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Etre féministe

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De colère et d'espoir: Trois raisons de cesser d’accuser les féministes d’être « sur la défensive » Trois raisons de cesser d’accuser les féministes d’être « sur la défensive » Si vous êtes féministe et que vous avez l’habitude d’en parler, on vous a sûrement déjà accusée d’être trop « sur la défensive ». Marchant main dans la main avec le cliché selon lequel les femmes et les féministes seraient « trop émotives » pour débattre « rationnellement », cette accusation sert à faire taire l’interlocutrice.

Il s’agit d’une manifestation du tone policing, ou police du ton, qui consiste à attaquer une féministe en raison du son ton plutôt que de confronter le contenu de son discours. Si vous êtes un homme, vous avez peut-être vous-même utilisé ce reproche sans y penser davantage. Voici trois choses à prendre en compte avant d’accuser une féministe d’être sur la défensive. 1) Il faut montrer ses cicatrices pour « prouver » le sexisme Contrairement à la croyance populaire, les féministes ne sont pas des bibliothèques ambulantes. 2) Les débats sur le féminisme ne sont jamais abstraits Conclusion.

10 des clichés sur le féminisme et les féministes. « Je ne suis pas féministe mais… ». Voilà surement la phrase dans laquelle on entend le plus souvent le mot féministe. Oui le F-word, comme l’appelle les anglophones, fait peur et on hésite avant de s’en réclamer pour diverses raisons. Tour d’horizon des clichés sur les féministes et le féminisme. #JeSuisFéministe Crédits photo (creative commons) : Beverly & Pack La féministe n’en a jamais assezCertains diront que le féminisme c’est « has been ».

Liste non exhaustive .. * ces messieurs pouvant être évidement des alliés, des pro-féministes. * Et rappel en ce qui me concerne : non au voile, non à la prostitution, non à la GPA ! 15 des citations sur les femmes et le féminisme, parce que le combat continue J'aime : J'aime chargement… Sur le même thème Concours de repassage et pole dance : un salon fâche les féministes à Angoulême #Stéréotypes - Un homme arbitre des femmes qui s’activent au championnat de France du repassage, organisé par une marque d’électroménager. Dans "Droits des femmes" La sororité, cette bénédiction… Et cette pesante injonction | Comment peut-on être féministe ? Quand on est féministe et qu’on milite, quels que soient les terrains concernés, on apprend peu à peu l’importance de la bienveillance entre femmes. Cette bienveillance, qui se traduit en actes et en mots de soutien, en solidarités multiples et en écoute de l’autre, si différente de nous soit-elle, est indispensable et on peut mettre des années à en prendre conscience.

Quand on tarde à saisir la nécessité de cette bienveillance, ce n’est pas parce qu’on n’aime pas les autres femmes ou parce qu’on veut absolument faire cavalière seule. C’est plutôt parce qu’on a bien intériorisé cette distance et cette rivalité implicite qu’on nous inculque depuis l’enfance, et qu’on pourrait traduire par : « Recherche la bienveillance des hommes, méfie-toi des autres femmes ». Cela signifie que l’homme, en tant qu’oppresseur et ennemi de classe, peut nous protéger d’un certain nombre de choses pour peu qu’on sache s’abriter auprès de lui. La sororité est donc une nécessité.