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Migrants de Calais & racisme

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Opération «coup de poing» de l’ultra-droite à Calais: 14 interpellations. Gaël Rougemont avait sorti un fusil pour menacer les migrants: légitime défense selon le Parquet - Faits divers. Menaces de mort suite à des posts de Gilbert Collard : Nord Littoral porte plainte contre des internautes. Journal de merde. J’espère qu’il va vous arriver comme à Charlie Hebdo en pire. Fils de pute. On va violer vos enfants », lâche Yoan Poulot. « Bande de fils de pute de journalistes. Vous méritez la guillotine. Notre journal a été la cible de plusieurs menaces de ce type sur les réseaux sociaux au cours des derniers jours. Ces attaques font suite aux publications de Gilbert Collard qui a dénigré la une de Nord Littoral du 29 janvier dernier, sur sa page Facebook et son compte Twitter. . « Cette presse est abjecte : la même chose a- t-elle jamais été écrite pour l'avocat d'un terroriste ? Résultats : des centaines de messages haineux sur Facebook et Twitter. « Bande d’enculés va !

Qu’a voulu dire Nord Littoral avec cette une si ce n’est que Gilbert Collard défendra gratuitement David et Gaël Rougemont s’ils devaient être inquiétés par la justice ? Gilbert Collard - Calais : Gaël Rougemont peut enfin... Dunkerque : aucun fait de délinquance en rapport avec les migrants. Ces derniers jours, de jeunes filles seules (mineures ou jeunes majeures) ont été victimes de vols avec violence commis par un individu dans le quartier de la gare à Dunkerque. Cinq plaintes ont été déposées entre le 21 et le 25 janvier pour des vols de téléphones portables à l'arraché, sans qu'heureusement personne ne soit blessé. Des faits qui alimentent les plus folles rumeurs sur la toile, notamment via Facebook et les pages anti-migrants qui y sont très actives. Une d'entre elles a accusé une équipe d'agresseurs avec à sa tête un "migrant de couleur noir" (sic), d'être les auteurs "ces trois dernières nuits" de ces agressions.

Précisant même que, dans ce contexte, "la BAC de Lille est arrivée en renfort" à Dunkerque. Ce contenu a depuis été effacé, peut-être parce qu'il ne relayait que de fausses informations. Un individu seul, et sans rapport avec les migrants A propos d'un possible renfort de la BAC de Lille dans la cité de Jean Bart... "Aucun acte de délinquance, aucune plainte" Calais : portrait du pseudo « riverain excédé », véritable skinhead néonazi. Amalgame avec les SDF, reprise de faits divers anciens : les hoax sur les migrants se multiplient. La crise des migrants continue d’inspirer de nombreux canulars et intox sur les réseaux sociaux. Nous avons déjà évoqué en début de semaine les dizaines de fausses photos circulant après les événements tragiques du Nouvel An à Cologne, en Allemagne. Il s’agissait le plus souvent de femmes agressées dans d’autres occasions, mais présentées comme des victimes du 31 décembre.

Lire aussi Cologne : de vraies agressions qui suscitent de fausses images Mais au-delà du fait divers de Cologne, d’autres fausses informations, souvent accompagnées de photos, ont circulé dans la semaine. L’instrumentalisation des SDF C’est un argument récurrent contre les migrants : ils sont accusés d’abuser de la solidarité nationale, au détriment des sans domicile fixe « français ». Prenons ce comparatif, qui circule beaucoup vendredi 14 janvier : Le montage de photos oppose le sort des SDF, condamnés à dormir dans la rue, au dispositif proposé aux migrants, des lits dans des gymnases.

Samuel Laurent. Migrants de Calais : des vidéos publiées par “Les Calaisiens en colère” sèment le trouble. "On est en France ici ! Allez y les gars, démontez les ! C'est la guerre ce soir. Attends, je vais chercher mon gun. J'ai un flash-ball chef, je peux l'utiliser ? " Voilà ce qu'on peut entendre distinctement sur une vidéo postée dans la nuit la nuit du 17 au 18 décembre sur la page Facebook du groupe "Les Calaisiens en colère". "Les Calaisiens en colère" débordés par des extrémistes venus d'ailleurs ?

A nos confrères de La Voix du Nord, Laurent, le porte-parole de ces "Calaisiens en colère", a revendiqué la paternité des vidéos, tout en minimisant les propos et les tirs entendus. « On voulait filmer l’ambiance pour montrer ce qui se passe. "Aider les CRS à repousser les "meutes" de migrants" Dans une autre vidéo, toujours sur sa page Facebook, le groupe remercie toutefois "les amis qui se déplacent de Lille, de Brest ou de Dieppe pour nous soutenir et nous aider".

L'action des "Calaisiens en colère" condamnée par les autorités "Une vraie milice qui sévit" Dunkerque : la situation des migrants crée des étincelles au conseil communautaire. Souhaiter la mort des migrants sur Facebook, c’est possible? Souhaiter la mort des migrants, c’est possible ? Des propos haineux signalés par notre journal n’ont pas fait l’objet de suppression nous indique Facebook. Le réseau social précise qu’ils n’enfreignent pas les standards de la communauté. Accusé par le collectif Faites de la Tolérance, créé par la député socialiste Brigitte Bourguignon, de ne pas en faire assez pour lutter contre « les propos racistes qui prolifèrent sur les réseaux sociaux, particulièrement sur fond de crise des migrants », Facebook en dit plus sur la modération Les rapports d’examen particulièrement troublants de Facebook Alors que nous avions signalé vendredi au réseau social deux commentaires haineux*, l’un sur la proposition de construire un camp de concentration pour les migrants, l’autre sur la joie d’une internaute de voir mourir des réfugiés, les rapports d’examen de Facebook nous ont particulièrement surpris.

Le rapport ajoute : « Veuillez nous informer si autre chose vous préoccupe. Grand coup de balai sur les «haineux» de la toile. En France, chacun peut constater sur Facebook un véritable déferlement de propos haineux et discriminants, confinant pour certains à l’appel au meurtre, largement relayés, le plus souvent sous couvert d’anonymat », note cruellement le collectif Faites de la tolérance. Créée par la députée socialiste du Pas-de-Calais Brigitte Bourguignon, il a lancé une pétition pour que Facebook s’engage contre la violence et le racisme sur son réseau social. Une pétition dans laquelle il interpelle Laurent Solly, le DG de Facebook France. « Facebook ne peut pas se dédouaner simplement sur la responsabilité des utilisateurs, compte tenu de la lourdeur des procédures de plainte, et de l’usage fréquent de pseudonymes », écrit le collectif sur la plateforme change.org. Alors que François Hollande a promis avant la fin de l’année une loi renforçant les sanctions pour les propos racistes et antisémites tenus notamment sur la toile, la députée comprendrait mal que la France soit en retrait sur ce terrain-là.

Non, un «réfugié politique» n’a pas droit à 700 euros par mois. INTOX. La rengaine d’intox sur les réfugiés n’est pas près de s’arrêter. Pierre Lellouche commence fort cette semaine en tapant sur les aides accordées aux demandeurs d’asile, censées être beaucoup trop élevées. Ce lundi, sur RMC, le député Les Républicains (LR) de Paris, qui s’était déjà fait attraper par la patrouille Désintox pour une salve d’âneries sur l’immigration, a fait part de ses difficultés à expliquer à une famille modeste pourquoi, «aujourd’hui, un réfugié politique en France a droit à 700 euros par mois».

«Ce n’est pas tout à fait vrai», a osé timidement Jean-Jacques Bourdin quelques secondes plus tôt, quand l’élu LR déclarait que «le dernier arrivé a droit à presque tout» alors qu’une personne modeste «n’a droit à rien». DÉSINTOX. Cette dernière était versée par Pôle Emploi aux demandeurs d’asile ne bénéficiant pas de place en Cada et disposant de ressources inférieures au RSA (524,16 euros pour une personne seule). Mais, depuis dimanche, ce système est simplifié. Migrants-de-calais-la-ville-veut-faire-demenager-une-ia33b48581n3121449#.ViyqjNO80Rq.

Mi-août, elles clamaient leur exaspération dans une vidéo diffusée sur Internet. Depuis, Nadine Guerlach, riveraine du chemin des Dunes, à deux pas de la « jungle », et sa fille sont devenues le symbole des Calaisiens en colère. Créé pour les soutenir, ce collectif s’insurge contre « l’insécurité due aux migrants ». Or, c’est justement « pour une question de sécurité » que la Ville, propriétaire du corps de ferme, souhaite faire déménager les deux femmes - la mère vit là depuis 45 ans tandis que la fille y dirige une entreprise de démolition depuis plus de dix ans. Le premier adjoint au maire Emmanuel Agius les a reçues mi-septembre « pour dire à la mère qu’elle ne pouvait plus continuer à vivre où elle est, pour sa sécurité. C’est une locataire de chez nous et nous pouvons l’aider à trouver un autre logement chez un bailleur social. » Seulement, les deux femmes refusent catégoriquement de partir : « Il est hors de question que je quitte ma maison, dit la mère.

«Ratonnades» en série chez les migrants de Calais. Mais que fait la police à Calais ? Neuf réfugiés ont été passés à tabac depuis juin, sept ont déposé plainte, mais aucune garde à vue, pas d’interpellation. Et encore, ce ne sont là que les cas connus des bénévoles qui soutiennent les migrants : tous ne signalent pas forcément les agressions dont ils sont victimes. La dernière, date du week-end du 26 et 27 septembre, dans une ville censée être ultra-sécurisée, avec 1 300 CRS, policiers et gendarmes déployés, selon Bernard Cazeneuve, ministre de l’Intérieur. Le scénario est toujours le même : d’après les témoignages recueillis, une voiture noire - a priori de marque Kia - avec deux hommes et une femme à bord, sillonne Calais. Chemin faisant, les personnes à bord choisissent une personne isolée, «toujours noire», souligne Lou Einhorn, psychologue à Médecins du monde, et la tabassent.

Des Soudanais et des Erythréens, jamais des Afghans ou des Syriens. Cheveux très courts Sauf que dans la nuit de vendredi à samedi derniers, rebelote. SIGNEZ!! Nous voulons lancer un grand cri de colère mais aussi de détresse pour Calais face aux répercussions sur notre ville de cet afflux migratoire incontrôlé et maintenu ici dans notre ville, un flux sans cesse croissant, les migrants sont en quête d'un eldorado britannique de plus en plus difficile à atteindre, les barrières s'érigent et Calais ressemble de plus en plus à un camp retranché ! Quelle image offre notre ville dorénavant dans les médias, une ville assiégée par les migrants où l'insécurité devient grandissante et qui fait fuir les touristes. Ce problème ne sera plus bientôt seulement à Calais, il se déplacera partout dans chaque ville ou village de France et vous concernera aussi, nous avons besoin du soutien de chaque Français et Française!!

Migrants : l'envers du décor que nos médias ne montreront pas. Nanterre : des SDF Français renvoyés d’un centre d’accueil pour accueillir 89 migrants. De Mike Borowski, Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer 18 juin 2015 3553 Vues Mike Borowski Rédacteur en Chef de La Gauche M’a Tuer La préférence étrangère n’est pas un fantasme dont l’objectif inavoué serait de la conquête de la France par le populisme. Pourtant des belles âmes progressistes nous font des procès en mensonge, elles ne veulent y croire, ou plutôt feignent de ne pas le voir.

Je n’invente rien, j’aimerais pouvoir créer de l’information venant de mon cerveau anticonformiste, malheureusement non. Mais revenons au sujet principal du texte et de la mise en œuvre de cette préférence étrangère tant brocardée, nous en avons la preuve dans des faits précis, je prends l’exemple des migrants arrivés sur Paris. Les migrants n’ont pas droit de site ici en France, et encore moins à la place de nos compatriotes. Seulement Hollande ne croit pas dans la France, les Français. Commentaires. A Calais, Marine Le Pen vient dénoncer les migrants... et préparer les régionales de 2015. FRONT NATIONAL - A la dernière minute, le rendez-vous avec la presse a finalement été fixé sur le parking de l’Hôtel de ville. Juste sous les fenêtres de la maire UMP de Calais qui a toutes les peines du monde à calmer l'exaspération de ses administrés face à l'afflux de migrants qui rêvent de rejoindre l'Angleterre.

Ce vendredi 24 octobre, la présidente du Front national Marine Le Pen se rend dans la capitale du Pas-de-Calais pour y dénoncer "la situation très grave que connaît la ville suite à l'afflux de centaines de migrants clandestins". L'occasion pour elle d'ériger la ville en symbole "du laxisme d'Etat et de l'effroyable politique d'immigration en France" ainsi qu'en Europe, dépassés par l'augmentation exponentielle de réfugiés politiques venus de Syrie, d'Afghanistan et d'ailleurs.

Renforts de police et impuissance Arrivée sur place aux alentours de 11h, Marine Le Pen a été accueillie par ses sympathisants et des manifestants anti-FN.