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La Chine demande à Obama de ne pas recevoir le dalaï lama | Monde. La Chine a exhorté le président américain Barack Obama à annuler sa rencontre prévue avec le dalaï lama, chef spirituel des Tibétains et bête noire du régime communiste chinois. « La Chine est fermement opposée » à cette entrevue, a indiqué dans un communiqué le ministère chinois des Affaires étrangères. « Nous exhortons les États-Unis à prendre en compte de façon sérieuse l’inquiétude de la Chine et à immédiatement annuler la rencontre prévue ». L’entretien prévu plus tard vendredi à la Maison Blanche entre M. Obama et le dalaï lama serait une « grossière ingérence dans les affaires intérieures de la Chine », a ajouté le ministère, en précisant avoir exprimé aux autorités américaines les « protestations solennelles » de la Chine.

Une telle rencontre « aura de graves conséquences négatives sur les relations sino-américaines », a ajouté le ministère chinois des Affaires étrangères. La Maison Blanche avait annoncé plus tôt que M. Obama prévient: l'espionnage va continuer, mais Merkel sera épargnée. International Nous allons continuer à espionner: après avoir annoncé vendredi une réforme limitée des opérations de surveillance, le président américain Barack Obama a enfoncé le clou samedi dans une interview à une télévision d'Allemagne, où les révélations sur des écoutes font scandale depuis des mois. Tout juste a-t-il concédé à l'égard d'Angela Merkel que ces activités seraient telles qu'elles n'affecteraient pas leurs relations, alors qu'un portable de la chancelière aurait été écouté par la NSA selon Edward Snowden, l'ancien consultant de cette agence de renseignement qui distille depuis l'été des documents.

"Tant que je suis président des Etats-Unis, la chancelière allemande n'aura pas à s'inquiéter", a dit M. Obama dans cette interview à la chaîne publique ZDF enregistrée vendredi à Washington et diffusée samedi soir. Les Allemands sceptiques Une affirmation en droite ligne avec les annonces faites vendredi à Washington.

Berlin veut un accord de non-espionnage Et M. Mexique: les forces fédérales face aux milices et aux narcotrafiquants. Les forces de sécurité mexicaines, armée et police fédérale, ont repris l'initiative mardi dans l'Ouest du Mexique face aux narcotrafiquants, dont elles ont occupé une ville-bastion, et aux milices d'autodéfense qu'elles désarment au risque de violences faisant au moins un mort. Policiers et militaires ont désarmé mardi la police municipale d'Apatzingan dans le Michoacan (ouest) et pris le contrôle du principal fief bastion des narcotrafiquants dans cet État livré à la violence et encerclé depuis la semaine dernière par les milices d'autodéfense.

Plus de 200 éléments du dispositif de sécurité fédéral déployé au Michoacan occupent depuis l'après-midi de mardi le centre historique d'Apatzingan (120.000 habitants), appuyés par des unités blindées, a constaté l'AFP. Le gouvernement fédéral a renforcé depuis lundi son opération de sécurité mise en place au mois de mai au Michoacan à la suite d'affrontements entre narcotrafiquants et milices d'autodéfense. "L'armée doit se maîtriser" L’inévitable réforme de la NSA. QUÉBEC • Les valeurs en débat. Etats-Unis: de nouvelles sanctions contre l'Iran tueraient toute perspective d'accord. Washington - L'imposition de nouvelles sanctions contre l'Iran par le Congrès américain alors que des négociations sont engagées sur son programme nucléaire «tuerait» toute perspective d'accord avec Téhéran, a jugé jeudi l'ancien secrétaire américain à la Défense Robert Gates.

«Le président (Obama) a absolument raison de s'opposer à des sanctions additionnelles maintenant (...) Voter de nouvelles sanctions maintenant tuerait tout accord», a déclaré l'ancien ministre (2006-2011), figure respectée de l'ensemble de la classe politique américaine. «Aussi difficile que cela puisse paraître aux gens, ce à quoi nous sommes peut-être en train d'assister, c'est au succès des sanctions» déjà mises en oeuvre et qui ont conduit les Iraniens à la table des négociations, a-t-il expliqué lors d'une rencontre organisée par le journal Politico dans le cadre d'une tournée de promotion de ses Mémoires. L'ancien chef du Pentagone a jugé que la «pente est raide» pour parvenir à cet accord. Espionnage: Obama dévoile sa réforme des programmes de surveillance. Washington - Barack Obama a annoncé vendredi son intention de rogner les pouvoirs de l'agence de renseignement NSA en réformant la collecte de données téléphoniques, sans pour autant y renoncer, et en promettant de ne plus espionner les dirigeants de pays amis.

«Etant donnés les pouvoirs uniques du gouvernement (américain), il n'est pas suffisant pour ses dirigeants de dire +faites-nous confiance, nous n'abusons pas des données que nous récupérons+», a concédé le président, dans un discours de près d'une heure tièdement accueilli par les défenseurs de la vie privée. Depuis qu'Edward Snowden, ancien consultant de la NSA réfugié en Russie, a commencé à dévoiler l'été dernier l'étendue des programmes de surveillance, la Maison Blanche s'est retrouvée sur la défensive, aussi bien aux Etats-Unis que face à des dirigeants étrangers outrés d'avoir été espionnés. Soucieux de rétablir la confiance, M. «Je pense qu'une nouvelle approche est nécessaire. L'UE attend encore des actes concrets. La Maison Blanche publie un résumé des conditions de l'accord avec l'Iran.

Washington - La Maison Blanche a publié jeudi un résumé des conditions de mise en oeuvre de l'accord intérimaire sur le nucléaire signé par les grandes puissances avec l'Iran en novembre, et qui prendra effet lundi. Ce texte de «considérations techniques» comprend un échéancier pour les inspections des installations nucléaires iraniennes par l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA). Il contient aussi un calendrier de versements à l'Iran, pour un total de sept milliards de dollars, soit le dégel d'avoirs iraniens dans le cadre d'un allègement des sanctions en échange d'un gel de certains éléments du programme nucléaire de la république islamique.

La plupart des données publiées jeudi avaient déjà été mentionnées dans des points de presse de l'administration après la conclusion de l'accord, et les conditions d'application ont été fixées lors de négociations la semaine dernière à Genève. «L'AIEA souhaite maintenir secrets certains aspects de cet accord», a souligné M. Etats-Unis: premier revers judiciaire pour le programme de surveillance de la NSA. Washington - Un juge fédéral d'un tribunal civil de Washington a lundi infligé un revers au programme de surveillance de la NSA, estimant que la collecte de métadonnées du téléphone d'un particulier constituait une «atteinte à la vie privée» et mettant en doute sa constitutionnalité.

Dans une cinglante injonction préliminaire consultée par l'AFP, le juge Richard Leon qualifie la collecte à grande échelle des métadonnées téléphoniques (numéros appelées, durée des appels...) sans feu vert préalable de la justice d'«atteinte à la vie privée». La technologie qui régit le programme de surveillance est «quasi-orwellienne», s'échauffe-t-il encore. «Il est évident qu'un tel programme empiète» sur les valeurs défendues par le quatrième amendement de la Constitution américaine relatif à la protection de la vie privée, écrit le juge Leon. Le gouvernement devra également détruire toutes les métadonnées de MM. Klayman et Strange qui ont déjà été collectées. M. Sécurité nationale et liberté individuelle.