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Antoine Daccord, community manager, journaliste mutant « La voix. A quoi sert un « community manager » dans un site d’info?

Antoine Daccord, community manager, journaliste mutant « La voix

Quelles sont ses responsabilités? Est-ce un journaliste? Comment amène-t-il les internautes à collaborer? Antoine Daccord, un des premiers à exercer ce tout jeune métier (il a débuté à lepost.fr puis à Libération.fr), nous raconte son quotidien à la rédaction du site lefigaro.fr où, dit-il, émerge « une nouvelle race de journalistes » . Mazette… En plus de la flotte de sites qui gravite autour du vaisseau-mère (et que décrivait Bertrand Gié dans un précédent billet), le site du Figaro prend grand soin de travailler son interactivité avec ses lecteurs.

Lefigaro.fr c’est « le premier site d’infos depuis 14 mois » , se félicite l’intéressé. Que le site ait recruté un community manager (CM), alors que d’autres comme lemonde.fr, liberation.fr, lepoint.fr s’en passent n’est pas anodin. Alors à quoi donc que ça sert hein ? Et cela peut aller très loin. Un petit couac cependant: il semble que le site soit victime de son succès. La tendance musique & internet au travers de 5 procès en 2. Le magazine Wired vient de publier un bon article sur 5 procès "musique & Internet " s'étant tenus cette année 2009, suffisamment emblématiques pour donner le ton concernant l'évolution de l'activité de la musique sur Internet. Il nous a semblé intéressant, non pas de traduire l'article (beaucoup d'entre vous peuvent le lire directement sur le site), mais de l'analyser sous l'angle de ce que nous connaissons ici, en Franc e. Ce papier est un peu technique et il n'est pas forcément exempt d'erreurs.

Il n'en reste pas moins int éressant de chercher à comprendre dans quel sens le balancier semble s'orienter pour les années à venir. Ces procès sont donc : 1° UMG Recordings v. Veoh est une sorte d'hébergeur, à l'instar de dailyMotion. Veoh a finalement gagné... Capitol Records v. L'analyse: Aux Etats-Unis, les pirates sont jugés suivant les lois de leurs Etats de résidence, qui sont généralement anciennes, s'appliquant à la violation du Copyright en général.

Les 46 étapes de l'accro à Twitter: où en êtes vous ? Filtrage en Australie: la web pornographie en danger. Alors que les Chinois offrent des primes aux dénonciateurs de sites pornographiques, l’Australie vient d’annoncer son intention de filtrer le Net sans limitation explicite du spectre de la censure.

Filtrage en Australie: la web pornographie en danger

Les sites pornographiques « classiques » sont eux aussi visés. Cette décision, la première émanant d’une démocratie occidentale, embarrasse les acteurs de l’Internet et notamment Google qui s’est fendu d’un communiqué. Au-delà de la dimension idéologique de la censure, ces annonces traduisent une évolution économique importante. En effet, dans la phase de déploiement des accès à Internet - et d’équipement des ménages en terminaux numériques - les Etats ont laissé les contenus les plus exotiques circuler sur le Net, souvent au mépris des règles de « décence » et de propriété intellectuelle. Les contenus pornographiques, au même titre que les œuvres piratées, ont ainsi contribué à la valorisation de la connexion et de tous les équipements numériques associés.