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Maltraitance enfants

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La maltraitance des enfants. Maltraitance sur mineur. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La maltraitance est souvent représenté dans les histoires, ici dans la tragédie grecque, où Œdipe est un enfant maltraité. Il est ici représenté lorsqu'il est découvert après avoir été abandonné accroché à un arbre avec les pieds sciemment meurtrie, d'où son nom qui signifie « pieds enflés ». « Environ 20% des femmes et 5 à 10% des hommes disent avoir subi des violences sexuelles dans leur enfance, et 23% des personnes déclarent avoir été physiquement maltraitées dans leur enfance »[1]. Les victimes sont souvent dépendantes et sans défense. Définition[modifier | modifier le code] Selon les Nations unies, la maltraitance des enfants se définit comme : « Toute forme de violences, d'atteinte ou de brutalités physiques et mentales, d'abandon ou de négligence, de mauvais traitements ou d'exploitation, y compris la violence sexuelle » [2].

Types[modifier | modifier le code] La maltraitance sur mineur peut prendre plusieurs formes[3]. La maltraitance : édito. Si les amours adolescentes n’étaient faites que d’amour et d’eau fraîche ce serait le bonheur. Mais parfois, la violence s’immisce dans les couples de jeunes. Comment se manifeste-t-elle ? Quelles conséquences ? Comment y mettre fin ? Idées reçues Relation homme-femme, sexualité… les médias délivrent de nombreux messages auxquels on peut être assez sensible quand on est ado. Manifestations de la violence dans le couple Il y a de la violence dans une relation de couple quand le comportement de l’un nuit à la santé de l’autre. Quelles solutions ? Les violences commises par des mineurs sur des mineurs sont considérées, par la loi, comme des « crimes » et sont vécus comme des expériences traumatisantes (insomnies, tristesse, perte d’estime de soi et des autres, honte, mal-être…).

En parler d’abord avec son ou sa partenaire : lui expliquer son malaise, lui faire part de ce que l’on ressent, de son besoin de respect. Comment identifier l'enfant victime d'abus sexuel ? Protection de l'enfant contre la violence et les mauvais traitements - La traite des enfants et l'exploitation sexuelle. La traite est une violation des droits fondamentaux. La traite des enfants est un problème de portée mondiale touchant un grand nombre d'enfants. D'après certaines estimations, il pourrait y avoir 1,2 million d'enfants victimes de la traite chaque année. Il existe une demande d'enfants comme main-d'ouvre bon marché ou aux fins d'exploitation sexuelle. Souvent, les enfants et leur famille ne sont pas conscients des dangers de la traite, convaincus qu'ils sont que les chances d'un emploi et d'une vie meilleurs existent dans les pays étrangers.

La traite des enfants est lucrative et liée à l'activité criminelle et à la corruption. Quelques faits : D'après les estimations de l'UNICEF, entre 1000 et 1500 bébés et enfants guatémaltèques font l'objet d'une traite aux fins d'adoption par des couples d'Amérique du nord et d'Europe chaque année.

Exploitation sexuelle. La protection de l'enfance en danger. Maltraiter un enfant, ce n’est pas seulement lui faire subir des violences physiques, c’est aussi négliger ses besoins, physiologiques et affectifs, ou lui imposer un mode de vie incompatible avec son âge et sa maturité. Signaler un enfant en danger En votre qualité de citoyen, si vous avez connaissance d’une information préoccupante sur un enfant, vous devez contacter les services compétents : Chaque année, plus de 300 enfants maltraités sont signalés dans l’Orne. Le facteur temps est déterminant : plus le cas est détecté tôt, et plus l’enfant a de chances de retrouver rapidement un environnement familial équilibré.

Le Conseil général protège les enfants en danger Le service de l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE) assure les missions suivantes pour protéger les enfants en danger ou en risque de danger : Moins de violence envers les enfants, vraiment? | Points de vue. Le 18 juin dernier, l'Institut de la statistique du Québec (ISQ) diffusait les résultats de la troisième édition de l'enquête «La violence familiale dans la vie des enfants», réalisée en 2012 auprès de plus de 5000 parents québécois. En dépit de son envergure et de sa grande qualité méthodologique, cette enquête a eu peu de retentissement dans les médias, si ce n'est pour souligner une bonne nouvelle : la punition corporelle est en baisse au Québec.

En effet, 35% des jeunes Québécois ont été secoués ou pincés, ou ont reçus des tapes sur les mains, les bras, les jambes ou les fesses, au moins une fois au cours de la dernière année, alors que cette proportion était de 43% en 2004 et de 48% en 1999. De plus, l'enquête révèle qu'un nombre croissant de parents désapprouvent la punition corporelle et font usage de méthodes disciplinaires non violentes, comme expliquer les choses à l'enfant ou lui retirer des privilèges. Car la partie n'est pas gagnée.