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La Vache qui rit, héroïne de la Première Guerre mondiale. LES ICÔNES DE LA PUB (3/12) - La marque créée par Léon Bel traverse les générations et les frontières. L'histoire de La Vache qui rit commence pendant la Première Guerre mondiale. Jules Bel a installé sa famille dans le Jura en 1865 et y fabrique du Comté. Léon Bel, le fils de la famille, est alors enrôlé dans une division dédiée au ravitaillement des soldats en viande. Pour remonter le moral des troupes, ces unités de cantines lancent un concours de mascottes. De plus en plus féminine Quand Léon Bel est démobilisé, à la fin de la guerre, il reprend l'activité familiale. Au fil des années, La Vache qui rit subit peu de liftings.

«En 2010, La Vache qui rit accède à une nouvelle dimension. » Les fromages Bel parient sur l'avenir » Le lapin rose de Duracell mène campagne tambour battant » Bibendum, 114 ans de service et pas une ride. Un Muretain à Verdun. Monument à la gloire des infirmières. On a retrouvé le plus petit monument aux morts de France. Certes, le record ne figure pas (encore) dans le « Guinness book », mais à Cordey, petit bourg de 138 âmes aux confins du Calvados et de l’Orne, personne n’en doute : c’est ici que trône, depuis 1920, le plus petit monument aux morts de France. Nombre de guides touristiques mentionnent l’anecdote. Et les cars de touristes, en route pour le château de Guillaume-le-Conquérant, sont nombreux à y faire une halte pour lui tirer le portrait. Le maire de la commune, Guy Bailliart, s’accommode bien de cette réputation « quelque peu légendaire » mais jamais démentie.

Le monument a été réalisé en 1920, au sortir de la Grande Guerre, grâce à la contribution de l’ensemble des habitants du village. 36 000 monuments aux morts érigés entre 1920 et 1925 La Première Guerre mondiale, dont on s’apprête à commémorer le centenaire, est la principale guerre dont témoignent les monuments aux morts en France. Monuments aux morts pacifistes: Devise : Ils sont morts pour la Paix. Devise est une commune de la Somme dans la région Picardie qui a été détruite pendant la Grande Guerre. Les membres de la famille Tattegrain se sont succédés comme maire du village. Ces notables étaient peintres, écrivains, sculpteurs. Aprés la destruction, c'est Jacques Roger Tattegrain qui, sur ses fronts propres, reconstruit la mairie, l'école et le monument aux morts. L'histoire du monument est aussi le point final d'une passion amoureuse entre le Maire et l'institutrice du village.

Ce monument aux morts représente une jeune femme entourée d'enfants qui porte haut le message de la Paix. Le modéle de cette sculpture est mademoiselle Agasse, l'institutrice du village qui reçu en 1921, la médaille de la reconnaisance Française pour son comportement héroique pendant la guerre. A sa mort, le maire Jacques Roger Tattegrain fit mouler son corps pour l'immortaliser sur le monument aux morts qui a été construit à côté de la nouvelle école . Le Stade toulousain dans la Grande Guerre. Par Pascal Pallas Parmi les nombreux lieux où les Toulousains se recueillent chaque 11-novembre, en souvenir de ceux qui sont morts pour la France lors de la Première guerre mondiale, figure le monument de la place Héraklès, près des allées de Barcelone. Cette sculpture représentant Héraklès en archer honore la mémoire de tous les sportifs toulousains tombés au champs d’honneur quelque part dans une tranchée de Champagne ou de la Marne, dans le bourbier de Somme ou les solitudes de l’Argonne, la neige des Vosges ou la moiteur des Dardanelles.

Alfred Mayssonnié, le symbole De 1914 à 1918, ce sont pas moins de 80 sociétaires du Stade toulousain qui se sont étendus aux côtés des innombrables morts pour la France. La fameuse équipe championne de France 1912 et surnommée la « Vierge rouge» pour être restée invaincue toute la saison, perd plusieurs de ces grands talents. C’est d’abord pour lui rendre hommage que fut imaginé le monument d’Héraklès par l’inconsolable Paul Voivenel après-guerre. Qui était le Lozérien Augustin Trébuchon, dernier mort de la Grande Guerre ? Georges Dommelieras'est rendu à Rethondes pour se recueillir au jardin de la mémoire Trébuchon en octobre dernier. (Photos D.R.) Le Lozérien Augustin Trébuchon est le dernier mort de la guerre 14-18. L'ancien maire de la ville où il est mort, Georges Dommelier, nous livre son témoignage sur ce personnage qui l'a fasciné durant toute sa vie.

Comment avez-vous découvert Augustin Trébuchon ? Je l’ai toujours connu ! Dans mon enfance, à l’école de Vrigne-Meuse où il est mort, les anciens officiers du 415e , son régiment, venaient en pèlerinage ici tous les 11 novembre. Avec mes camarades, nous étions suspendus à leurs lèvres lorsqu’ils nous contaient comment ils avaient traversé la Meuse, dans le brouillard et par moins 6 degrés. Quand avez-vous commencé sérieusement à vous pencher sur son histoire ? C’est assez récent finalement. Est-ce vrai qu’il venait de porter un billet annonçant la fin de la guerre à son État-major quand il a été tué ? Je ne crois pas. Qui fut la première victime française de la guerre 14-18 ? De la première guerre mondiale, les historiens retiennent les chiffres suivants : 10 millions de morts sur l’ensemble des fronts, 4800 soldats tués chaque jour du conflit, des dizaines de milliers de veuves, autant d’orphelins.

A cela s’ajoutent les innombrables blessés, mutilés, et ceux que l’on appelle les gueules cassées. Ces seules données parlent d’elles mêmes, nul n’est besoin d’en rajouter davantage pour garder à l’esprit que les hostilités de 1914-1918 ont pris une envergure inconnue jusqu’alors. Au premier rang des pays les plus meurtris, la France. Plus d’un million d’hommes, venus de tous les horizons, ne sont jamais rentrés au village. Beaucoup n’ont rien laissé derrière eux, sinon la petite plaque métallique que chaque soldat porte précieusement à son cou parce qu’elle indique l’identité de son propriétaire. Qui était ce militaire dont le statut particulier de première victime française du conflit rend célèbre aujourd’hui encore ? Insolite | Le premier mort de la Grande Guerre n’est peut-être pas celui qu’on croit... Sur la tombe du caporal Peugeot, dans le cimetière d’Étupes (25), une stèle mentionne que ce soldat du 44e RI, tué à Joncherey (90) le 2 août 1914 est la première victime de la guerre 14-18.

On connaît l’histoire, Jules André Peugeot et le lieutenant allemand Meyer se mettent en joue. Deux coups de feu partent. Les deux morts sont, officiellement, les premiers du conflit. Sauf que le 2 août 1914, « la guerre n’est pas encore déclarée, elle ne le sera que le 3 », souligne Pierre Lenhard, féru d’Histoire et guide indépendant sur le champ de bataille. « Le caporal Peugeot est mort hors conflit ». La sentinelle ouvre le feu Alors si ce n’est Peugeot, c’est peut-être le 2e classe Pouget prénommé Fortuné Émile et incorporé au 12e Chasseurs. Mais les faits bien établis ne demandent qu’à être bousculés. « Il y a quelques semaines je travaillais sur la bataille de Mangiennes qui est la première bataille de la guerre 14-18 sur le sol français. Les recherches de Pierre Lenhard ne s’arrêtent pas là. Le dernier Poilu de 14-18 n'est pas mort - 19/06/2008 - LaDépêche. Quatre mois après le décès de Lazare Ponticelli, dernier Poilu décédé le 12 février à l'âge de 110 ans, un spécialiste de la Grande guerre a retrouvé un Français de 108 ans, qui était au front début novembre 1918 mais qui ne possède pas le statut d'ancien combattant.

Frédéric Mathieu, créateur et animateur du site spécialisé consacré aux derniers vétérans de la guerre de 14-18 (www.dersdesders.free.fr), publie dans le prochain numéro du Journal des Combattants, bi-mensuel crée en 1916, un article sur cet homme. Fernand Goux, né le 31 décembre 1899 à Sceaux-en-Gatinais (Loiret), a été incorporé le 19 avril 1918 au 85e régiment d'infanterie, puis affecté à l'arrière des lignes (ravitaillement des troupes et enterrement des soldats tués).