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Livre numerique, etc...

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Pas de quartier contre les pirates du livre électronique ! | Rue89. La lecture masquée (Steve & Jemma Copley/Flickr). Malgré un réveil tardif des éditeurs, l’offre sur le marché du livre électronique commence peu à peu à s’étoffer. Longtemps critiqués pour leur immobilisme, devancés par Google et ses projets de numérisation à tout-va, les éditeurs se lancent dans l’ère du numérique. La presse économique nous vante les exploits du groupe Hachette, cet ex-éditeur devenu financier, rachetant il y a quelques mois Numilog, premier agrégateur de livres numériques francophones et son catalogue de quelque 50 000 titres. Le portail ePagine.fr se targue de proposer un éventail d’environ 3 000 titres piochés parmi ceux offerts par les pontes de l’édition traditionnelle -Gallimard, Le Seuil, Flammarion... Cet engouement n’est pas sans rappeler celui des Compact Discs au milieu des années 80 : les principaux acteurs du secteur se frottaient les mains, voyant dans le CD un support parfait sur le plan qualitatif, et surtout, pas cher et facile à produire...

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«Le Web se trouve sous la main» L’écrivain François Bon, pionnier du web littéraire, a ouvert en 2008 une coopérative d’édition de textes numériques contemporains, Publie.net. Cet adepte de la créativité liée aux nouvelles technologies ne se sépare plus de son iPad. Il explique pourquoi. Quel est l’avantage d’une tablette tactile? L’iPad est idéal comme objet de lecture des contenus internet. Au lieu d’aller jusqu’à l’ordinateur, le Web se trouve sous la main. L’objet a une vitesse rapide d’interprétation du Web et il permet une lecture dense. Vous lisez sur iPad ? L’année dernière, j’étais professeur invité à l’université Laval de Québec et à l’université de Montréal.

Comment voyez-vous l’offre de contenus ? Côté classiques, le lecteur peut notamment trouver 33 000 titres numériques gratuits sur le projet Gutenberg [bibliothèque en ligne créée en 1971 aux Etats-Unis, ndlr]. Quid de l’iPad pour lire la presse ? Je lisais Libé le matin et Le Monde l’après-midi. Pourquoi Publie.net ? Frédérique ROUSSEL. C Semantic Web Activity. The Semantic Web is a web of data. There is lots of data we all use every day, and it is not part of the web. I can see my bank statements on the web, and my photographs, and I can see my appointments in a calendar.

But can I see my photos in a calendar to see what I was doing when I took them? Can I see bank statement lines in a calendar? Why not? The Semantic Web is about two things. See also the activity news for an account of recent events, publications, etc. The following groups are part of the Semantic Web Activity. Active Groups Semantic Web Coordination Group The Semantic Web Coordination Group is tasked to provide a forum for managing the interrelationships and interdependencies among groups focusing on standards and technologies that relate to this goals of the Semantic Web Activity. RDFa Working Group RDF Working Group The mission of the RDF Working Group, is to update the 2004 version of the Resource Description Framework (RDF) Recommendation. Linked Data Platform Working Group. Web sémantique. Logo du W3C pour le Web sémantique Le Web sémantique, ou toile sémantique[1], est une extension du Web standardisée par le World Wide Web Consortium (W3C)[2].

Ces standards encouragent l'utilisation de formats de données et de protocoles d'échange normés sur le Web, en s'appuyant sur le modèle Resource Description Framework (RDF). Le web sémantique est par certains qualifié de web 3.0 . Alors que ses détracteurs ont mis en doute sa faisabilité, ses promoteurs font valoir que les applications réalisées par les chercheurs dans l'industrie, la biologie et les sciences humaines ont déjà prouvé la validité de ce nouveau concept[5]. L'article original de Tim Berners-Lee en 2001 dans le Scientific American a décrit une évolution attendue du Web existant vers un Web sémantique[6], mais cela n'a pas encore eu lieu. En 2006, Tim Berners-Lee et ses collègues ont déclaré : Cette idée simple… reste largement inexploitée.[7] Histoire[modifier | modifier le code] — Tim Berners-Lee, Weaving the Web[13] Bruno Rives. Papier Electronique. Impact du numérique sur la lecture : colloques — Éducnet.

ARTESI. Vers une société de l'information en Ile-de-France Dans le cadre de la politique régionale, en associant ses partenaires et les acteurs régionaux publics et privés, ARTESI Ile-de-France favorise l'émergence de la société de l'information en Ile-de-France et contribue à l'appropriation des technologies de l'information et de l'internet.

Organisme associé du Conseil régional, ARTESI Ile-de-France est une agence de développement des TIC à l’écoute et au service des territoires. Elle exerce une mission d’animation spécialisée auprès des collectivités locales franciliennes pour les accompagner dans le processus d’appropriation des technologies de l’information et de la communication à des fins de service public. En 1998, ARTESI Ile-de-France a orienté ses actions vers le développement des Nouvelles Technologies de l'information et de l'Internet (NTIC) en Ile-de-France et s'est fixée comme mission de promouvoir le développement des usages et des services internet au bénéfice des territoires. Labo BnF. Tebaldo - Accueil. Google-BNF, le pacte des sous. C’était un des grands bastions de résistance aux velléités quasi hégémoniques de Google dans le domaine du livre. Et il est peut-être sur le point de céder.

La Bibliothèque nationale de France (BNF) serait, d’après le quotidien la Tribune de mardi, sur le point de signer un accord avec le géant du Web pour la numérisation de sa collection. Une grande victoire pour Google quand on se souvient de la virulence avec laquelle, en 2005, Jean-Noël Jeanneney, alors président de la BNF, avait combattu la firme américaine. Dans une tribune publiée par le Monde («Quand Google défie l’Europe»), puis dans un essai du même nom, il avait pris une position sans ambiguïté : il fallait numériser, mais sans se compromettre avec Google.

C’est Denis Bruckmann qui a allumé la mèche dans le quotidien économique. Du côté de la BNF, on explique s’être un peu étranglés à la lecture de la double page de la Tribune : «Il n’y a aujourd’hui vraiment rien de concret de ce côté-là. Lire les réactions à cet article. Inéquitables droits du livre numérique. LE MONDE | • Mis à jour le | Par Paul Fournel, Cécile Guilbert, Hervé Le Tellier, Gérard Mordillat et Gilles Rozier, écrivains Nous tombons bien souvent d'accord, cher éditeur et ami, lorsque nous discutons littérature, mais je dois te parler ici d'une chose qui fâche : l'argent.

En France, le sujet est tabou et le mot indécent dès qu'il ne s'agit pas d'un titre de Zola. C'est que je viens de recevoir ton "avenant au contrat" concernant les "droits numériques". Pour ceux qui viendraient à tomber sur notre échange (que je tiens à garder confidentiel), je précise que les droits numériques sont ceux que je perçois lorsque mon livre quitte le monde du papier pour celui de l'écran, et qu'il est lu sur un iPad ou un Kindle.

Interrogé, tu m'as répondu, rassurant, que ce marché est embryonnaire. Donc, dans ton "avenant au contrat", tu me proposes ces 10 % de droits sur mon livre numérisé. David contre Goliath.