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Fiche technique : La riposte du FMI à la crise économique mondiale. Texte intégral Fiche Technique La riposte du FMI à la crise économique mondiale le 31 mars 2015 Depuis l'éclatement de la crise économique mondiale en 2008, le FMI s'est mobilisé sur plusieurs fronts pour venir en aide à ses 188 pays membres : il a augmenté et déployé sa capacité de prêt, mis à profit son expérience internationale pour proposer des solutions aux autorités nationales et procédé à des réformes internes pour mieux répondre aux besoins des pays. Création d’un pare-feu contre les crises. Pour répondre aux besoins de financement sans cesse croissants des pays touchés par la crise financière et promouvoir la stabilité économique et financière mondiale, le FMI a considérablement accru sa capacité de prêt depuis l’éclatement de la crise. Augmentation des prêts de crise. Aide aux populations les plus pauvres. Approfondissement des analyses et des conseils du FMI.

Réforme de la gouvernance du FMI. Refonte de la panoplie d’instruments de prêt du FMI Accent sur la protection sociale. Selon le FMI, la plus grosse bulle financière de l’Histoire va bientôt exploser | LE BILAN. Dans son dernier rapport sur la stabilité financière, le Fonds monétaire international sonne l’alarme. Son propos, sur la retenue comme d’ordinaire, n’est pas aussi explicite que le nôtre. LE BILAN ajoute, aux aspects conjoncturels relevés par le FMI, une analyse structurelle du système financier. Par Benoit Delrue. 7 100 mots environ. Temps de lecture estimé : 35 minutes. C’est un événement planétaire. La prochaine crise est inévitable. Le printemps des crises Le FMI fait état d’une conjoncture qui, mois après mois, « intensifie les risques » de survenue d’une nouvelle crise financière.

Taux d’intérêt records en France et en Allemagne Le 1er juin 2015, les taux d’intérêt auquel la France emprunte sur les marchés ont atteint un nouveau record3. En réalité, la ruée vers les dettes allemandes et françaises met à mal la rentabilité du secteur de l’assurance. L’observateur non-averti pourrait croire que chacun trouve son compte dans ce mécanisme. Le pétrole et la guerre Le retour des subprimes. Le risque systémique est plus élevé aujourd'hui qu'avant la crise. Le Monde.fr | | Par Christophe Boucher Professeur à l'université de Lorraine A la sortie de la crise financière globale, le G20 s'était engagé en 2009, à Londres puis à Pittsburgh, à mieux réguler le système financier international. Le G20 avait identifié une dizaine de dossiers clés parmi lesquels : les marchés dérivés et en particulier ceux de matières premières, les agences de notation, encadrer les bonus, les hedge funds, les ventes à découvert, les paradis fiscaux, renforcer la résilience des banques et lutter contre le risque systémique.

Bien que plusieurs avancées aient pu être réalisées, de nombreux dossiers restent encore en suspens et attendent de se voir concrétiser. Une des difficultés les plus importantes que doivent affronter les régulateurs est le problème que posent les établissements financiers « trop importants pour faire faillite ». La garantie offerte par l'Etat représente en quelque sorte une subvention implicite. Les compétences de la BCE. "L'objectif principal du Système européen de banques centrales (SEBC) est de maintenir la stabilité des prix"(art. 282, §2 TFUE).

Pour évaluer la stabilité des prix, la BCE se fonde sur deux critères: l'évaluation de la masse monétaire en circulation et les perspectives d'évolution des prix. Pour déterminer l'inflation, qui doit être inférieure à 2%, plusieurs indices sont pris en compte: salaires, taux d'intérêt, indices des prix... Afin de maintenir la stabilité des prix à moyen terme, la BCE dispose de plusieurs instruments, notamment en augmentant ou en baissant les taux directeurs (depuis juillet 2011, la BCE a baissé son taux directeur de 1.5% à 0.25%) : Des opérations principales de refinancement permettent de fournir de la liquidité aux banques.Des facilités permanentes (taux de prêt marginal ou de dépôt) permettent d'injecter ou de retirer de la liquidité du marché.Des opérations de réglages fins atténuent l'incidence des fluctuations de liquidité sur les taux d'intérêt.

FournierV2010 G20reponsecrise. La régulation de la finance et ses limites. Des banques sous-capitalisées, une grosse prise de risques, un fort aléa moral, une supervision défaillante constituent des facteurs de la crise financière de 2007-2009 qui s’est traduite par des coûts sociaux et fiscaux élevés supportés notamment par l’économie réelle (Thomas MIROW). Par conséquent, la crise financière a remis en cause le postulat d’autorégulation des marchés et a mis en exergue les échecs de la régulation financière antérieure.

La régulation micro-prudentielle et la discipline du marché ont montré leurs limites. D’après la définition du dictionnaire Le Robert (1985), la régulation est le « fait d’agir sur un système complexe et d’en coordonner les actions en vue d’obtenir un fonctionnement correct ou régulier ; processus par lequel un mécanisme ou un organisme se maintient dans un certain équilibre, conserve un régime déterminé ou modifie son fonctionnement de manière à s’adapter aux circonstances. ». I) Les évolutions récentes de la régulation financière Conclusion. Focus9 stabilite financiere. La crise conomique Catherine Lalumi re. La régulation financière après la crise des "subprimes" : quelles leçons et quelles réformes ?

Introduction Démarrée en 2007, la crise financière globale a jeté un sévère discrédit sur l'ensemble des Autorités nationales ou mondiales chargées de prévoir, contrôler et gérer les évolutions financières. L'agenda fixé par le G20 [1], en réponse à l'ébranlement du système, conduit à des réformes visant à fournir un cadre réglementaire plus protecteur de la stabilité financière. Ces réformes dessinent une nouvelle organisation, le Modèle prudentiel global et intégré, reposant sur une production internationale de normes et sur l'intégration des niveaux micro et macro-prudentiels, à l'occasion de la mise en place de nouveaux outils. 1 - Leçons de la crise et réformes d'après-crise 1-1 Les enseignements de la crise financière De nombreux débats ont tenté d'éclairer les causes de la crise récentes et les conséquences de sa gestion. A - La politique monétaire doit intégrer un objectif de stabilité financière. c - La fonction de prêteur en dernier ressort a connu des mutations importantes.

Accueil. La crise. Des subprimes au séisme financier planétaire. En librairie le 3 novembre. Quatrième de couverture : En 2007, une crise financière née dans le secteur subprime de l’immobilier résidentiel américain déboucha sur un tarissement du crédit, paralysant peu à peu le monde bancaire international. En 2008, la crise se transforma en crise économique mondiale, puis en authentique crise de civilisation. Tous les établissements privés du prêt hypothécaire américain furent emportés, puis les deux colosses du crédit immobilier, Fannie Mae et Freddie Mac, que l’État américain se vit forcé de nationaliser dans les faits.

La crise ne s’arrêta pas là : les banques d’affaires connues sous le nom de « Wall Street » s’effondrèrent à leur tour. Cette dévastation sans précédent du système financier restreignit dramatiquement les choix de placement des investisseurs. Au-delà d’un récit des événements et de leur mécanisme, l’auteur répond aux questions que se pose le lecteur : quel rôle a joué la Chine dans ce processus ? Partager. L’État de l’après-crise. La faillite de l’idéologie du marché libre ne date pas de 2008, affirme l’économiste James K. Galbraith. Il faut remonter aux années 1980 pour comprendre comment les conservateurs américains ont livré l’État à l’appétit des intérêts privés. Une analyse revigorante, quoique non directement transposable au cas français.

Recensé : James K. Galbraith, L’État prédateur. Comment la droite a renoncé au marché libre et pourquoi la gauche devrait en faire autant, Paris, Seuil, coll. « Économie humaine », 2009, 311 p. La crise financière qui a plongé le monde développé dans la plus grave récession économique depuis les années 1930 a mis au banc des accusés les défenseurs de la liberté absolue des marchés. Vie et mort d’une idéologie Les néolibéraux américains, arrivés au pouvoir sous Reagan, ont su séduire l’électorat avec un discours simple vantant la supériorité des marchés et dénonçant l’interventionnisme de l’État, accusé d’avoir causé la stagflation des années 1970.

Cours de SES - De la crise des subprimes à celle des dettes publiques. Documents et debats numero 3 chapitre 1. Crise financière mondiale débutant en 2007. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. La crise financière de l'automne 2008 amplifie le mouvement et provoque une chute des cours des marchés boursiers et la faillite de plusieurs établissements financiers. Pour éviter une crise systémique, les États doivent intervenir et sauver de nombreuses banques ce qui provoquera une crise de la dette publique en Islande d'abord puis en Irlande. Par ailleurs, elle provoque une récession touchant l'ensemble de la planète. Les finances publiques ont été lourdement sollicitées pour résoudre cette crise. Sérieusement affectées par leurs erreurs de gestion, les banques françaises sont conduites à une restructuration notable, avec l'aide financière de l'État. Cette crise provoque un mouvement en faveur d'une meilleure régulation du système bancaire et financier.

D'autant que la crise perdure. Chronologie[modifier | modifier le code] Crise des subprimes[modifier | modifier le code] Crise financière de 2008[modifier | modifier le code] En Europe. L’économie américaine au bord du gouffre. Crise du crédit, krach de l’immobilier, pressions inflationnistes… Les maux s’accumulent outre-Atlantique.

Le Financial Times explique pourquoi. Depuis l’éclatement de la bulle Internet, en 2000-2001, jamais l’Amérique n’a été plus menacée qu’aujourd’hui par la récession. La croissance au quatrième trimestre de 2007 n’a pas dépassé 1 % en rythme annuel, et le trimestre en cours pourrait être pire. L’économie parviendra-t-elle à résister à cet accès de faiblesse et à reprendre progressivement des couleurs en cours d’année ? Nul ne le sait. Plus de 200 milliards de dollars de pertes sur les crédits à risques Qui a raison ? Tout va maintenant dépendre des consommateurs De plus, les entreprises sont bien protégées de l’effet d’un resserrement du crédit. Krishna Guha La tempête qui secoue la deuxième place financière du monde a des causes multiples, estime le Nihon Keizai Shimbun.

Le nombre de pubs britanniques fermés en 2007. Selon une étude de la British Beer & Pub Association, rendue publique le 11 août, 1 400 pubs sur 58 000 au Royaume-Uni ont fermé en 2007. Les ventes de bières dans les pubs britanniques ont baissé de 10,6 % l’année dernière, rapporte The Scotsman. En Ecosse, 350 pubs ont fermé ces deux dernières années. “La baisse de la consommation en raison de la crise financière et de la concurrence des supermarchés, qui vendent l’alcool à bas prix, la hausse des impôts, du coût de la licence et l’interdiction de fumer peuvent expliquer le déclin du pub traditionnel. Va-t-on inéluctablement vers la mort du pub local ?”

S’inquiète le journal écossais, qui estime que les pronostics les plus sinistres sont maintenant crédibles. Vous avez dit “crise” De part et d’autre de l’Atlantique, les difficultés économiques et financières provoquent une perte de pouvoir d’achat pour (presque) tout le monde. Dure rentrée pour les ménages américains et européens. Déjà étranglés par la flambée des prix du carburant et des produits alimentaires depuis la fin 2007, ils sont désormais confrontés au spectre de la récession.

Le taux de chômage américain, à 6,1 % en août, est à son plus haut niveau depuis cinq ans. En Espagne, il atteint désormais les records d’il y a dix ans. Article réservé aux abonnés Pour lire la totalité de cet article, abonnez-vous à Courrier international Abonnez-vousDéjà abonné ? À voir aussi...