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Kojiki : au commencent, il y avait Izanagi et Izanami... Pour toute personne s’intéressant à la mythologie japonaise, il y a deux incontournables : le Kojiki (Chronique des faits anciens) et le Nihon Shoki (Annales ou Chroniques du Japon). Ils ont compilé, lors de leur écriture au VIIIe siècle, la genèse du monde, du Japon en particulier par le couple divin Izanagi et Izanami, ainsi que les péripéties de nombreux kami et la vie des premiers empereurs d’essence divine sur le trône du Chrysanthème. Journal du Japon vous propose, à travers une série d’articles, Kojiki, la chronique des faits anciens, de tenter l’immersion dans la mythologie japonaise et dans la pensée shintō. Pour débuter, voici les histoires du couple mythique Izanagi et Izanami, fondateur du Japon… et des ses îles ! Le Commencement : Izanagi et Izanami Izanami et Izanagi par Kobayashi Eitaku Dans la « Plaine du Haut-Ciel » (Takama-no-hara) naquirent spontanément les trois divinités primordiales.

Naissance du Japon, le « Pays des Huit Grandes Îles » Le temps passa. La Mission Iwakura : un tour de l'Occident il y a 150 ans - En 2018 le Japon fêtera les 150 ans de la restauration Meiji, une époque riche en personnalités marquantes pour le pays, comme Sakomoto RYÔMA que nous évoquions il y a peu. L’un des événements marquants de cette période de renouveau se déroula de 1871 à 1873, lorsque le gouvernement japonais envoie une ambassade en Occident, la Mission Iwakura, dans une sorte de tour du monde sans précédent. Premier mouvement diplomatique de l’ère Meiji, il fut également un mouvement profitable pour ce Japon en reconstruction. Quatre ambassadeurs et une cinquantaine de personnes vont partir ré-explorer le monde entier pendant plus de deux années : États-Unis, Angleterre, France, Belgique, Pays-Bas, Russie, Empire allemand, le Danemark, la Suède, l’Autriche, l’Italie, Suisse, Égypte, Inde, Chine… Un périple unique où vous emmène aujourd’hui Journal du Japon dans un dossier historique, pour faire un bon dans le temps et un grand voyage !

Mission IWAKURA : les ambassadeurs japonais redécouvre le monde… St. Le shintô : découvrez un pilier fondamental de la culture japonaise ! - Shintô : ce mot évoque pour certains des dieux étranges (les kami), pour d’autres une des religions du Japon. Comme l’écrivait Lafcadio Hearn : « Celui qui voudrait apprendre ce qu’est véritablement le shintoïsme doit apprendre à connaître cette âme mystérieuse dans laquelle le sens de la beauté, la puissance de l’art, le feu de l’héroïsme, le magnétisme de la loyauté et l’émotion de la foi sont devenus inhérents, immanents, inconscients, instinctifs.

Et dans l’espoir de connaître quelque chose de cette âme orientale dont l’amour joyeux de la nature et de la vie rappelle, même aux ignorants, une étrange ressemblance avec l’âme de l’ancienne race grecque, j’espère aussi pouvoir un jour parler de la grande puissance vivante de cette foi – aujourd’hui appelée shintoïsme, mais plus anciennement dénommée « kami-no-michi – ou le « Chemin des Dieux ». » Journal du Japon vous fait pénétrer dans ce monde fascinant grâce à des ouvrages indispensables. Un livre très complet. IZANAGI & IZANAMI. Couple démiurge de la cosmogonie japonaise, Izanagi et sa sœur-épouse Izanami, descendants des divinités primordiales asexuées, engendrent, selon le Kojiki et le Nihon shoki, la multitude des kami du Ciel et de la Terre. Les îles du Japon elles-mêmes sont leur création, mais aussi et surtout Amaterasu ō-mi-kami (le soleil), Tsuki-yomi-no-mikoto (la lune) et Susa-no-o-no-mikoto (le typhon). Leur légende est tout d'abord une longue énumération de ces naissances ou créations.

Elle s'achève toutefois par un récit qui mérite une attention toute particulière, parce qu'elle rappelle de très près le mythe d'Orphée. Izanami, brûlée à mort en donnant naissance au dieu du feu, descend dans le « Royaume des ténèbres » (Yomi no kuni). Izanagi, inconsolable, descend dans ces enfers pour en ramener son épouse. . — René SIEFFERT René SIEFFERT, « IZANAGI & IZANAMI », Encyclopædia Universalis [en ligne], consulté le. . « IZANAGI & IZANAMI ». Encyclopædia Universalis, s.v. « IZANAGI & IZANAMI », Consulté le ,

La légende d'Izanagi et Izanami - Japan Swap. ... ou la naissance du Japon Au commencement, la terre etait jeune et ses formes incertaines (le Kojiki dit qu’elle ressemblait “a une tache d’huile qui flotte et derive comme une meduse”). Dans ce que les japonais appellent Takamanohara, ou “les hautes plaines celestes”, trois dieux invisibles virent le jour. L’ainé s’appelait Amanominakanushi-no-kami, ou “seigneur du milieu du ciel”, bientot suivi par Takamimusubi et Kamimusubi qui, tous deux, furent de puissants kami a part entiere. Ces trois dieux formaient, avec deux divinités secondaires (Umashiashikabihikoji-no-kami et Amanotokotachi-no-kami), les cinq Divinités Célestes Autonomes. Puis naquirent sept autres générations de dieux et de déesses célestes d’ou est issu le couple originel japonais: Izanagi et sa soeur et épouse Izanami, dont les noms complets sont Izanagi-no-mikoto (l’Auguste Male), et Izanami-no-mikoto (l’Auguste Femelle). Izanagi demanda a sa soeur comment son corps était fait.

A terme, Izanami accoucha. Shinto (1/4) : L'histoire Du Shintoïsme. Signifiant littéralement « la voie des dieux« , le shintoïsme est une religion native du Japon. Il s’agit d’une forme d’animisme qui souligne l’importance de l’harmonie entre les humains et la nature. Il implique le culte du « kami », qui peut se traduire comme « dieux », « esprits naturels », ou simples « présences spirituelles ». Le shintoïsme possède des sanctuaires, appelés jinja (神社) ou quelques fois taisha (大社), jingu (神宮), hachimangu (八幡宮), tenmangu (天満宮), tenjin (天神), etc.

Certains de ces « kamis » sont des divinités locales et peuvent être considérées comme l’esprit ou le génie d’un endroit particulier, mais d’autres représentent des objets naturels importants, comme par exemple Amaterasu Omikami, la déesse soleil. Le shintoïsme inclut aussi la plupart des traditions et des festivals japonais (matsuri). Les origines du shintoïsme ne sont pas vraiment connues, mais il semble avoir été fondé vers la fin de la période Jomon. L'origine Mystérieuse Des Geisha. Entre tradition et modernité, Kyoto est la ville de tous les contrastes. Anciennement sous le nom d’Heian, elle était non seulement la capitale culturelle du Japon, mais aussi celle de ce qu’on appelle le «Monde flottant», paradis des plaisirs sensuels et l’empire de l’érotisme. Suite à l’évolution des mœurs résultant de l’entrée de la morale occidentale au Japon, ce monde a quasiment disparu.

Il subsiste cependant dans quelques quartiers comme Gion, grâce aux Geishas, ces femmes vêtues de kimonos et maquillées de blanc et de rouge vouant leur vie à la sensualité qu’elles élèvent au rang d’un art. Difficile à approcher, on ne peut les apercevoir que furtivement au détour d’une ruelle. Fascinantes et envoûtantes, les Geishas savent cultiver le mystère et font beaucoup parler d’elles. Leur véritable rôle est cependant souvent bien mal compris. Amaterasu avait donc des frères. Les conséquences de cet acte furent désastreuses. Uzume no mikoto eut donc un rôle d’une importance capitale. Japanese Temples. Temples (寺, tera) are the places of worship in Japanese Buddhism. Virtually every Japanese municipality has at least one temple, while large cultural centers like Kyoto have hundreds. Temples store and display sacred Buddhist objects. Some temples used to be monasteries, and some still function as such.

Structures typically found at Japanese temples are: The sacred objects of worship, such as statues, are displayed in the main hall. Lecture halls are for meetings and lectures and often also display objects of worship. The pagoda, a structure that has evolved from the Indian stupa, usually comes with three (sanju no to) or five (goju no to) stories. Gates mark the entrance to the temple grounds. The best cities to visit temples are Kyoto, Nara and Kamakura.

Les quartiers de plaisirs au Japon. Voyage au cœur du monde des courtisanes japonaises. Une brève histoire de la prostitution au Japon L'origine de la prostitution orientale prend racine dans les plus anciens textes bouddhiques qui évoquent le personnage d'Ubaï, une enfant abandonnée qui vécut en Inde au temps du premier Bouddha (vers le 560-480 siècle avant J-C). Ubaï était d'une telle beauté que tous la désiraient, et comme elle ne pouvait se consacrer un seul homme, elle fit le choix de s'offrir à tous, et devint la première prostituée de sa cité. Elle faisait don de tout l'argent qu'elle recevait à Bouddha qui lui enseigna ses préceptes; de sorte qu'à la fin de sa vie, Ubaï obtint le titre de bhiksumi, le grade le plus élevé de la hiérarchie monacale. A l'instar des autres pays, l'histoire de la prostitution au Japon remonte à une origine très ancienne qui s'est mâtinée de plusieurs influences, notamment celles de la Chine pour ce qui concerne le classement et la répartition des prostituées en catégories.

Shunga. Tayû.