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Plan loup: une association dépose un recours devant le Conseil d'Etat. Un loup photographié le 13 novembre 2012 dans le parc du Mercantour, à Saint-Martin-Vésubie© AFP/Archives Valery Hache Mende (AFP) – Le Collectif des éleveurs de la région des Causses, de la Lozère et leur environnement (Cercle) a déposé un recours devant le Conseil d’État contre les trois arrêtés nécessaires à la mise en œuvre du plan loup 2013-2017, a-t-on appris dimanche auprès de l’association à Hures La Parade (Lozère). Dévoilé en février, le plan loup a été signé par les ministères de l’Écologie et de l’Agriculture. Ce plan encadre la protection du loup, animal protégé, mais prévoit les conditions permettant d’en abattre dans certaines zones en cas de menaces avérées pour les troupeaux. L’un des arrêtés fixe à 24 le nombre maximum des loups dont la destruction pourra être autorisée pour la période 2013-2014, contre 11 pour 2012-2013.

Entre 2008 et 2012, seuls sept loups ont été tués. La justice interdit les tirs de loups lors de chasses. Un loup photographié le 13 novembre 2012 dans le parc du Mercantour, dans le sud-est de la France© AFP/Archives Valery Hache Nice (AFP) – Le tribunal administratif de Nice a donné raison vendredi à trois associations de défense des animaux sauvages, qui réclamaient l’annulation d’une autorisation préfectorale accordée aux chasseurs de tuer des loups lors de battues au grand gibier. Selon le jugement obtenu par l’AFP, la préfecture des Alpes-Maritimes doit immédiatement cesser d’autoriser ce type de chasse dans les sept zones qui avaient fait, à la mi-septembre, l’objet de cette autorisation inédite. Jusqu’à présent les opérations de « tirs de prélèvements » de loups se faisaient sous la supervision de fonctionnaires de l’Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), éventuellement avec l’aide de chasseurs bénévoles formés.