Javier Faus évoque la question des droits TV en Liga. Ecofoot.fr > Droits TV > Javier Faus évoque la question des droits TV en Liga Droits TV Published on février 6th, 2014 | by Anthony Alyce EmailShare Le vice-président du FC Barcelone a abordé publiquement cette semaine la question des droits TV.
S’il est prêt à rediscuter les accords de redistribution des droits TV en Liga, il appelle également à des aménagements pour que le FC Barcelone ne soit pas lésé dans ce deal. Xavier Faus, vice-président du FC Barcelone en charge des dossiers économiques, a attendu la fin de la tourmente autour du club catalan pour prendre la parole au sujet des droits TV. Aujourd’hui, le système de répartition des droits TV en Liga est certainement le plus inégalitaire d’Europe. Le FC Barcelone est prêt à rediscuter la répartition Xavier Faus veut des réformes structurelles pour limiter l’impact financier Tout d’abord, Javier Faus souhaite augmenter le nombre de participants concernant la Ligue des Champions.
Google Plus Rating: 10.0/10 (1 vote cast) About the Author. Quelle est la répartition des droits TV de Premier League ? Ecofoot.fr > Droits TV > Quelle est la répartition des droits TV de Premier League ?
Droits TV Published on juillet 23rd, 2014 | by Anthony Alyce EmailShare Le championnat de Premier League perçoit les montants de droits TV les plus importants des championnats majeurs européens grâce à la surenchère livrée par les opérateurs locaux et la notoriété du championnat à l’international. Comment la Premier League redistribue-t-elle cette manne financière que représentent les droits TV ? A l’issue de la saison 2013-14, les différents clubs de Premier League ont perçu concrètement les effets de l’inflation des droits TV domestiques.
La répartition des droits TV dans le championnat de football espagnol (liga BBVA) : Barça et Madrid plus en tête que jamais ! © gauche-anticapitaliste.ch (Caricature de “Subito” modifiée)Avec l’article « Géopolitique du ballon rond » finement rédigé par notre ami Stefan Renna, nous avons pu constater la place prépondérante qu’occupe le sport roi dans notre société.
A tel point qu’une récente étude menée par le cabinet d’audit Deloitte affirme que le football représente la 17ème économie mondiale avec un PIB avoisinant les 500 milliards de dollars.1Le football est et doit avant tout rester un sport mais, dans les faits, celui-ci rime toujours plus avec business.Le sujet que nous vous proposons de traiter concerne la répartition des droits de télévisons dans le championnat à la mode, à savoir la Liga espagnole BBVA. . © damefobal.com[2] Vidéo youtube : Loi sur le sport professionnel: Benfica bouge l’ordre établi des droits TV. Les clubs sont de plus en plus à la merci des diffuseurs acheteurs de droits sportifs.
Cela pose problème économiquement pour les clubs qui en dépendent. Aujourd’hui la plupart d’entre eux ne réussissant pas ou n’essayant pas de diversifier leurs sources de revenus se retrouvent piégés dans un système ou les acheteurs diffuseurs du spectacle sportif imposent de plus en plus leur prix qui tend à stagner sinon baisser, comme pour la Ligue 1 notamment. Ce fut également le cas au Portugal avec la SuperLiga ou le principal diffuseur Sport TV, une chaîne par abonnement du renégocier son contrat avec les principaux clubs du championnat ; Benfica, Porto et Sporting.
A noter qu’au Portugal la négociation des droits n’est pas mutualisée et les chaines négocient directement avec les clubs. Un système favorisant les clubs européens au détriment des autres … Puisque les trois clubs sont supportés par neuf personnes sur dix au Portugal, tout le monde est satisfait, ou presque.
Pourquoi ces écarts de droits TV entre clubs européens - Cout Franc. Ou pourquoi les écarts de droits TV en Europe font que le champion de Ligue 1 gagne moins que le dernier de Premier League… Une situation qui ne va pas aller en s’améliorant.
La comparaison revient à chaque fin de saison. Parfois, les classements varient, mais le propos reste similaire. Un qualifié français pour la Ligue des champions touche moins de droits TV qu’un relégable anglais… Une manière pas si détournée que cela de souligner que les clubs français manquent de moyens financiers. Pour la saison 2012-2013, c’est carrément le champion, le Paris Saint-Germain (44,1 M€), qui gagne moins que le dernier de Premier League, QPR (46,7 M€) !