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Plan de partage de la Palestine : 29 Novembre 1947

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Plan de partage. Plan de partage Palestine1. Palestine. Palestine 1945 1950. Retour cartographique sur le conflit israélo-arabe. Première partie : des prémices du conflit israélo-palestinien à la première guerre israélo-arabe. LIRE LA DEUXIEME PARTIE : Retour cartographique sur le conflit israélo-arabe. Deuxième partie : de la crise de Suez à la deuxième Intifada Si la compréhension de la temporalité du conflit israélo-arabe est nécessaire, la compréhension de sa spatialité l’est tout autant. Les rapports de force s’inscrivent sur des territoires donnés dont la géographie est complexe, que ce soit d’un point de vue diachronique – tant les évolutions territoriales ont été nombreuses au cours du temps – ou d’un point de vue synchronique – tant le découpage territorial actuel peut être compliqué (il suffit de regarder l’organisation de la Cisjordanie).

Ainsi, nous nous proposons d’ouvrir cette rubrique par une mise en perspective cartographique du conflit israélo-arabe. Cette première synthèse générale se présente comme une introduction, susceptible d’être complétée par la suite par des sujets plus précis. A) Les représentations d’Israël Carte 1 : Le royaume de David (Xe siècle av. 29 Novembre 1947 l’ONU vote la partition de la Palestine | Défense Medias Israel.

Le plan de partage de la Palestine1 élaboré par l’UNSCOP est approuvé par l’Assemblée générale de l’ONU, à New York par le vote de la résolution 181. Ce plan prévoit la partition de la Palestine en trois entités, avec la création d’un État juif et d’un État arabe, Jérusalem et sa proche banlieue étant placées sous contrôle international en tant que corpus separatum. Le partage et la création des trois États (État juif, État arabe et État de Jérusalem sous administration internationale), sont votés par 33 voix contre 13 avec 10 abstentions (Le processus de décolonistion commençait à peine et l’ONU ne comptait alors que 57 membres contre 192 aujourd’hui).

Le plan est accepté par les dirigeants de la communauté juive en Palestine, par le biais de l’Agence juive à l’exception de ceux de l’Irgoun. Il est rejeté par la quasi totalité des dirigeants de la communauté arabe, y compris par le Haut Comité arabe palestinien, qui est appuyé dans son rejet du plan par les États de la Ligue arabe. Palestine. Désignation depuis l'Antiquité d'une région du Proche-Orient, située entre la Méditerranée, d'une part, le Jourdain et la mer Morte, d'autre part, recouvrant aujourd'hui l'État d'Israël et les Territoires palestiniens. 1.

De l'Antiquité aux Ottomans 1.1. Période romaine puis byzantine Après la conquête romaine (64-63 avant J. Au ive siècle après J. 1.2. Après la conquête arabe du viie siècle, une part croissante de la population s'islamise tandis que la présence juive décline inexorablement à cause des nombreuses conversions. Jusqu'au xie siècle, les garants de l'orthodoxie se méfient de cette évolution, qui leur semble aller au détriment de la primauté de Médine et de La Mecque.

Les saints musulmans locaux, vénérés par les habitants, restent les prophètes de la Bible (→ Moïse, David, Samuel). Durant les croisades (xiie et xiiie s.), la Palestine devient le champ d'affrontement entre monde musulman et monde chrétien. Pour en savoir plus, voir les articles États latins du Levant, croisades. Qui a voulu le plan de partage de la palestine novembre 1947.

Les motivations des grandes puissances 1947 est l'année de la rupture entre les Etats-Unis et l'URSS : l'alliance nouée dans la Seconde guerre mondiale se défait, la guerre froide commence. Malgré cela, le 29 novembre 1947, Américains et Soviétiques votent ensemble le plan de partage de la Palestine.

Bien entendu, l'accord entre eux n'est qu'apparent. Que cache-t-il ? Au lendemain de 1945, les Etats-Unis jusqu'alors peu présents au Proche-Orient réalisent son importance. D'un autre côté, l'opinion publique américaine est très favorable au sionisme après la découverte du génocide nazi. Au final, le souci de ménager à la fois le nationalisme arabe et le sionisme conduit la diplomatie américaine à se prononcer pour le partage de la Palestine.

Pour sa part, l'URSS est confrontée à la politique d' "endiguement" décidée par la président américain Truman, c'est-à-dire l'encerclement du camp communiste par les Etats-Unis et leurs alliés. En rouge : membres permanents du Conseil de sécurité. Plan de partage de la Palestine. « Plan de partage de la Palestine » expliqué aux enfants par Vikidia, l’encyclopédie junior Le Plan de partage de la Palestine a été voté par l'ONU en 1947.

Ce plan définissait la création de deux États : un État juif sur 57,47 % du territoire avec 498 000 habitants juifs et 325 000 habitants arabes, et un État palestinien sur 43,53 % du territoire avec 807 000 habitants arabes et 10 000 habitants juifs. Un régime particulier de tutelle internationale était prévu pour Jérusalem : cela signifie que cette ville, avec 105 000 habitants arabes et 100 000 habitants juifs, ne devait appartenir à aucun des deux États. Au fil du temps, les frontières des territoires israélien et palestinien ont changé : À la suite de la guerre des Six Jours entre Israël et la Ligue arabe, en juin 1967, Israël envahit la Cisjordanie et Jérusalem, la bande de Gaza, le mont Sinaï en Égypte et le plateau du Golan en Syrie. Source[modifier | modifier le wikicode] Plan de Partage de la Palestine (1947)Armée de Défense d'Israël. Glossaire > Plan de Partage de la Palestine Contexte Le terrorisme a toujours accompagné l’histoire de l’Israël moderne : c’est une singularité mondiale, et non un artefact conjoncturel.

Le terrorisme préexiste à la naissance même de l’État d’Israël en 1948. Dans les années 1920-1921, une vague d’émeutes antijuives se déchaîna. Après la Seconde Guerre mondiale, le nouveau gouvernement élu en Grande-Bretagne, puissance mandataire sur la Palestine, refusa d’abolir le Livre blanc qui limitait l’immigration juive en Palestine, même après la tragédie de la Shoah (Cf. épisode de l’Exodus en 1947). En 1946, David Ben Gourion assuma la charge du portefeuille de la Défense à l’exécutif de l’Agence juive et mena la lutte contre les Britanniques – défiant le blocus instauré par eux, intensifiant les activités de peuplement et, par la suite, remettant en question l’autorité britannique.

De la question de la Palestine au Plan de partage Selon ce Plan : La question de Palestine - Le plan de partage et la fin du mandat britannique. La question de Palestine a été portée devant l’Assemblée générale par le Royaume-Uni au lendemain de la création de l’Organisation des Nations Unies. Une Commission spéciale pour la Palestine, comptant 11 membres, a été constituée à la première session extraordinaire de l’Assemblée, en avril 1947. La majorité des membres de la Commission a recommandé le partage de la Palestine en un État arabe et un État juif, avec pour Jérusalem un statut international spécial sous l’autorité administrative de l’Organisation des Nations Unies.

Le Plan de partage, 1947 La création des États arabe et juif devait intervenir le 1er octobre 1948 au plus tard; La Palestine était divisée en huit parties : trois devaient devenir des divisions juives et trois des divisions arabes. La septième, la ville de Jaffa, devait devenir une enclave arabe à l’intérieur du territoire juif; Le régime international de Jérusalem, qui était la huitième division, serait administré par le Conseil de tutelle des Nations Unies. 29 novembre 1947 : Le partage et l'occupation de la Palestine. Comité pour le Droit au Retour , France (texte déjà publié en 2006)., dimanche 29 novembre 2009 Les grandes puissances (Etats-Unis, Grande-Bretagne, France, URSS) négocient des plans de partage de la Palestine qui débouchent, le 29 novembre 1947 à l’ONU, sur la proposition de la création de deux Etats et de la zone internationale de Jérusalem (résolution n° 181) [2].

Bilan du partage des Nations-Unies. • un Etat arabe de 12.000 Km² qui comprend 735.000 habitants, dont 10.000 juifs • un Etat juif de 14.200 Km² avec 905000 habitants dont, 507.000 arabes • une zone internationale à Jérusalem de 205.000 habitants, dont 100.000 juifs. Il faut cependant noter que la population palestinienne n’a jamais été consultée et son autodétermination n’a pas été respectée (ceci est contraire aux principes de la charte des Nations-Unies - chapitre 12). Les grandes puissances partagent un territoire arabe qui ne leur appartient pas. Plan des opérations sionistes au-delà du plan de partage. Résolution 181 de l'Assemblée générale de l'ONU (29 novembre 1947)

A. L’Assemblée générale, Après s’être réunie en session spéciale à la requête de la Puissance mandataire, en vue de procéder à la constitution, et de définir le mandat, d’une commission spéciale chargée de préparer l’examen par l’Assemblée, en sa seconde session régulière, de la question du futur gouvernement de la Palestine ; Ayant constitué une Commission spéciale, et lui ayant donné mandat d’enquêter sur toutes les questions relatives au problème de la Palestine, et de préparer des propositions en vue de la solution de ce problème, et ayant reçu et examiné le rapport de la Commission spéciale, où figurent un certain nombre de recommandations présentées par la Commission à l’unanimité, et un Plan de partage avec Union économique approuvé par la majorité de la Commission spéciale, Considère que la situation actuelle de la Palestine est de nature à nuire au bien général et aux relations amicales entre les nations ; Demande a.

B. C. D. B. A. 1. 2. 3. 4. B. 1. 2. 3. 4. 5. 6. 7. 8. 9. 10. B. Palestine 48 : 29 novembre 1947: Le partage et l'occupation de la Palestine - Comité Droit au Retour France. Article lu 25163 fois Palestine 48 - 29 novembre 2006 Par Comité Droit au Retour France > comiteretourfrance@hotmail.com Comité Droit au Retour France, Membre de la Confédération européenne des comités droit au retour ainsi que de la Coalition internationale des comités droit au retour le 30 novembre 2005, membre du Mouvement de Soutien à la Résistance du Peuple Palestinien (MSRPP) - Transmis par Justice Palestine : justicepalestine@hotmail.com Les grandes puissances négocient des plans de partage de la Palestine qui débouchent, le 29 novembre 1947 à l'ONU, sur la proposition de la création de deux Etats et de la zone internationale de Jérusalem (résolution 181). Il faut cependant noter que la population palestinienne n'a jamais été consultée et son autodétermination n'a pas été respectée.

Ci-dessus : carte de la dépossession Les grandes puissances (1). Bilan du partage des Nations-Unies. • un Etat arabe de 12.000 Km² qui comprend 735.000 habitants, dont 10.000 juifs Notes. Plan de partage de la Palestine du 29 novembre 1947. [Illustration : expansion de l’État israélien de 1947 à 1999] Palestine, 1947, au sortir de la Seconde Guerre mondiale. Le pays, placé sous mandat britannique depuis une vingtaine d’années, connait un immigration massive de Juifs, tout juste rescapés de l’holocauste nazie.

Le retour vers « la Terre promise » Dès la fin de la Seconde Guerre mondiale, des milliers de Juifs prennent le chemin de l’URSS, premier libérateur des camps d’extermination, en direction du Birobijian, l’oblast autonome juif de Sibérie, créé par Staline en 1934. Une majorité de Juifs d’Europe de l’Est choisissent quant à eux le retour vers « la Terre promise », Israël, encensée par les leaders sionistes, depuis près d’un demi siècle. Tout au long de son mandat et selon les aléas de sa politique, le gouvernement britannique contribue soit à encourager, soit à ralentir cette immigration juive, qui débarque désormais par bateaux entiers en terre palestinienne. Recours à l’ONU Adoption de la résolution 181 Al -Nakba… À lire :

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