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Anthopologie, etnologie

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1982 animaux. 1982 animaux. Il y a une chambre secrète dans la grande pyramide de Gizeh, et personne ne sait pourquoi.

Théorie de l'évolution et créationnisme

Le moi post-moderne. conséquences politiques et économiques d'une mutation. Hier, je vous ai présenté une revue universitaire américaine, The Hedhehog Review. Et le sujet du dernier numéro : « le moi post-moderne ». Il y aurait une mutation anthropologique en cours. L’âge ouvert par le livre (qu’on lit à voix basse dans un espace privé) laisserait la place à l’âge où s’expose en permanence aux regards d’autrui sur les réseaux sociaux. Oui, selon David Bosworth, nous traversons une époque de transition à laquelle serait comparable celle qui s’étend de la Renaissance aux débuts de l’âge classique. Sur le plan politique, l’ethos de la modernité faisait s’équilibrer, toujours selon Bosworth, deux personnages emblématiques, deux types humains. Car nos comportements sont profondément influencés par les collectifs au sein desquels nous sommes plongés du fait des réseaux sociaux. Trois explications étaient possibles : selon la première, on choisit, sur internet comme dans la vraie vie, des personnes qui nous ressemblent.

La détresse des veuves en Afrique : spoliées et mises au ban de la société. Du jour au lendemain, elles voient leur existence basculer. Elles se retrouvent plongées dans la solitude. Traumatisées et rejetées par leurs belles familles qui n’hésitent pas à les chasser de leur domicile conjugal. Charles Birregah est un expert-comptable togolais. Il est devenu un défenseur acharné des veuves au Togo. Charles Birregah est un expert-comptable togolais, devenu défenseur acharné des veuves dans son pays. Charles Birregah à Lomé le 11 mars 2017. «On la traite de sorcière» Les rites de veuvage sont particulièrement redoutés par toutes les veuves.

Des veuves togolaises réunies à Lomé par l'ONG FONDAGO à l'occasion de la journée internationale de la veuve le 23 Juin 2017.© Photo/FONDAGO Les codes de la famille en question Dans cet océan de détresse, un pays tente de sortir du lot. Charles Birregah appelle tous les pays concernés par ce drame à emboîter le pas au Gabon.

Comment les macaques à Bali rançonnent les touristes pour obtenir de la nourriture. Dans l’océan Indien, l'éthnocide de la tribu Jarawa, décimée par le tourisme. L'adoption entre espèces est un accident - Sciencesetavenir.fr. Ce jeudi 4 mai est une occasion pour les fans de Star Wars de célébrer la saga initiée par George Lucas. Cette journée de fête trouve l'origine de son nom dans la célèbre formule "May the Force Be With You", détournée pour l'occasion en "May the 4th Be With You" ! A cette occasion, nous vous proposons de relire cet entretien avec l'écoéthologue Pierre Jouventin, directeur de recherche émérite au CNRS, sur l'amitié inter-espèce... magnifiée dans La Guerre des étoiles par la relation Han Solo-Chewbacca !

Sciences et Avenir : On observe parfois d'étonnantes scènes d'adoptions inter-espèces. Comment expliquer de tels comportements ? Pierre Jouventin : L'adoption inter-espèces est un sujet intéressant, mais difficile, car il se trouve au carrefour de l'éthologie, de la science du comportement, et de l'éthique. Pour les militants de la cause des animaux, elle montre que ces derniers s'entendent tous, que la tendresse est un sentiment universel. L'adoption est-elle le propre des mammifères ?

« La société tend à s’organiser comme un cerveau » | Usbek & Rica. Plus qu’une troisième révolution industrielle ou qu’une crise écologique, l’époque que nous vivons est peut-être celle d’une métamorphose de l’humanité elle-même. À la croisée des neurosciences, de la sociologie et de l’anthropologie, Alain de Vulpian explique, dans son dernier ouvrage Éloge de la métamorphose (Saint-Simon, 2016), que nous pourrions être à l’aube d’un nouveau degré de conscience collective. Rencontre, dans son appartement parisien, avec un sociologue qui observe l’évolution de nos sociétés depuis plus de 60 ans. Usbek & Rica : Dans votre dernier ouvrage, vous annoncez l’entrée de l’humanité dans une nouvelle grande phase de son histoire.

Une société mondiale interconnectée serait en train d’émerger et l’humanité en tant qu’entité serait sur le point de développer une conscience propre. Oui, la société tend à se structurer comme un cerveau. Pour mieux comprendre cette métamorphose en cours, pouvez-vous nous en expliquer les racines ? L’hédonisme émerge. Complètement. Les "begpackers", ces touristes blancs qui font la manche en Asie du Sud-Est.

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Nous vous enverrons un lien pour créer un nouveau mot de passe {| moreInfoText |} « L’identité n’est pas essentielle, nous sommes tous des passants » Une nouvelle conscience planétaire émerge, qui se joue des appartenances et des frontières. Il est temps d’inventer une démocratie pour notre temps, estime Achille Mbembe, historien et philosophe. Le Monde | • Mis à jour le | Par Achille Mbembe (Historien et philosophe) Par Achille Mbembe, historien et philosophe Il n’y a pas longtemps, l’on prétendait délimiter avec plus ou moins de précision la frontière entre ici et ailleurs. Aujourd’hui, un tel exercice est futile. La frontière tend désormais à se distendre, sinon à se dissoudre. L’humanité a en commun le fait qu’il n’y a pas de monde, de société ou de communauté dont le fondement ne trouve son origine dans une idée ou une autre de la dette. Cette forme originaire de la dette nous place dans l’obligation de léguer à ceux et celles qui viennent après nous un monde autrement possible.

Lire aussi : Une Nuit des idées pour repenser un monde commun En vérité, ce que l’on appelle l’identité n’est pas essentiel. Forces obscures et perverses. D’Homo Sapiens… au transhumain : Qu’est-ce qu’être humains ? Le sommes-nous encore ? Le bestseller mondial de Yuval Harari, Sapiens : une brève histoire de l’humanité, qui en 500 pages embrasse pas moins que toute l’histoire de l’humanité est effectivement un livre à la fois fascinant et accessible. Sur la scène des conférences USI, où il le résume en 40 minutes, le frêle Yuval Harari l’est tout autant. Pourquoi sommes-nous devenus l’espèce dominante de la vie sur terre ? Comment avons-nous conquis le monde ? Il y a 100 000 ans, la terre était très différente de ce qu’elle est aujourd’hui. Les humains aussi. Homo Sapiens vivait en Afrique de l’Est. Il existait 5 autres espèces humaines. Image : Yuval Harari sur la scène d’USI. Comment l’imagination a-t-elle développé notre capacité à coopérer ?

Il y a 100 000 ans, les différentes espèces humaines étaient petites en nombre et leur impact sur l’écosystème était minime, pas plus signifiant que celui des abeilles, des piverts ou des méduses aujourd’hui. Quel est le secret de notre succès ? « Regardez les fleurs sauvages.