Mai 68 à l'ORTF : Une radio-télévision en résistance: Amazon.fr: Jean-Pierre Filiu, Jean-Noël Jeanneney. Mai 68 à l'ORTF - Une radio-télévision en résistance - Jean-Pierre Filiu - Nouveau Monde Editions - 9782847363173 - Cine Memento. Le Salon des Arts ménagers démocratise le réfrigérateur - 1949 - Économie. "Au début des années 1950, peu nombreuses étaient les familles qui avaient une télé." C'est correct. Voici pour le vocabulaire : Dans les années cinquante, peu nombreuses étaient les familles équipées d'un poste de télévision. Voici pour l'information : La télévision à ses débuts, dans les années 1950, existait plus comme procédé technique de communication que comme pratique sociale, réservée qu’elle était à une petite minorité de privilégiés capables d’acheter un récepteur.
Les journalistes qui participaient à l’équipe du journal télévisé, créé par Pierre Sabbagh en juin 1949, avaient le sentiment de se trouver sur un média pauvre en comparant leur situation à celle des hommes de radio. En 1952 la RTF et la BBC décident de réaliser différentes émissions en direct de Paris et à destination des télespectateurs Britanniques, afin de leur faire découvrir la France. Cette semaine spéciale s'est déroulée du 9 au 14 juillet 1952.
Mai 68. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Pour l'article sur le mois, voir Mai 1968. Mai 68 est un ensemble de mouvements et manifestations survenus en France, en mai-juin 1968. Ces événements constituent une période et l'une des ruptures marquantes de l'histoire contemporaine française, caractérisés par une vaste révolte spontanée, de nature à la fois culturelle, sociale et politique, dirigée contre la société traditionnelle, le capitalisme, l'impérialisme et, plus immédiatement, contre le pouvoir gaulliste en place. Enclenchée par une révolte de la jeunesse étudiante parisienne, puis gagnant le monde ouvrier et pratiquement toutes les catégories de population sur l'ensemble du territoire, elle reste le plus important mouvement social de l'histoire de France du XXe siècle. Les événements[modifier | modifier le code] Les événements superposèrent essentiellement un mouvement étudiant et un mouvement ouvrier, tous deux d'exceptionnelle ampleur.
Les phases[modifier | modifier le code] Mai 68 à l'ORTF. C'était il y a quarante ans et cela paraît déjà un autre monde : durant plus d’un mois, la France a été privée de télévision. En effet, du 17 mai au 23 juin 1968, la grève des quelque douze mille personnels de l’ORTF, à Paris comme en province, a imposé un service minimum de l’audiovisuel, sous contrôle syndical.
Durant ces semaines d’agitation revendicative, les différentes catégories professionnelles, techniciens, cadres, réalisateurs ou producteurs, ont tenté de promouvoir ensemble un projet pluraliste et autonome. Les grévistes se sont efforcés de mobiliser l’opinion publique, les partis politiques et les artistes à leurs côtés. Une « opération Jéricho » a même été organisée autour de la maison de la Radio, avec des manifestations quotidiennes pour faire tomber le « mur » de l’intransigeance gouvernementale. Les sanctions ont frappé un journaliste sur trois à l’ORTF (et un gréviste sur deux), avec près d’une centaine de licenciements ou de mutations arbitraires. Support Livre broché. 5 colonnes à la une. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Magazine d’un genre nouveau, 5 colonnes à la une inaugure la naissance du grand reportage télévisé ; le premier numéro est lancé le sur la RTF. Produite par Pierre Lazareff, Pierre Desgraupes, Pierre Dumayet (surnommés les « 3 P ») et réalisée par Igor Barrère, l’émission est emblématique de la présidence du général de Gaulle puisqu’elle l’accompagne jusqu’au , presque au terme de son pouvoir.
Titre de l'émission[modifier | modifier le code] L'indicatif musical du générique de l'émission est tiré de La Danse des Flammes, extrait de la musique du ballet Le rendez-vous manqué de Michel Magne[2]. Principe de l'émission[modifier | modifier le code] Le magazine se compose d’un assemblage d’une douzaine de reportages en moyenne, d’une durée de 90 minutes. 5 colonnes à la une fixe aux téléspectateurs un rendez-vous mensuel, placé à une case horaire de choix : 20 heures 30. L’émission du 9 janvier 1959[modifier | modifier le code] Marcel Trillat. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Biographie[modifier | modifier le code] Il devient journaliste à l'ORTF en 1965 en collaborant au magazine Cinq colonnes à la Une.
Il participe également à des entreprises collectives militantes comme UNICITE ou le CREPAC (Centre de Recherche sur l'Education Permanente et l'Action Culturelle) qu'il transformera en société de production avec Roger Louis. En 1979-1980, il participe, avec un autre journaliste, Jacques Dupont à la radio libre Lorraine Cœur d’Acier mise en place par la CGT au moment des luttes syndicales du bassin sidérurgique de Longwy. Marcel Trillat entre à Antenne 2 en 1981 et y gravit les échelons de la rédaction pour devenir directeur adjoint de l’information en 1989.
Il est administrateur, élu CGT, de France Télévisions[2] de 2001 à son départ en retraite en 2006. Par ailleurs, Marcel Trillat est connu de ses amis pour faire un excellent gratin dauphinois. Engagement politique[modifier | modifier le code] Roger Louis. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Roger Louis (1925 à Arras - 1982 à Paris) était un journaliste de télévision français.
Il fut licencié de l'ORTF en 1968. Grand Reporter à Cinq colonnes à la une, il fonda notamment avec Marcel Trillat le CREPAC Scopcolor sociétés de production de tournages documentaires et d'information comme "Certifié Exact", sorte de contre pouvoir des informations officielles d'alors. Moyennant un abonnement annuel, ces documentaires ou magazines comme il se plaisait de le souligner, étaient distribués via des associations, syndicats, aux mouvements culturels, aux comités d'entreprise… Il fut le seul journaliste quelques jours après sa mort, à qui la télévision, en l'occurrence 'La 3' lui consacra une entière soirée hommage.
Il repose à Théminettes (Lot) Portail de la télévision. Dictionnaire de l'informatique et d'internet. 1502 Invention de la première montre. 1623 Machine à calculer de Wilhelm Schickard, en Allemagne. Elle est capable d'additionner des nombres de six chiffres et de faire " gling ! " en cas de problème (dépassement de capacité). 1642 Blaise Pascal invente la pascaline, la première machine à calculer mécanique. 1745 Invention du premier condensateur électrique (la bouteille de Leyde) par le Néerlandais P.Van Musschenbroek et l'Allemand E.J von Kleist. 1780 L'américain Benjamin Franklin découvre l'électricité. 1793 Invention du télégraphe optique par le Français C. 1800 L'Italien A. 1820 Thomas de Colmar propose sur le marché la première machine à calculer utile. 1833 Le Britannique C. 1837 Premier télégraphe électrique. 1866 Première pose réussie d'un cable trans-atlantique qui va de l'Irelande jusqu'a Newfoundland. 1867 La machine à écrire est inventé aux Etats-Unis. 1876 Le brevet du téléphone est déposé par Alexander Graham Bell. 1877 Invention du microphone aux Etats-Unis. 1924 Naissance d'IBM.
La presse. Dans cette page vous trouverez des reportages de la presse écrite, radiophonique et télévisuelle sur ma collection. C'est peut être prétentieux de faire cette page mais j'avais envie de vous les faire partager. Article dans VSD du 6 décembre 2006 , rubrique "Planète techno" pages 74-75 et pages 76-77 Journaliste : Julie Gardett France info, rubrique "Passion collection" du 20 mai 2007, mp3 de 2 minutes Journaliste : Thierry Marcellin Journal de 20h de TF1, le 29 juin 2009, 60 ans du JT, édition spéciale (tf1.fr) Journaliste : Michel Izard Article dans Le Journal du CELSA (Centre d’études littéraires et scientifiques appliquées), So Watch de février / mars 2011, rubrique "A la loupe" page 22 Journaliste : Audrey Alos Article dans Le Journal Du Centre du 30 juillet 2013, rubrique "Haut Nivernais – Villes et Villages" page 21 Journaliste : Jean Michel Sévin.
Georges de Caunes, gentleman journaliste-aventurier | Radio,télévision des années 50. Persée : Portail de revues en sciences humaines et sociales.