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EMOTIONS

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Trouble obsessionnel compulsif. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Trouble obsessionnel compulsif

Ne doit pas être confondu avec Tic. Les symptômes peuvent s'exprimer de façon très variable d'un patient à l'autre (incluant phobie de la saleté, lavage des mains, vérifications répétées, obsessions sexuelles). Approximativement, entre un tiers et la moitié des adultes présentant un TOC rapportent que les premiers symptômes sont apparus dans l'enfance, ce qui suggère un continuum des troubles de la personnalité tout au long de la vie. Malgré ces comportements irrationnels, le TOC est parfois associé à une intelligence supérieure à la moyenne[1]. Dans le DSM-V, le TOC ne fait pas partie des troubles anxieux[2].

L'origine neurophysiologique du TOC reste mal comprise. Épidémiologie[modifier | modifier le code] Nombre d'individu atteints de troubles obsessionnels-compulsifs dans le monde sur 100 000 habitants en 2002. Aucune donnée Moins de 45 45-52.5 52.5-60 60-67.5 67.5-75 75-82.5 82.5-90 90-97.5 97.5-105 105-112.5 112.5-120 Plus de 120. Peur. Manie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Manie

Il ne faut pas confondre l’état maniaque avec des traits obsessionnels (obsession du ménage et de la propreté par exemple), acception pourtant retenue dans le langage courant. Symptômes et signes[modifier | modifier le code] Un épisode maniaque est caractérisé par une modification de l’humeur, et la survenue de certains symptômes tels ceux décrits ici. Bien évidemment, tous les symptômes ne sont pas présents à la fois chez un même individu. Beaucoup d’aspects permettent de considérer la manie comme une « dépression inversée », dans le sens d’une « accélération », une intensification des pensées, des émotions (tout est plus fort, plus vif, plus intense, y compris la douleur morale ou la tristesse parfois, ce qui amène à des confusions diagnostiques). Des symptômes typiques sont par exemple : Traitements[modifier | modifier le code] Le traitement préventif est essentiel pour éviter les rechutes.

Christophe André » Emotions, états d’âme et équilibre intérieur. Video Christophe André émotions antidotes contre la rumination!.flv. Colère. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Colère

Étymologie[modifier | modifier le code] En français, colère descend du grec kholê, la bile, dont vient également le nom choléra. Elle serait causée par l'échauffement de cette bile dans la théorie des humeurs. Biologie[modifier | modifier le code] La colère provoque plusieurs modifications physiologiques préparant le corps au mouvement et à la réaction. Psychologie[modifier | modifier le code] La psychologie a bien montré, et expérimente chaque jour, les effets nocifs de la censure de la colère, qui enferme l'individu dans des zones de non-dits et parasite la relation à soi-même et aux autres.

Robert Plutchik. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Robert Plutchik

Robert Plutchik, né le 21 octobre 1927 et mort le 29 avril 2006, est un professeur et psychologue américain. Il fut professeur émérite de l'Albert Einstein College of Medicine et professeur auxiliaire de la University of South Florida. Il obtient son Ph.D. de l'université Columbia en 1952. Il est l'auteur ou coauteur de plus de 260 articles, de 45 chapitres et de 8 livres, ainsi que le rédacteur-réviseur de 7 livres. Joie. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Joie

Joie de vivre (sculpture de Richard MacDonald, 2002). La joie est une émotion ou un sentiment de satisfaction spirituelle, plus ou moins durable, qui emplit la totalité de la conscience. Elle se rapproche de ce qui forme le bonheur. Elle se distingue des satisfactions liées au corps (les plaisirs), qui n'affectent qu'une partie de la conscience. Philosophie[modifier | modifier le code] La joie est une notion qui désigne, dans son sens le plus courant, le sentiment d'une personne en présence d'un bien qui lui convient. Cicéron en a une conception plus proche du sens courant : pour lui, la joie est un état de l'âme, qui, confrontée à la possession d'un bien, n'en perd pas pour autant la sérénité.

Au XXe siècle, les courants philosophiques que sont le personnalisme et l'existentialisme approfondissent à nouveau la notion philosophique de joie. Intelligence émotionnelle. L'intelligence émotionnelle (IE) est un concept proposé en 1990 par les psychologues Peter Salovey et John Mayer, qui réfère à la capacité de reconnaître, comprendre et maîtriser ses propres émotions et à composer avec les émotions des autres personnes.[1] Elle est proche du concept d'intelligence sociale.

Intelligence émotionnelle

Le concept a été popularisé par Daniel Goleman en 1995. Des tests ont été développés pour étudier et valider ce concept, qui complémente utilement la notion d'intelligence humaine qui est définie surtout par des habiletés cognitives et une approche psychométrique. Les études se sont multipliées pour évaluer, valider et explorer ce concept. De nombreuses études suggèrent que les scores aux tests d'intelligence émotionnelle[2] sont corrélés à certaines performances sociales et à certains comportements à risque chez les étudiants, et à la réussite professionnelle chez des adultes. Paul Ekman - Arte (1/5) - Le visage décrypté (documentaire)