en profite pour casser de la vitrine et de la police ? La cavalerie prête à charger ? Le ministre de la Sécurité publique qui menace de déposer des accusations contre le leader étudiant Gabriel Nadeau-Dubois ?

Les disputes convergent autour de la notion-clé de « désobéissance civile » . « Il va falloir faire des compromis, il va falloir regarder la situation dans son ensemble, a déclaré le maire au journal télévisé de Radio-Canada, jeudi soir. Transgression délibérée Reprenons. Et la violence, alors ? Le désordre moins le pouvoir M.

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