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Peinture

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Chronique d'un centenaire .... Il y a 100 ans .... Otto Dix, Selbstbildnis als Soldat (Autoportrait en soldat), 1914 Otto Dix, Sturmtruppe geht unter Gas vor (Assaut sous les gaz), 1924 Otto Dix, Selbstbilnis als Schießscheibe (Autoportrait en cible) Otto Dix, Mahlzeit in der Sappe(Lorretohöhe) (Le Repas dans la sape (Lorette)), 1924 Otto Dix, Lichtsignale (Signaux lumineux), 1917 Otto Dix, Gesehen am Steilang von Cléry-sur-Somme (Sur les pentes de Cléry-sur-Somme), 1924 Otto Dix, Prager Straße (La rue de Prague), 1920 Otto Dix, Triptychon "Der Krieg" (Triptyque "La Guerre"), 1929-32 Otto Dix, Flandern (Les Flandres) (D'après Le feu d'Henri Barbusse), 1934-6 Otto Dix, Schädel (Crâne), 1924, eau-forte.

Document sans titre. Otto Dix Le peintre Otto Dix (1891-1969) est profondément marqué par la guerre à laquelle il participe comme soldat dans l'armée allemande. Les tableaux qu'il réalise dans les années 1920 dénoncent l'horreur des combats et les conséquences du conflit. D'autres toiles critiquent férocement la société bourgeoise ou posent un regard cruel sur la vieillesse. "L'art de l'époque du traité de Versailles illustre le désordre et l'apparence de la folie. (...) il est le produit d'une société en plein désarroi. " (Aragon) Otto Dix, Selbstbildnis als Soldat (Autoportrait en soldat), 1914, huile sur papier, recto verso, 68 x 53,5 cm, Galerie municipale, Stuttgart. Otto Dix, "Selbstbildnis mit Artillerie-Helm" (Autoportrait au casque d'artilleur), 1914, huile sur papier, recto verso, 68 x 53,5 cm, Galerie municipale, Stuttgart.

Otto Dix, Selbstbilnis als Schießscheibe (Autoportrait en cible), 1915, huile sur papier, 72 x 51 cm, Otto Dix Foundation, Vaduz. Otto Dix, Tranchées, vers 1918, Gouache, 39x41. La Guerre 14-18 - La couleur des larmes - 91 - Otto Dix. 3ème, Gueules de la terre, Patrice Alexandre. Patrice Alexandre vit entre la Champagne et Paris. Il étudie à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris de 1968 à 1973. Pensionnaire à l’Académie de France à Rome, il obtient le Prix de la Biennale de sculpture de Budapest en 1981. Entre 2001-2011, il effectue un travail de réflexion et d’interprétation sur les monuments à la Grande Guerre. Gueules de la terre Les « Gueules de la terre » sont des représentations commémoratives des « gueules cassées » de la première guerre mondiale. « L’expression « gueules cassées » inventée par le Colonel Picot premier président de l’Union des Blessés de la Face et de la Tête, désigne les survivants de la Première Guerre mondiale ayant subi une ou plusieurs blessures au combat et affectés par des séquelles physiques graves, notamment au niveau du visage.

L’artiste déforme les visages en incrustant une chambre à air par exemple dans la terre, ce qui donne un effet dramatique aux sculptures. Qu’en est-il aujourd’hui ? J'aime : Charlot soldat.